Dans sa "prison"...

Sachiko se reposait dans le corps de sa poupée. Ses journées se déroulaient toujours de la même manière depuis que Théo l'avait laissé dans ce lieu.
Ses seules distractions était ses aller retour entre la grande salle et son taudis, ou observer le travail des elfes de maison dans leur cuisines.
Les cuisines se trouvait juste à cotés, il arrivait de voir passer des élèves mais aucun l'avait déjà regardé.
Il arriver aussi que durant 1 heure, un elfe de maison venait faire le ménage dans son taudis, et retirais la poussière qu'il s'entassait sur la porcelaine.
Mais ce qui lui faudrait c'était un bain, un vrai qui lui permettrait d'enlever toute les taches, d’humidité et de saleté.
Elle aurait tant aimé que la robe de poupée retrouve son éclat d'origine, et que les différents trous formé par les rats ne s'y trouvent plus.

Ce matin là elle c'était réveiller à cause du gros rat noir qui avait prit un malin plaisir de grignoter sur les jambes de la poupée.
Elle entendit du bruit dans le couloir, si elle avait toujours son cœur, elle aurait pu l'entendre battre à tout rompre dans l'espoir de voir Theo entré, s'excuser de la voir laisser là et la serrer dans ses bras.

Mais comme toutes ses journée, le bruit s'évapora et le sourire qui venait d'apparaitre s’évanouissait.
Elle se retira de l'enveloppe ou elle c'était reposer, pour aller voir qui était passé dans le couloir.

La personne devait être parti depuis longtemps, ou simplement croire qu'elle était un fantôme et donc qu'elle errait n'importe où. Elle avait plusieurs fois rêver qu'elle flottait ou bon lui semble, et observer la vie quotidienne des élèves, tel un fantôme .Et à son réveil elle souffrait toujours un peu plus de son isolement, si bien qu'elle avait décidé de ne plus croire qu'elle sortirait d'ici, mais son désir de voir son rêve s'exaucé était plus fort et elle ne pouvait s'empêcher d'espérer encore et encore... et encore.

Une fois dans le couloir elle tourna la tête mais rien, juste l'immense couloir sombre, elle se tourna vers la porte et se figea, elle était tellement idiote de ne pas y avoir pensé... elle tendît la main pour essayer d’ouvrir, mais elle passa à travers, elle 'n’avait plus l’habitude. Elle se concentra et le bruit de la porte qui s’ouvre la fit sursauté, elle se rua dans la poupée pour la faire bouger. [Les elfes apparaisse avec un « pop » ] Ce qui était plus dur qu’elle le pensait, les elfes ne l’avaient plus dépoussiéré depuis un petit temps et le corps était plus lourd.
Mais elle parvint à sauter de sa chaise et se dirigea vers la porte, franchir cette arcade l’angoissait, elle fit plusieurs pas avant de tomber sur ses genoux. Elle rampa jusqu’au mur opposé ou elle s’assied, le dos contre le mur, pour retrouver des forces.

Espérant que personne n’allait la remettre à l’intérieur la croyant pour une simple poupée de porcelaine toute sale.

En ce début d’après-midi la jeune Calaïs se promenait dans les cachots. Il était plutôt rare de voir la poufsouffle dans le domaine sombre et poussiéreux des Serpentards mais aujourd’hui elle avait décider de faire une petite visite initiatique. C’était la partie de Poudlard qu’elle connaissait sûrement le moins et la jeune préfete estimée que ce pouvait être utile de connaître cette école comme sa poche.
Voilà quelques minutes déjà qu’elle marchait entre les murs étroits de se dédale et qu’elle trouvait cet endroit plutôt répugnant. Ensuite elle bifurqua dans un autre petits couloirs et continua sa route jusqu’à voir a ses pieds une poupée.

