Petite balade près du lac [pv]

Cela faisait maintenant une heure que les cours étaient enfin terminés. Le jeune homme était ravie de voir que sa première journée ne s'était pas si mal passé que ça. La majorité des élèves avaient été attentif et silencieux en cours ce qui fait qu'il y avait eu une bonne ambiance dans l'ensemble. Bien sûr il y avait toujours quelques élèves perturbateurs ou à moitié endormis mais il faut de tout pour faire un monde non ? De plus le jeune Serpentard avait été comme ça il y a quelques années alors bon il ne pouvait pas se permettre de juger les plus jeunes... Il n'était pas le mieux placé pour cela en tout cas.

Allongé sur le lit en baldaquin de son dortoir, se trouvant dans les cachots de l'école, le jeune homme fit une petite sieste que ne dura malheureusement que peu de temps. Le sommeil de Seiko était léger, trop léger, de plus celui ci était malheureusement insomniaque ce qui ne l'aidait pas beaucoup. Seiko ouvrit un oeil après l'autre, se leva à contrecoeur et se dirigea vers sa petite commode dans laquelle était rangée toutes ces affaires personnelles. Un changement de tenue s'imposait s'il voulait allait faire un tour dehors par ce temps... Il sortit donc un jean délavé et troué qu'il enfila en vitesse puis il vetit une veste noir par dessus son tee shirt large sur lequel des inscriptions faisant allusions au rock étaient inscrites. Rapidement, le jeune homme remit un peu d'ordre dans ces cheveux blonds, se mit un coup de crayon noir autour des yeux et quitta sa chambre sans faire de bruit.

Seiko descendit les escaliers quatre à quatre puis se rendit à l'extérieur du chateau. Celui ci suivit un petit chemin de terre dont il ne savait pas la destination. Pendant qu'il marchait, une immense étendu d'eau apparut en face de lui. Le lac de Poudlard lui faisait alors face. Quelques souvenirs de ses premières années passées ici lui revinrent en tête puis s'en allèrent, le laissant ainsi revenir à la réalité. Arrivant enfin au bord de ce fameux lac aux milles créatures, le jeune préfet de Serpentard s'assit en tailleur sur un carré d'herbes secs et admira la superbe vue que lui offrait ce coucher de soleil.
Tandis que le regard de Seiko était captivé par cette vue, des bruits de pas se firent entendre non loin de lui. Quelqu'un avait également eu la bonne idée de venir comtempler le coucher de soleil. Qui cela pouvait il bien être ?

La jeune Calaïs avait passer une journée maussade, les quelques cours auxquels elle avait assister n’était pas tellement intéressant.
Il y avait a présent une heure que les cours était finis, la jeune fille avait eu le temps de passer a la bibliothèque et de manger un petit quelque chose.
La jeune française adorait le moment où les cours se stoppait pour laisser place a une joie toute particulière de ne rien faire et même les devoirs lui semblait moins pénible a cette heure-ci de la journée.
Après donc avoir quitter la bibliothèque la jeune fille descendis les étages pour se retrouver dans la salle commune, elle monta dans son dortoir. Il était vide, personne n’était ici a cette heure-ci, tous était soit dans la salle commune soit dans la grande salle. Enfin cette solitude ne l’a déranger pas, parfois les niaiseries de ses petits camarades l’étouffait.
Elle passa devant son grand miroir et s’arrêta, elle se contempla pendant quelques secondes. La préfete se dit alors qu’elle aimerait bien se changer, les uniformes ne l’a mettait pas vraiment a l’aise.
Calaïs alla donc dans son armoire pour se trouver une tenue: après quelques minutes de recherches elle trouva son bonheur: un pantalon plutôt taille basse mais plutôt large avec un débardeur rouge qu’elle aimait beaucoup.
La jeune fille se changea dans la faible obscurité du dortoir vide puis elle se regarda de nouveau.
Ah les filles avec leur manies du miroir, pourtant Calaïs n’était pas le genre de minette a passer des heures devant le miroir.
Elle se brossa les cheveux et se remaquilla pour enfin se dirigeait vers le dehors.
La jeune poufsouffle avait décider de se promener un peu dans le par et ensuite d’aller voir le coucher de soleil sur le lac.
Elle laissa ses pieds l’emportait au travers de l’immense parc.
Tout s’animait autour d’elle et la jeune élève adorait ça: le vent caressant les plus hautes branches des arbres, cette couleur si spécial du dépotronminet et l’âme remplie d’histoire de ce beau parc.
Enfin elle se rendit au parc. Elle arriva devant ce lac où l’eau était pourpre a cause du soleil. C’était magnifique, elle s’avança un peu plus et puis vit quelqu’un assis par terre. Sans réfléchir elle reconnu toute de suite le préfet des serpentard; Seiko!
Elle s’avança donc rapidement et alla s’asseoir a ses coté en souriant puis avec tendresse elle dit:

« Bonsoir Seiko »

Voila maintenant cinq minutes que Seiko était assis au bord du lac. Le vent qui soufflait dans les branches des arbres les faisant ainsi grincer et le chant de quelques oiseaux courageux ayant décidé de rester ici pendant l'hiver appaisaient les lieux. Un froid glacial régnait ici en ce début janvier mais ce n'est pas celui ci qui génerait le jeune homme au contraire. Le froid ne le dérangait guère, ce qui pouvait parraitre assez étrange aux yeux de certains...

Machinalement, le jeune homme déplia ses jambes devant lui avant de les ramener de nouveau contre lui. Il passa ses bras autour de celle ci puis y posa son menton. Il n'y avait aucun mot pour décrire cette merveille de la nature, non aucun. C'est d'ailleurs pour cela que Seiko se contenta d'echapper un long soupir, non d'ennui je vous rassure, mais d'admiration. Beaucoup de personnes auraient trouvé son attitude ridicule, que les couchers de soleil il y en avait plein et qu'il n'était pas necessaire de s'extasier à chaque fois devant eux. Mais le jeune homme était bien evidement contraire à cet avis. Chaque coucher de soleil étaient différent des autres. Et ce soir il était particulièrement magnifique. Quelque chose de fantastique et presque surnaturel émannait du melange de couleur présent dans le ciel.

Qui aurait pu croire un jour que Seiko, ce jeune homme froid, mystérieux et peu sociable serait un jour émerveiller par un simple coucher de soleil ? Ses parents eux mêmes ne le reconnaitraient pas s'ils le voyaient maintenant. Des bruits de pas sortirent le jeune homme de ces pensées. Ceux ci s'intensifiaient peu à peu. Le jeune Serpentard tourna la tête pour savoir qui pourrait en être la source. C'est alors qu'il vit, avec surprise, Calaïs, la jeune française qu'il avait aidé le jour de la rentré. Un sourire sincère apparut sur le visage du préfet.

