La jeune française écouta avec un certain soulagement qu’il n’avait pas faim et celui-ci lui fit alors une révérence. Calaïs le regarda et ria un peu et eu un sourire beaucoup plus large qu’a l’accoutumé. Il lui prit la main et lui fit un baise-main comme on le faisait a une certaine époque. La jeune femme ne pu s’empêcher de secouer sa tête comme pour dire non mais ce n’était pour affirmer un mécontentement, non juste elle était amusée du comportement du jeune serpentard.
Enfin ils se remirent en route sous les chuchotements des autres élèves qui aller dans leur salles communes ou dîner. A vrai dire ces petites gamineries du chuchotement lui passait bien au dessus de la tête. Pour l’instant elle se concentrait et savourait la sensation de leurs mains collaient ensemble. C’était un tel bonheur de se sentir aimé et quand Seiko la regardait elle se sentait belle et épanouie de son amour.
Enfin ils arrivèrent devant la salle commune des poufsouffles. Quelques deuxième année passèrent devant eux pour s’engouffrer dans l’antre de la salle. Ensuite Seiko plongea son regard émeraude dans celui de Calaïs. Le silence se fit mais pourtant ils semblaient se parler avec autant d’ardeur qu’avec des mots. Leurs mains étaient toujours entremêlés et enfin le beau Slytherin prit la parole:
« On se voit samedi matin alors. Je t'attendrai devant la grande salle vers 9h30 ça te vas comme ça ? »
La jeune Calaïs eu un petit sourire gêné, elle se connaissait et elle le samedi c’était toujours la cohue. En plus si cela était une sortie pour tout le monde, il fallait qu’elle fasse un petit topo pour rappeler les règles et il serait donc plus pratique pour la préfete de rejoindre Seiko au niveau de l’entrée du village. Alors elle continua de sourire avant de reprendre:
« C’est très gentil mais ça ne te dérangerais pas que l’on se retrouve a l’entrée de Pré-au-Lard, car Samedi ça va être la cohue et je ne pense pas que l’on puisse être tranquille pendant le trajet jusqu’au village. »