Calaïs la regarda pendant un instant puis se pencha vers elle. Cette poupée était bien amochée mais elle était tout de même jolie. La jeune poufsouffle continua de la regarder pendant un certain temps puis elle sortit une sorte de chiffon de sa poche. Elle lui passa un coup pour lui enlevait la poussière puis la prit dans ses bras. C’était un geste des plus maternel, comme une mère porte son enfant.
La française continua de nettoyer la poupée et la débarrassée de cette affreuse poussière. En la regardant mieux, elle vit qu’il lui manquer des partis, cette poupée de porcelaine avait été grignoter par ces rats…
Enfin elle se mit a dire:

« Et bien ma vieille va falloir faire quelques choses ein! Je peux pas te laisser comme ça ! »

Calaïs se sentit ridicule de parler a une poupée et même de la prendre dans ses bras comme si elle était son propre enfant. Mais cette poupée ne semblait pas comme les autres, elle avait quelque chose d’humain presque. La française se rappela que petite elle n’avait jamais jouer avec des poupées et qu’elle avait toujours préférée les animaux…
Enfin elle tira sa baguette et reprit:

« Recurvite »

La poupée devient presque neuve, bien sur il lui manquait toujours des partis mais elle était propre et éclatante. Pourquoi elle n’avait pas penser a se sort plus tôt?!

Sahiko était épuiser,elle n'avait plus la force de quitter ce corps, avant après avoir utiliser l'apparence humaine elle devenait invisible,ouiil lui restait toujours un peu de force pour vivire endehors de la poupée.
Elle entendait des pas, ses yeux était fermé et n'avait donenr aucun signe de vie . Elle le senti soulever, quelque chose lui chatouillait oles cheveux ,puis le visage les bras

* Un elfe? ho non il va me remettre dans la pièce... *

"Elle sentit ensuite déposer, elle aimait cette poisition coucher, mais pas de trop,ses jambe ne tombait pas dan le vide ils étaient soutenu,tout comme sa tête ,elmle se sentait bien ,et osulagé un elfe de maison la prenait jamais de cette façon , c'était bien un élève ou un professeur , elle était sauvé? Elle entendi le osn de sa voix,on lui parlait à elle, non à la poupée on la considérait pas comme un fantome ;
Qu'allait-ellel faire? oui elle car la voi était douce ,signe distinctif que c'était une fille.
elle entendi le son du sort ,elle détestait ce sort elle pouvait sentir comme une eau parcourir tout son corps de la tête au pied, et cette sensation de bulle qui éclatait et disparaisait lui provoquait des chatouillis.

Puis plus rien, Sacjiko devait agir, ne pas se montrer pourrait la nuire.Une simple poupée n'attire pas et une poupée ensorcoler attirait que jusqu'a un certian âge elle l'avait remarquer avec théo.. Theo et si il revenait et qu'il la trouvait pas? Non C'ets elel qui irait à lui , avec l'aide de sa nouvelle maitresse .

Doucement elle ouvrit les yeux éspérant que la miss n'allait pas la lacher, une chutte peut la casser ,ses yeux fixait la jeune fille, elle était belle. Elle était ravie d'avoir une maitresse aussi jolie.
elle se redresssa légèrement,ce qui lui demandait un grand effort mais cette chaleur qu'elle ressentait lui donnait la force d'agir. Une parole un simple parole soit c'était la fin du suavetage soit le comemncement d'une grande aventure [/i]

"Bonjour maitresse..."

Calaïs continuait de regarder la poupée avec un des yeux tendres et amicaux. Le temps semblait si lointain a présent ainsi que tout le monde extérieur. Il y avait quelques choses de peu commun en cette poupée…
Soudain elle vit la poupée ouvrir les yeux et leurs regards s’entrecroisèrent. La poufsouffle ne comprit pas ce qui se passait et se demanda même si cela était vraiment réel. Puis chose encore plus exceptionnelle, la poupée de porcelaine se redressa. Elle resta assise et Calaïs ne réagissait toujours pas. En fait elle ne semblait pas croire a ce qu’elle voyait. Il est vrai qu’elle en avait vu des choses bizarres mais alors des comme ça…jamais. Enfin comble de l’étrange, la poupée s’exprima:

- Bonjour maîtresse...