"Bonsoir Calaïs. Je suis très content de te revoir. Alors dis moi, comment vas tu depuis la dernière fois ?"

La douce Calaïs ne pu le regarder tout de suite, elle se contenta de sourire tendrement sans le regarder. La jeune française regardait l’horizon qui se dessinait sur le soleil tombant. Un court silence s’installa, laissant le soin a la nature de faire un berceau de bruit de fond. Enfin la jeune fille tourna la tête et leur yeux se rencontrèrent avec extase puis elle répondit d’une voix chantante:

« Je vais très bien merci et toi? »

Il est vrai que voilà un petit peu de temps qu’il ne s’était pas vu, la jeune fille avait même désespérée a le revoir un jour mais se soir elle avait réussi a la revoir.
Elle détourna la tête et coucha ses yeux sur l’herbe de la rive du lac sur laquelle ils étaient assis.
La jeune fille laissa baladait sa main sur l’herbe, ses genoux sous tête penchait.
Enfin elle le regarda encore, il avait beaucoup de charme et était très beau. Calaïs pensa que c’était la première fois qu’elle voyait un garçon avec une si forte personnalité et un si grand charme. En effet en France lors des rares contact avec les garçons; ils lui avaient tous semblaient du même caractère et tous du même physique ce qui avait le dons d’énerver la jeune fille.
Elle aimait bien les gens originaux avec une vraie personnalité, elle n’aimait pas les petits moutons, c’était comme ça.
Enfin elle reprit en souriant:

« Alors quoi de neuf depuis que la dernière fois? »

C’était des paroles en l’air mais quoi dire, le silence aurait il été mieux? Elle n’en savait rien…ce qu’elle voulait c’était passer du bons temps en compagnie de Seiko.
Seiko et son coté singulier qui la ravissait tant. Elle releva enfin la tête et se mit a regarder en silence le beau couché de soleil sur le lac endormis. Dire qu’il y avait des créatures dans se lac, on ne l’aurait pas vraiment cru a ce moment ci…pas même une ondulations se dessinait sur l’eau froide.
Enfin une bourrasque souleva les cheveux de Calaïs et souleva le parfum étalait il y a peu sur le cou de le jeune française.

"Bah moi ça peu aller. A part que les cours sont toujours aussi ininteressant, enfin pour la plupart. Heureusement qu'il y a quelques matières qui suscitent mon atention sinon je pense que je peterai un cable."

Etant préfet, le jeune homme se devait de se montrer attentif en cours et assez sérieux. On ne dirait pas comme ça mais c'est vraiment difficile surtout pour ce jeune homme...Mais le préfet de Serpentard faisait des efforts car il voulait à tout prix que sa maison gagne la coupe cette année comme tout les Serpentard d'ailleurs. Bref nous attardons pas sur ce sujet.

Une légère brise vint de nouveau souffler sur les alentours du chateau. Seiko passa l'une de ses mains dans ses cheveux pour les mettre en batailles. C'est comme ça qu'il aimait être coiffé et pas autrement. Il reporta ensuite son regard émeuraude dans l'immensité azur de ceux de Calaïs. Calaïs...une fille si différente de celles qu'il conaissait. Une jeune femme avec laquel il n'était ni arrogant ni méprisant. Etrange tout de même, lui qui pensait de jamais s'entendre avec les élèves des maisons autre que Serpentard.

"Et bien rien de vraiment nouveau. J'avais hâte de te revoir. Je commencais à desespérer mais en fin de compte on y est parvenu." répondit il avec un petit sourire sincère. "Et toi de ton côté ?"

Calaïs écouta le jeune homme comme un professeur. Elle mordait du regard son visage tout en souriant. Elle pensa qu’il avait totalement raison néanmoins depuis qu’elle était en France tout était devenue plus facile et les cours étaient pour elle beaucoup plus intéressant que dans son pays natal.
Leur regard s’enlacèrent enfin sur le bruit du vent frôlant la surface de l’eau qui commençait a s’agiter sous un soleil sommeillant.
Quelle drôle et si magnifique scène… beaucoup aurait ri en voyant une poufsouffle et un serpentard croisaient leur regard sous un ciel poétique mais la jeune femme s’en fichait…rien de tout cela ne comptait a présent.
Soudain elle brisa le lien visuelle avec Seiko et préféra reporter toute son attention sur le lac immense et courtois. Enfin tout comme elle, il lui avoua qu’il avait hâte de la revoir…elle en fut très flatté et très heureuse qu’il ai les mêmes sentiments alors elle reprit d’une voix plutôt timide:

« Moi aussi j’espérais te revoir, mais apparemment nous sommes tous deux beaucoup pris! »

Elle fit une pause pour laisser le silence s’épanouir entre, depuis la dernière fois Calaïs était devenue préfete de sa maison mais lui l’ignorait alors elle ajouta:

« Et bien moi depuis la dernière fois j’ai été nommée préfete de ma maison! »

Elle ne pu encore une fois de reporter son regard sur Seiko, il était si beau, si exubérant…N’étaient ils pas au fond pareil? Il était sur que Calaïs n’était pas si singulière mais elle admirait les gens qui avait le courage de se démarquer, de foncer tête baissé contre les clichés et puis une poufsouffle avec un serpentard si ce n’était pas détruire les clichés…

"Oui beaucoup pris... Il faut dire aussi que les cours commencent à devenir vraiment difficile, c'est trop chiant... Et puis avec mes obligations de préfet ce n'est pas facile..."

Le jeune homme s'arreta la, laissant un silence d'or s'installer entre les deux protagonistes. Celui ci fut de courte durée étant donné que la jeune femme reprit la parole, un superbe sourire aux lèvres. Seiko ne put s'empecher d'ecarquiller les yeux lorsque Calaïs lui annonca qu'elle était devenue la préfete de sa maison, Poufsouffle. La surprise visible sur le visage du jeune homme s'effaca pour faire place à un grand sourire, un sourire assez rire chez lui.

"Mais c'est génial ça. Toute mes félicitations madame la préfete." s'exclama t'il avec une voix enjouée. "Quand je pense que tu as passé ta première nuit à chercher le mot de passe de ta salle commune alors que tu es la préfete. C'est assez comique je dois dire." dit il en plaisantant.

Seiko avait toujours les yeux posés sur le doux visage angélique de la jeune femme. Une question lui vint alors à l'esprit. Devait il lui faire par de ce qu'il ressentait pour elle ? Devait il lui dire qu'avec elle il se sentait mieux qu'avec quiconque ? Seiko ne savait pas vraiment quoi faire...
Une petite vois dans sa tête lui disait de se laisser guider par ses sentiments, or il n'en avait pas du tout l'habitude.
Après une grande inspiration, le jeune préfet de Serpentard se lança, non sans difficulté:

"Ecoute faut que je t'avoue quelque chose. Tu vois je suis quelqu'un de solitaire et de pas très sociable, mais il se trouve que je me suis attaché à une certaine personne depuis quelque temps... Elle est à Poufsouffle vois tu... Crois tu qu'elle accepterait les moqueries des autres si elle sortirait avec moi ?"

Silence. Le jeune homme baissa le regard, très géné par se qu'il venait de lui dire.

La jeune préfete écouta avec un grand sourire les félicitations du préfet des serpentard. Il est vrai que c’est plutôt comique de voir une préfete de maison perdu et sans mot de passe. Elle rigola puis reprit toujours en le regardant avec envie:

« Merci! C’est vrai que ce n’est pas commun qu’une préfete de maison se perde…ridicule même! »

Elle eu de nouveau un rire léger et cristallin mais ensuite un long silence se passa entre les deux camarades. Des milliards de questions valsaient dans l’esprit de la jeune française. Elle en profita pour enlever la pique qui retenait ses longs cheveux et elle dégrafa les premiers boutons de sa chemise.
Rien ne se passer, que fallait il qu’elle dise? Fallait il qu’elle lui dise? Elle n’en savait rien. Alors qu’elle plongeait ses yeux azurs dans le lac noircissant avec l’avance de la nuit Seiko coupa le silence. Il lui avoua qu’il voulait sortir avec une poufsouffle. Le beau préfet baissait les yeux et Calaïs avait les mains qui tremblait. Elle se douta que cette poufsouffle était en faite elle. Enfin elle espérait. La belle française reprit un peu d’assurance et s’approcha de Seiko. D’un geste doux elle lui releva la tête et s’approcha de lui. Leur lèvres se touchaient presque mais elle murmura:

« Je crois qu’elle aimerait beaucoup sortir avec toi! »

Puis elle l’embrassa avec tendresse, un baiser court mais génial du point de vue de la poufsouffle. Un baiser chaud et sucré qui avait fait partir la jeune fille dans un autre univers et elle fut ravie de son geste. Elle espéra néanmoins qu’elle n’avait pas fait de bêtises et que celle qu’il avait choisi était bien Calaïs Andromaque. De toute façon maintenant il savait se qu’elle pensait de lui et c’était ça l’important.

Seiko regarda chaque faits et gestes doux et gracieux de la jeune Poufsouffle. Celle ci enleva délicatement le pique qui retenait ses longs cheveux puis elle dégrafa les premiers boutons de sa chemise comme elle l'avait fait le soir de leur rencontre. D'ailleurs cela n'avait pas laisser le jeune homme indifférent...
Les cheveux soyeux de Calaïs virevoltaient derrière elle au rythme saccadé du vent qui soufflait encore et toujours en ce mois de décembre. Ayant toujours la tête baissé de peur de la réaction de la jeune femme, Seiko attendit une quelconque réponse de la part de celle ci. Son ventre était complétement noué, l'attente devenait insupportable. Alors que celui ci attendit ne serait ce qu'un mot de la part de la préfete, l'une des mains de Calaïs vint lui soulever délicatement le menton de façon à ce que leurs regards se croisent à nouveau. Seiko trembla au contact du souffle de la jeune femme sur son visage pâle. Sa réponse tournoyait mille et une fois dans sa tête alors que le jeune homme était dans un état second. Etait il en train de rêver ? Sûrement... Il s'apprétait à lui répondre mais il ne put que balbutier quelques mots à peine compréhensible.

"Tu... tu le... penses..."

Mais avant que le jeune préfet de Serpentard ai pu finir sa phrase dans sa totalité, la jeune Poufsouffle s'approcha de lui est déposa ses douces lèvres sur les siennes. Seiko ferma les yeux et savoura ce tendre baiser que venu de lui offrir Calaïs. Jamais il n'avait été aussi heureux qu'en cet instant magique.
Délicatement le jeune Serpentard passa l'un de ses mains dans les cheveux de Calaïs tandis qu'il caressait avec l'autre la joue de la jeune femme avec une extrême douceur. Seiko quitta ensuite les lèvres de celles ci à contre coeur et lui dit avec un sourir heureux:

"Je lui le mec le plus heureux de ce bahut à présent. Je t'aime princesse."

Le jeune homme s'approcha de nouveau de son visge angélique et l'embrasse de nouveau avec toute la tendresse du monde.

Pendant se court baiser, pendant ce premier instant elle sentit son cœur de jeune fille s’emballait. Calaïs ne pu contenir un frisson de plaisir lorsqu’elle sentit la main forte de Seiko caressait ses cheveux.
Elle aussi avait garder les yeux fermé en cet instant. Elle s’étonna même de son courage car avant Seiko aucun n’homme n’avait eu le droit de goûter sa bouche.
Puis leur lèvres se séparent pendant un instant et Seiko prononça quelques mots qui la touchèrent au plus profond d’elle. Bien plus que c’est mots d’amour niais les paroles du beau serpentard avait dessiner un sourire radieux sur son visa angélique, un sourire comme jamais elle n’avait eu l’occasion d’en faire.
De toute façon depuis le premier moment où les yeux de Seiko c’était posé sur elle, la française avait su que quelque chose se passait entre eux.
Puis il lui répondit qu’il l’aimait, elle n’avait jamais connu l’amour, et la jeune poufsouffle que c’était se feu qu’elle avait au bas du ventre que l’on appelait l’amour.
Enfin il l’embrassa de nouveau avec une grande tendresse. La jeune française sentait son cœur se gonfler de tout cet amour et elle adorait cette sensation.
Ses mains avaient d’abord caressaient les cheveux de Seiko avec délicatesse puis une de ses mains c’était épris du torse du charmant préfet.
Après un long et chaud baiser la jeune fille arrêta se moment. Ses lèvres restèrent tout de même a quelques centimètres de la bouche de Seiko. Elle eu un moment d’hésitation, la jeune femme cherchait ses mots en enfin elle reprit:

« Est ce qu’on ta déjà dit que tu était génial? »

Elle eu un léger rire qui dura a peine quelques secondes puis elle posa ses lèvres sur la lèvre inférieure du serpentard pour enfin reprendre presque en murmurant:

« Moi aussi je t’aime »

Elle passa une langue sucrée sur sa bouche de jeune femme avant de reprendre un court baiser avec l’homme qui avait fait palpiter son cœur .

La main si douce et pourtant si froide de Calaïs qui lui parcourait le torse lui donna chaud au coeur. Le jeune homme lui avait toujours une main dans les cheveux de la jeune femme tandis que l'autre lui caressait les joues avec envie et tendresse. Calaïs avait reussis à faire surgir de Seiko une personnalité dont il avait ignoré la présence jusqu'à aujourd'hui. Etrange. Le jeune homme n'aurait jamais pensé qu'il aurait pu tomber amoureux et devenir aussi sympathique qu'il ne l'ai en ce moment même car en général il était un jeune homme froid, solitaire et assez mystérieux. Comment cette partie de sa personnalité avait elle pu dormir en luidurant toutes ces années ? Impossible à dire malheureusement... Seiko chassa ses pensées pour profiter de l'instant présent qui s'offrait à lui.

"Génial ? Bah ouai on me l'a dit une centaine de fois déjà." dit il en rigolant de bon coeur.

Bien sûr cela n'était pas vrai mais le jeune homme avait envie de rire. Besoin de rire en compagnie de la femme qu'il aimait tant. Le jeune préfet sentit le gout sucré des lèvres de Calaïs posa sur sa lèvre inférieure. Il s'en delecta tandis que celle ci lui sussura des mots qu'il n'avait jamais entendu dans sa vie. Je t'aime... Deux mots complétements ordinaire qui pourtant, alignés l'un après l'autre, pouvaient avoir un effet totalement dévastateur.
Le jeune homme accepta de nouveau le baiser que lui offrait la préfete de Poufsouffle. Alors qu'il l'embrassait avec passion, une idée assez saugrenue lui traversa l'esprit. Il fallait maintenant la mettre à l'oeuvre et cela pourrait s'avrer être assez marrant. Il s'approcha de Calaïs et lui sussura à l'oreille:

"Que dirais tu d'un bon bain ?"

Mais avant que celle ci n'ai pu répondre quoi que ce soit, Seiko souleva la jeune femme et la porta dans ses bras, telle une mariée. Il s'approcha lentement mais sûrement du lac et y trempa ses pieds pour commencer. Il plongea son regard dans celui de sa princesse et lui demanda, avec un petit sourire amusé au coin des lèvres:

'On compte jusqu'à trois ?"

La jeune femme profita avec une délectation certaine les baisers de celui qui emporter son cœur. Son cœur était soulevé d’une joie insurmontable et tout de même troublante lorsque c’est la première fois qu’on la vie.
Puis il metta fin aux marques de tendresse et au creux de son oreille il lui suggéra quelques choses de plutôt originale.
La jeune Calaïs aurait voulu répliquer mais soudain elle se sentit soulever avec une telle facilité qu’elle en fut très surprise.
Elle passa les bras autour du cou de Seiko alors qu’il s’approchait dangereusement de l’eau.
La jeune femme ne pu contenir un rire amusée avant de reprendre d’une voix gentille et chantante:

« Arrête Seiko tu est fou »

Néanmoins elle ne se battait pas même lorsque son beau serpentard entra dans l’eau. Ils comptèrent ensemble puis la jeune française se retrouva dans l’eau glacée du lac.
Calaïs resta pendant quelques secondes sous l’eau. Un monde de silence et de beauté l’entourèrent. Ses yeux étaient restait ouvert mais elle ne voyait plus Seiko. Un large sourire se dessina tout de même sur son visage, seulement l’air venait a lui manquer, elle appuya donc ses jambes et la jeune femme sortit de l’eau avec puissance.
Elle passa ses mains dans ses longs cheveux trempés. Ses vêtements lui collait également mais elle s’en fichait pas mal.
La jeune Calaïs avait toujours pieds alors elle se mit a marcher jusqu’à Seiko. Elle mit encore une fois ses bras autour de son cou et reprit:

« J’adore les fous! »

Elle lui fit un clin d’œil et elle l’embrassa une nouvelle fois. Néanmoins elle se penchait plus fort sur lui pour pouvoir le déstabilisé et le mettre sous l’eau. En effet les deux amoureux tombèrent sans retenue dans l’eau.
Enfin la jeune femme éclata de rire et commença a arroser son partenaire comme une enfant qui voulait absolument jouer.
Son cœur respirait enfin comme jamais il n’avait respirer et cela lui faisait un bien fou.

"Fou, oui peut être." répondit il avec un ton amusé.

Le jeune homme était maintenant près à sauté dans l'eau glacée du lac. Ce qui l'étonna le plus c'est que Calaïs compta avec lui juste qu'à trois. 1, le jeune homme lança un sourire amusé à sa princesse. 2, Seiko embrassa la jeune Poufsouffle, ce fut un baiser court certes, mais tendre et passionné. 3, cette fois ci le jeune préfet de Serpentard se jetta à l'eau en entrainant avec lui Calaïs. Les yeux ouverts malgré le froid saississant du lac, le jeune préfet jetta des regards curieux tout autour de lui mais malheureusement les profondeurs étaient trop sombres pour que l'on puisse voir quelque chose. Les poumons commencèrent à réclamer de l'air violemment. Seiko sortit alors sa tête de l'eau et prit une profonde inspiration.
Intense bonheur. Le jeune homme chercha Calaïs des yeux. Celle ci était en train de se diriger vers lui, un grand sourire aux lèvres. Le contact de ses bras glacials sur sa peau le fit légèrement frissoner. Seiko, lui, posa ses mains sur la taille de la jeune femme.

"Me voila rassuré." s'exclama t'il.

Après avoir répondu au clin d'oeil de la jeune femme, Seiko accepta les lèvres sucrés de Calaïs et il l'embrassa sans retenu. Il rafollait de ce genre de surcrerie. Tandis qu'il l'embrassait avec amour, la jeune Poufsouffle en profita pour le destabiliser et le faire tomber une nouvelle fois à l'eau. Plouf. Voila que Seiko se retrouvait une nouvelle fois sous l'eau mais pas seul. Il avait reussis à entrainer Calaïs dans sa chute. Manquant d'air, il sortit une nouvele fois la tête de l'eau. Ses cheveux mouillés lui recouvraient la moitié de son visage asiatique et ses vetements le collaient au corps. On pouvait voir à travers son tee-shirt blanc un torse assez musclé.

"Tu ne t'en sortiras pas comme ça crois moi." lança t'il à Calaïs, une pointe d'amusement dans le regard.

Le jeune homme se mit alors à courir après Calaïs, qu'il rattrapa assez facilement. Il se mit alors à lui chatouiller les côtes, l'endroit par excellence. Personne ne pouvait resister à ce genre de chose, pas à la connaissance du jeune coréen en tout cas. Une fois que le jeune homme eu finit de "torturer" la pauvre préfete de Poufsouffle celui ci lui demanda:

"Il faudrait peut être que l'on aille se rechauffer maintenant. Je n'ai pas envie que tu tombes malade à cause de moi."

La belle française se laissa emporter dans l’eau avec Seiko mais leur mains restèrent souder même dans l’eau glaciale.
Ensuite la jeune femme se releva et mit la tête hors de l’eau. Elle lâcha la main de Seiko pour ranger ses cheveux sur son épaule.
Pendant un instant elle regarda avec envie le beau préfet et elle souria avec plaisir. Ensuite ils s’embrassèrent de nouveau avec passion et plaisir.
Ils semblaient seuls au monde et la terre en cet instant aurait pu cesser ses tournoiements continuels, ils ne s’en seraient même pas aperçu.
L’eau avait collait sur les vêtements des deux élèves et la jeune poufsouffle ne pu s’empêcher de regarder le corps musclé de Seiko. Les vêtements de la jeune femme la moulait et elle se sentait un peu ridicule mais elle souriait tout de même.
Ensuite elle voulut se sauver mais Seiko la rattrapa et il commença lui faire des chatouilles. Elle explosa de rire, un rire cristallin et joyeux. Elle essayait de lui prendre ses mains pour éviter la torture mais le rire lui empêcher toutes actions.
Elle ria de bon cœur pendant tout le longs des enfantillages, voilà bien longtemps qu’elle n’avait plus ri et profité comme cela.
Ensuite elle plaqua son dos contre le torse du jeune homme puis elle lui prit les mains qu’elle enroula autour de sa taille.
Sa tête était collé contre son corps glacé ensuite le jeune homme lui proposa de rentrer. Elle lui souria avant de répondre:

« Oui c’est une bonne idée, car je sent que je vais finir en glaçon si ça continue »

Elle commença son ascension vers la berge, se fut plutôt laborieux avec les vêtements qui entravait le moindre de ses mouvements. Enfin ils arrivèrent tout deux sur la berge et elle alla s’asseoir sur le sable qui a comparé de l’eau paraissait chaud.
Enfin la jeune française chercha dans son esprit un sort qui pourrait les réchauffer. Au bout de quelques instants elle prit sa baguette et fit le sortilège de sécheresse qui instantanément la sécha puis elle retourna la baguette vers Seiko et fit la même chose.
Ils se retrouvèrent donc tout les deux au sec et au chaud. Le corps de Calaïs avait soudain retrouver une certaine vigueur, ses mains et tout le reste de son corps avait chaud.
Ensuite elle releva les yeux vers Seiko avant d’ajouter:

« Et bien ça va mieux, tu ne trouve pas? »

Elle lui fit un clin d’œil, puis elle s’approcha de nouveau de lui. Elle passa une main délicate dans les cheveux du serpentard, ce qui lui dégagea les yeux. Pendant un instant la jeune femme resta ainsi, silencieuse. Elle était si proche que son nez fins touchait celui de Seiko. Enfin elle l’embrassa encore une fois.

Mais dans la main, Seiko et Calaïs sortirent de l'eau glacial du grand lac de Poudlard où vivent des centaines voir des milliers de créatures aquatiques plus ou moins dangereuses. Ils prirent place sur l'herbe qui bordait le lac. Avant même que le jeune homme ai pu réflechir quand au moyen de se secher rapidement, la jeune préfete de Poufsouffle sortit sa baguette et prononca une formule magique qui était celle de la secheresse. Très astucieux. Il n'y avait même pas pensé. Heureusement qu'elle était là sinon il ne sait vraiment pas comment il aurait pu faire. Une chaleur intense envahit alors le jeune coréen, traversant ainsi chacun de ses membres un par un jusqu'à ce que Seiko ne sente plus le froid qu'il avait ressenti quelques secondes auparavant.

"Oui beaucoup mieux. J'avais même pas pensé à ce sortilège. Qu'est ce que je fairais sans toi ?" demanda t'il avec un petit sourire au coin des lèvres.

Calaïs s'approcha à nouveau très près de lui, si près qu'il pouvait sentir son souffle chaud sur son visage. Une forte sensation de bien être avait envahi le jeune homme. Sensation si merveilleuse et pourtant si rare. Partageant de nouveau un chaste baiser avec sa tendre princesse, Seiko ne pouvait imaginer vivre sans elle, elle qui était tout pour lui à présent: son rayon de soleil, sa raison de vivre et de garder le sourire.

"Je tiens beaucoup à toi tu sais, plus qu'à quiconque. Je ne tolérerai pas que quelqu'un s'interpose entre nous."

Par quelqu'un il entendait bien sûr quelqu'un de Serpentard. Il savait que les autres n'allait pas lui épargner des commentaires peu sympathique au sujet de sa relation avec Calaïs. Mais il y ferait face, aussi longtemps qu'il le faudra...

Le baiser dura quelques instants qui lui semblèrent une joyeuse éternité. Une éternité qu’elle aurait voulu continuait de partager avec Seiko.
Elle se sentait bien avec lui, elle n’avait pas besoin de faire semblant et Calaïs restait naturelle. Elle repensa au soir ou il s’était rencontrer et a la nuit tumultueuse qu’ils avaient passer ensemble.
Elle souria en repensant a cette nuit, cette nuit où dés le premiers regards il l’avait attirer.
Quand il lui demanda se qu’il deviendrais sans elle, ses joues rosirent un peu mais dans l’obscurité grandissante cela ne se voyait pas. Elle se sentit bête de ne pas exprimer aussi bien que lui ses sentiments, se sentiments qu’elle partageait avec Seiko. Pourtant la française se demandait aussi se qu’elle deviendrais sans Seiko? Il était devenu le centre du monde pour elle et les quelques échos qu’elle avait eu de lui, surtout ceux de William l’avaient touché mais elle avait su résister.
Alors qu’elle pensait aux paroles d’un des jumeaux de serpentard justement il aborda le sujet. Elle y avait penser bien sur mais que faire contre l’amour. Elle espéra juste ne pas faiblir. La préfete pensa que de toute façon même si elle faiblissait, il n’en saurai rien. A ce moment là précis elle se dit qu’elle cacherait a son amour tout ce qui pourrait blesser leur relation, pour ne garder que le meilleur, pour ne garder que l’amour qu’elle ressentait.
La jeune française pour lui répondre plongea ses yeux d’azurs dans ceux du beau coréen:

« Moi aussi cow-boy je tiens beaucoup a toi! Et ne t’inquiète pas, personne ne viendra changer quelque chose entre nous…ensemble on sera plus fort et ce n’est pas les petite réflexions que l’on va entendre qui vont changer quelque chose n’est ce pas? »

Il était clair que Seiko souffrirait beaucoup plus des quolibets de ses amis serpentard, et elle espéra qu’il est du courage pour les affronter ou laisser passer. De son coté, la belle française savait qu’elle entendrait quelques petits chuchotements a son passage mais que rarement les élèves risqueraient un conflit ouvert avec elle.
Elle lui fit ensuite un baiser dans le cou avant de l’enlacer.

"Oh non ne t'inquietes pas. Il me faut beaucoup plus que quelques petites reflexions pour m'atteindre. Malheureusement je sais qu'on va y avoir droit, c'est inevitable, de plus que nous sommes tout les deux préfets mais bon, on fera avec. Et puis après tout il ne nous reste que 2 ans à passer dans cette école et cela passe relativement vite."

Seiko a toujours su faire preuve d'une grande patiente et d'un courage certain et remarquable. En entendant cela on pourrait croire que le jeune homme est quelqu'un d'extraordinaire ce qui n'est pas le cas bien evidemment. Personne ne peut se vanter d'avoir toutes les qualités possible et imaginables et surtout pas le jeune coréen. Non, il n'était pas comme ça... Son passé n'était pas tout rose comme beaucoup de monde...

Ne voulant pas faire ressurgir de mauvais souvenirs dans son esprit, le jeune homme secoua la tête brevement comme pour s'en debarasser. Ses cheveux qui par chance avaient pu secher grâce au sortilège de la belle Calaïs se remirent en bataille sur sa tête. Parfait. C'est exactement ce qu'il voulait. Après ctte petite seance de recoiffage ( ^^ ) le jeune homme plongea ses yeux vert émeuraudes dans l'océan azur de ceux de la jeune Poufsouffle, tandis qu'il passait ses mains autour de sa taille. Le petit baiser dans le cou que lui offrit sa princesse le fit frissonner de plaisir. Celui ci l'imita ensuite et il l'enlaca amoureusement. Il attendit que celle ci eu finit ses petits baisers dans son cou pour le faire à son tour. Avec délicatesse, le jeune homme lui offrit mille baiserdans son si joli coup puis il remonta tout doucement àses lèvres qu'il captura instantanement.

"Jaohaeyo." dit il dans sa langue natal.

Ne sachant pas si la jeune femme comprenait le sens de ce mot, Seiko préféra lui expliquer avec un petit sourire au coin de ses fines lèvres.

"Jaohaeyo veut dire je t'aime en coréen. Et je crois qu'en français on dit: 'je t'oime" non ?"

Le jeune homme su rassurer la belle française, en lui disant qu’il lui en fallait plus que de petites railleries. Calaïs le croyait car il avait du voir bien d’autres choses beaucoup plus terribles que des petites moqueries. Calaïs n’osa rien demander sur le passé du jeune homme, elle ne connaissait que son origine et qu’elle le connaissait très peu.
Néanmoins la française pensa qu’il apprendrais a ce connaître et que de toute façon c’était le moment présent qui comptait le plus et qu’il était inutile de ressasser les lourds souvenirs du passé.
Les pensées de la jeune poufsouffle furent vite effacé, toute son attention était attiré par le coréen qui se secouer les cheveux pour les mettre en place. Calaïs avait déjà remarquer cette petite manie et elle trouvait cela charmant.
Puis le coréen laissa tombait ses yeux verts dans ceux de Calaïs, s’installa alors une sorte de dialogue visuelle qui amusait beaucoup la jeune femme. Elle trouva exceptionnel que deux personnes puissent dire leur amour rien que dans un regard.
Ensuite lorsqu’elle déposa un baiser dans son cou elle le sentit frissonner et cela lui fit très plaisir. Ensuite il l’imita et elle aussi ne pu que fondre sous les baisers du beau serpentard.
Enfin il l’embrassa tendrement et le cœur de Calaïs semblait partir loin…Ensuite il prononça un mot, c’était apparemment du coréen, elle ne compris pas bien sur mais devina que ce mot là voulait dire je t’aime, il ne pouvait signifier autre chose. Puis il essaya de dire la même chose mais en français la jeune Calaïs ne pu que sourire avant d’ajouter:

« Oui c’est a peu prés ça….ton accent est formidable »

Son ton était amusé et elle lui fit un clin d’œil. Il est vrai que son accent était un peu bizarre mais elle trouva cela plutôt marrant et touchant.
Calaïs se cola de nouveau contre lui; elle approcha sa bouche sucrée de son oreille avant de murmurer:

« Jauhaaiyo. »

Son accent a elle aussi devait être pitoyable mais cela l’amusa beaucoup. Calaïs se recula un peu en souriant. Elle continuait a ne pas lâcher des yeux le beau préfet.

« Oui c’est a peu prés ça….ton accent est formidable »
"Je vais m'entrainer tu verras, c'est pas si compliqué que ça non ?" demanda t'il avec un sourire. "Quand à mon accent je pense qu'il a besoin d'une petite révision." finit il par dire avec ton amusé.

Seiko imita Calaïs et se rapprocha d'elle un peu plus chaque seconde. Il la laissa venir lui murmurer à l'oreille. Un large sourire s'afficha sur ses fines lèvres qui n'avaient pas vraiment l'habitude. Son accent franco-anglais avait prit le dessus lorsque qu'elle prononça "je t'aime" en coréen. C'était assez marrant et assez mignon à entendre. Lui aussi avait du avoir un drôle d'accent lorsqu'il avait tenter de dire un mot en français. Mais il y a tellement de cultures, tellement de langages différents qu'il était impossible de toutes les connaitre, voir même improbable. Heureusement les grandes écoles permettaient de réunir tout cela en un seul lieu. Ce n'est pas parceque cette école se trouve en Angleterre qu'il y avait majoritairement des britanniques qui y étudiaient, bien au contraire.

"Moi aussi." répondit il à la jeune Poufsouffle.

Le jeune captura les lèvres de la jeune préfete si douce le court d'un instant. Un instant magique, presque irréel. En sa compagnie, Seiko avait l'impression de rêver, comme si une jeune femme comme ça ne pouvait exister. Pendant un instant celui ci voulu se pincer histoire d'en être vraiment certain. Mais il abandonna vite cette idée complétement débile. Non il ne révait pas. Il se trouvait bel et bien au bord du lac en compagnie de Calaïs, la jeune femme qui a su capturer son pauvre coeur qui n'avait jamais encore connu l'amour.

"Au fait tu fais quoi ce week end ? Est ce que tu vas à la sortie organisée à Pré au Lard car j'ai pensé qu'on pourrait y aller ensemble. C'est une bonne idée non ? Qu'est ce que tu en penses Calaïs ?"

La jeune femme profita de cet instant de plaisir. Leur lèvres restèrent quelques instants enlaçaient pendant que la poufsouffle avait glisser ses mains contre le torse musclé du beau Coréen.
Lorsque se baiser prit fin elle continua de plongeait ses yeux saphirs dans le regard du beau serpentard.
Sa tête et sa raison ne pouvait croire a ce moment de plaisir, de simplicité; cette sensation de joie qui l’envahissait, ce sentiment qui en fin de compte ne pouvait être vraiment défini. C’était un feu constant qui s’animait au plus profond d’elle. Son âme et son cœur ne pouvait que croire en se sentiment qui la submergé avec la violence d’un ouragan qui au lieu de tout détruire, ranimerait la vie.
Le regard de Seiko la faisait frémir et elle continua de sourire lorsqu’il coupa le beau silence.
Il lui parla d’une sortie a Pré-au-lard et elle fut encore plus réjoui… Elle se laissa quelques secondes avant de répondre d’un ton joyeux:

« Je n’avais rien de prévu pour se week-end et je serais donc ravie d’y aller avec toi. »

En fait elle n’était même pas au courant de cette sortie, bizarre pour une préfete que personne ne l’ai prévenue…elle réfléchit quelques instants puis se souvint qu’en fait on l’avait bien prévenu mais il y a de ça beaucoup de semaines, cette sortie a Pré-Au-Lard était complètement sortie de son esprit.
Elle était un peu déboussolé par les sentiments qui l’assaillaient car c’était la première fois qu’elle sentait se feu lui venir dans le ventre et elle essayait de profiter de ce feu avant qu’il ne s’éteignent: chose qu’elle ne désirait pas le moins du monde!
Son cœur valsait et cela lui faisait énormément de bien. Elle nu peut contenir un autre baiser, qui vint caresser une nouvelle fois les lèvres de Seiko. Les lèvres sucrées de la jeune femme venait se fondre sur la bouche du serpentard avec une passion inouïe; elle se sentait vivre.

"Génial ! Je sens qu'on va passer une bonne après midi tout les deux. Et puis avec un peu de chance on arriva à trouver un petit coin tranquil où se caller sans êtres dérangé par les autres élèves."

Le jeune homme était super content que la jeune femme accepte tout de suite sa proposition, même si cela ne se voyait pas vraiment sur son visage. Jusqu'à aujourd'hui celui ci n'avait pas vraiment un visage très expressif c'est pour cela qu'il est généralement très difficile de deviner ceux à quoi il peut penser ou alors se qu'il ressent sur le moment. Seiko s'en servait comme d'un atout majeur, comme d'une carte à jouer dans certains moments critiques.

S'amusant avec ses doigts, dont les ongles étaient d'un noir de jaie, à tripoter son écarteur qu'il avait à l'oreille droite, Seiko reflechissait à tout ce qu'ils pouvaient faire lui et sa princesse à Pré au Lard ce week end. Peut être aller faire un tour à la boutique de farce et attrape, aller boire un verre dans un pub ou bien alors aller faire un petit tour dans la cabane hurlante, celle connue à travers toute l'Angleterre grâce aux rumeurs qui circulaient à son sujet. C'est d'ailleurs cela qui l'incitait tant à aller la visiter, bien que l'accès y soit interdit. Heureusement le jeune homme était doué pour transgresser les règles...

Une voix vint interompre le silence qui s'était installait entre les deux adolescents. Ce ton narquois ne pouvait appartenir qu'à un Serpentard, il en était pratiquement convaincu. Seiko, dont le petit sourire avait disparu se retourna pour écouter ce qu'il était en train de lui lançer:

"Tu dois vraiment être en manque Sama pour te taper une Poufsouffle. Je serais toi je ferais l'effort de me cacher histoire de pas trop me prendre la honte."

"Si j'étais toi je fermerai ma gueule Wilson. Et tu n'es pas vraiment bien placé pour faire ce genre de remarque, tu veux que je te rafraichisse la mémoire ?" demanda t'il avec un sourire moqueur sur les lèvres.

Fière de lui, Seiko regarda avec mépris le Serpentard de 7eme année qui jura alors à sa remarque. Il voyait exactement où le préfet de Serpentard voulait en venir. En effet Seiko avait eu vent d'une aventure que celui ci aurait eu avec une Serdaigle de 4eme année. Voila un atout qu'il allait exploiter à fond. Le regardant s'éloigner de lui peu à peu, la colère au ventre, Seiko se retourna vers Calaïs et l'embrassa amoureusement.

"Désolé de ce petit accrochage..."

La française regarda amoureusement le beau Seiko. Apparemment il était content qu’elle ai accepté. Cela profilait au loin une excellente après-midi et rien que dit penser la jeune femme avait un sourire beaucoup plus marquer. Seiko espéra qu’a Pré-Au-Lard il trouverait un endroit tranquille et Calaïs espéra aussi car sur leur chemin les réflexions ne manqueraient sûrement pas. En guise de réponse la poufsouffle embrassa le jeune Slytherin avec passion. Ses mains était toujours autour de sa taille et la chaleur du sortilège ne les avaient pas quitter. En fin de compte ce n’était peut-être pas le sortilège qui faisait avoir chaud a Calaïs mais tout simplement le contact des lèvres de Seiko sur les siennes.
Soudain une vois s’éleva derrière elle:

"Tu dois vraiment être en manque Sama pour te taper une Poufsouffle. Je serais toi je ferais l'effort de me cacher histoire de pas trop me prendre la honte."

La jeune femme décrocha ses lèvres, elle était très surprise car elle se croyait seule avec Seiko. La française se détacha de Seiko et retourna la tête, c’était un autre serpentard. Elle le fusilla du regard mais n’osa pas s’abaisser a provoquer un serpentard. Heureusement le beau coréen répliqua d’une manière sanglante. L’autre serpentard se faufila entre les arbres de la foret comme une vipère avant de disparaître. Calaïs se sentit mal a l’aise, depuis combien de temps les regardait il? Il les avaient vus depuis le départ et la rumeur sur leur couple serait très vite répandu a l’intérieur de la célèbre école. La jeune femme poussa un soupir et se demanda pourquoi Seiko était un des leur. Elle n’osa rien lui dire sur ses sentiments et elle laissa couler.
Mais la rancœur qui commençait a prendre part dans son âme fut vite tuer. Seiko l’embrassa de nouveau. Calaïs, elle, se laissa embrasser tendrement et en profita de pour se blottir dans les bras protecteur du jeune asiatique.
Au bout de quelques secondes la jeune fille releva les yeux et plongea de nouveaux son regard dans celui du coréen et a regret elle ajouta:

« Et si on rentrait Seiko, je suis extenué! »

Seiko esperait beaucoup que les propos que venait de proférer cette imbécile de Wilson ne l'affectait pas trop. Bien sûr il était difficile de ne pas se sentir peiné par ces propos,mais l'un comme l'autre ils devaient y faire face ensemble pour que leur couple en sort encore plus fort. C'était ceka le principal et le plus importants aux yeux du jeune coréen. Faisant preuve de beaucoup d'attention envers sa belle princesse, Seiko la laissa se blottir dans ses bras. Il lui caressa le visage avec une extrême douceur avec une main tandis qu'avec l'autre il lui caressait les cheveux.

« Et si on rentrait Seiko, je suis extenué! »
"Pas de problème princesse."

Le jeune homme se leva sans brusquerie puis il tendit poliment une main à la jeune Poufsouffle pour l'aider à se lever à son tour. L'obscurité commencait peu à peu à prendre possession des lieux. Seuls quelques rayons de soleil persistaient à traverser cette noirceur plus que présente. Avec une assurance certaine, Seiko attrapa l'une des mains de sa compagne avant d'entamer leur retour au chateau. Un silence étrange régnait à ce moment la. Il était presque dérangeant, mais le préfet de Serpentard n'arrivait pas à se l'expliquer.

"Tu veux que je te racommpagne à ta salle commune ou tu préféres que l'on aille diner dans la grande salle maintenant ?"

Le jeune lança un regard interrogatif à Calaïs. Elle était exténuée et cela était parfaitement comprehenseible après une journée de cours. Lui même était un peu fatigué par tout ça. Peut être que Calaïs préférerait aller se reposer dans son dortoit. Si c'était sa décision il l'a respecterait.

La jeune Calaïs resta blottit contre Seiko et en profitant de ses caresses remplies de douceur. Puis avec douceur il accepta de revenir au château. La jeune française se sentait fatiguer mais heureuse, apaisée d’un amour et d’un manque comblé. Ils rentrèrent main dans la main jusqu’au château puis ils s’arrêtèrent dans l’immense hall. Quelques garnements de première pouffaient de rire derrière eux. La préfete ne sembla pas y prêter attention, après tout ce n’était que des enfants, pouvait on vraiment prendre au sérieux des petits premières années…
Ensuite Seiko reprit la parole et se qui coupa net les rires; pourtant les jeunes élèves étaient bien trop a l’écart pour être entendu.

~"Tu veux que je te raccompagne à ta salle commune ou tu préfères que l'on aille dîner dans la grande salle maintenant ?"~

La jeune femme était plutôt fatigué et son esprit était bien ailleurs. La joie de cet amour naissant avait emplie tout son être avec une délectation inimaginable. Elle sentait que si quelques choses rentrait dans son estomac, tout ressortirait aussitôt.
Parfois le corps ou peut-être son esprit ne voulait rien entendre et c’était comme cela, cela ne servait pas a grand chose de forcer le passage. Elle lui souria avec passion puis lui répondit:

" Je crois bien que mon estomac ne voudra rien recevoir se soir! Je veux bien que tu me raccompagne! "

Elle se sentit un peu gênée de s’imposer comme ceci. Son sourire s’estompa un peu avant qu’elle ne reprenne:

« Bien sur si tu préfère aller manger, tu peux y aller! Maintenant que je sais où est ma salle commune et maintenant que je connais le mot de passe, je pense que je peux m’en sortir »

Elle rigola en pensant a cette drôle de première nuit qu’il avait passer ensemble. C’était une étrange d’entrée en matière mais en y réfléchissant c’était tellement drôle. Calaïs lui fit un clin d’œil avant de reprendre la main du jeune Slytherin.

" Je crois bien que mon estomac ne voudra rien recevoir se soir! Je veux bien que tu me raccompagne! "
"Vos dires sont des ordres chere demoiselle." répondit il avec un ton charmeur qu'il utilisait vraiment très peu, voir jamais d'ailleurs.

Le jeune homme, prit dans une moment de folie qui peut arriver à n'importe qui, commenca a faire la révérence devant Calaïs comme le faisait si bien les gentilhomme dans le temps sauf que lui n'avait pas de chapeau pour compléter le tout. N'ayant pas peur du ridicule, le jeune homme attrapa délicatement l'une des mains de la jeune préfete de Poufsouffle pour y déposer un délicat baiser.
"Pour tout de dire je n'ai pas très fam non plus. Il est rare de me voir manger à tout les repas en fait." Seiko lui sourit gentiement puis lui dit dans sa langue natale: "당신 후에 공주 ( -> ça veut dire 'après vous princesse' )"

Le jeune préfet de Serpentards attrapa la petite main frêle que lui tendit sa compagne puis ils commencèrent à se diriger vers la salle commune de Poufsouffle. Les souvenirs de leurs premières rencontre firent alors surface dans l'esprit du jeune coréen, et à la vu de ceux ci il ne put s'empecher de rire. Il fallait dire aussi qu'ils n'avaient pas eu de chance ce soir la. Entre les escaliers qui n'en faisaient qu'à leurs têtes, le chevalier fou qui se baladait de tableau en tableau et Peeves, l'esprit frappeur du chateau, ils avaient été servis.

Après avoir traversé de multiples corridors en entendant les chuchotements des élèves sur leurs passages, Seiko et Calaïs arrivèrent devant le tableau qui voilait entèrement l'entrée de la salle commune. Le jeune Serpentard s'arreta puis plongea son regard dans celui de la jeune femme.

"On se voit samedi matin alors. Je t'attendrai devant la grande salle vers 9h30 ça te vas comme ça ?"

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