* Nom de dieu, voilà qu’elle me cause maintenant…*

La française continuait de regarder se petit être entre ses bras pendant que son cerveau avait lancé l’analyse de la situation. Elle avait beau chercher, la jeune femme ne savait pas trop comment réagir. En tout cas elle était bien intriguée par se phénomène et pendant un instant la préfete pensa même a une blague…
Mais plus les minutes s’écoulaient et plus la jeune française retrouvée sa sérénité, petit à petit le ménages se faisaient dans l’esprit troublée de Calaïs. Enfin la jeune femme répondit:

« Bonjour »

Silence

« Pour ce qui est du maléfice, toi on ne t’as pas loupé… »

Ce devait être de la magie plutôt puissante qui avait mit sur pieds cette poupée. Néanmoins Calaïs restait persuader que cette poupée était bien plus qu’un objet animé… Elle pouvait lire de l’humanité et l’innocence d’un enfant dans les yeux ébène et sans fond de ce jouet…
Enfin Calaïs se félicita de son sang-froid et était impatiente d’entendre encore une fois la poupée.

Sachiko attendait et plus le silence s'agrandissait plus elle s'inquiétait de son sort, elle devrait peut être en profiter pour fuir, pour sauver sa peau... Non c'est vrai pour sa première famille elle était déjà morte, que peut il lui arriver de pire aujourd'hui?

Elle était don resté dans les bras, assise sagement et attendait... Elle ne savait pas trop quoi attendre avec Théo c'était la grand mère qui avait expliquez les choses, et puis elle avait pu quitter le corps de la poupée, aujourd'hui non.

Sa nouvelle maitresse ouvrit enfin la bouche pour parler, et Sachiko était folle de bonheur, elle ne l'avait pas jeté contre le mur, et lui avait répondu. Un bon point mais que dire à présent...
Elle souri doucement autant que lui permettait de bouger ses lèvres, la seconde phrase poignarda le cœur de Sachiko, autant qu'elle en a un.
Elle bougea la tête positivement

" Oui...depuis longtemps..."

Elle secoua la tête et pencha sa tête pour regarder la Poufsouffle, elle avait aperçu le blason et Sachiko avait entendu que les Poufsouffles était très agréable, Théo lui était à Gryffondor. Et il ne s'entendait pas beaucoup avec ses camarade de Poufsouffle

"Mon nom est Sachiko, et vous maitresse?"

L’espoir de revoir Théo grandissait de plus en plus en elle, si sa nouvelle maitresse la prenait avec elle, elle pourra le voir et pourtant ce visage là elle l’avait jamais vu. Mais c’était peut être une fillette qui avait grandit et donc changer. Oui c’était certainement pour ça. Ou une nouvelle, une nouvelle qui venait d’arriver à Poudlard.

La petite poupée lui répondit alors presque instantanément et lui expliqua qu’il y avait longtemps qu’on lui avait jeté ce sort. Ensuite Calaïs vit clairement apparaître une esquisse d’un sourire sur le visage de porcelaine.
Ensuite la petite poupée lui indiqua son nom

* Sachiko…*

Plus les minutes fuyait et plus la jeune femme semblait comprendre ce qui arrivait a cette petite Sachiko. A présent Calaïs ne s’étonnait plus d’entendre le son de sa voix pourtant elle semblait troubler par le mot « maîtresse ». Elle ne voulait pas être sa maîtresse, la française ne comprenait même pas a qui elle avait a faire…
Enfin la jeune poufsouffle répondit d’une voix aimable:

« Je m’appelle Calaïs Andromaque, préfete de la maison poufsouffle et en 6eme année… Enchantée Sachiko! »

De nouveau, elle replongea dans un silence de surface ainsi que dans ses pensées. Elle se demandait quoi faire de cette poupée… car il fallait l’admettre c’était une poupée, rien qu’une poupée?! Calaïs avait quand même du mal a intégré tout ces nouveaux éléments… croire son instinct ou la raison? En vérité la française n’en savait rien.
Ensuite elle reprit:

« Au fait ne m’appelle pas maîtresse… Calaïs si tu veux mais pas maîtresse! Quelque soit ce que tu est, je n’ai aucune autorité sur toi! »

La frenchie continuer de plonger son regard maternel dans ce de l’enfant de porcelaine et lui souria. Une sorte de bienveillance émané de Sachiko autant que de Calaïs. Enfin elle continua toujours sur le même ton:

« Parles moi un peu de ce maléfice Sachiko »

La curiosité de Calaïs était vraiment titiller par cette étrange Sachiko et des centaines de questions valsaient dans l’esprit de la jeune femme…

Sachiko était de plus en plus bien, comme si tout en elle acceptait facilement de changer de maitre, elle savait qu'elle allait devoir lui obéir, même si elle aimerait tant être libre.
Théo lui obligeait de faire certaines chose qu'elle n’ aimait pas comme prendre certaines photos dans des endroits interdit au garçon . Heureusement pour elle, elle n'a jamais causé de tort à personnes, elle n'a jamais du s'attaquer à une personne, car elle en était certaines si les jumelles aurait été son maitre, elles l'auraient obligé à accomplir plus de méchanceté qu'autre chose.

Sa jeune maitresse à présent 'n’avait pas l'air de vouloir accomplir des choses ainsi. Elle écoutait le prénom et le nom de sa nouvelle famille à présent. Elle était préfète c'est un signe de respect en plus qu'elle allait devoir respecter envers elle. Mais elle était en 6ème, le dernier cour que Sachiko avait suivit était la 3ème année. Un tel décalage comment s'y ferait-elle?

* Calaïs c'est un très beau prénom, j'ai vraiment de la chance aujourd'hui *

Sachiko ne quittait pas des yeux Calaïs, Théo non plus aimait pas qu'elle l'appelait maitre. Calaïs avait ordonné de ne pas l'appeler maitresse et donc Sachiko était obligé à présent. Son premier ordre et il lui plaisait

" Comme vous voudrez Calaïs. Mais vous avez toute l'autorité que vous voulez me concernant car vous êtes à présent mon nouveau propriétaire. "

Ce que désirait Sachiko en ce moment c'était partir de cet endroit, de voir le soleil, ho oui cette lumière depuis quand ne l'avait elle plus vu? Et le parc? Était-il toujours aussi beau, verdoyant et grand qu'autrefois? Elle n’avait pas du tout envie de parler du maléfice maintenant, mais une force invisible ouvrai sa bouche et la forçait à parler

" Je suis Sachiko Todoroki , j'ai 8 ans.. Non j'avais 8 ans quand j'ai ouvert un livre qu'il ne fallait pas. Et depuis je suis attacher à cette poupée pour servir la propriétaire. Vous m'avez ramassé vous êtes donc à présent ma nouvelle mais... Celle à qui je dois obéir.… Puis-je vous demandez un service Mlle Calaïs ?"

Les grains du sablier de son esprit semblaient s’écouler paisiblement et Calaïs faisait preuve d’un certain calme. Pourtant son cerveau travailler a toute allure pour comprendre un peu mieux la situation et comprendre aussi se maléfice. La préfete semblait tout de même impressionnée par les expressions de cette poupée, elles étaient si vraies… Son visage essayait de retranscrire les expressions humaines et c’était plutôt réussi pour un être de porcelaine. Enfin la petite Sachiko lui répondit:

- Comme vous voudrez Calaïs. Mais vous avez toute l'autorité que vous voulez me concernant car vous êtes à présent mon nouveau propriétaire. -

La jeune française fut surprise par le ton de cette réponse. Un ton de soumission totale comme si elle avait été dieu et Sachiko une simple mortelle. Ce ton lui faisait froid dans le dos. Le pouvoir remonté au titre de divinité intouchable n’avait jamais été bon pour quelqu’un… Le pouvoir n’avait jamais excitée Calaïs…

* Nouveau maître…*

La poufsouffle pensée a ses deux derniers mots. Ils traversaient son esprit et se répétaient jusqu’à les assimilés. En fait cette soumission l’énervée un peu et elle pensa que ce devait être tout aussi désagréable pour Sachiko. Alors la jeune femme regarda la poupée dans les yeux et reprit:

« Écoute Sachiko… Tu connais l’expression Ni Dieu, Ni Maître? Applique se principe si tu ne veux pas que je te laisse dans se trou a rat! »

Le ton de Calaïs n’était pas agressif ou colérique mais elle voulait que se soit clair… Puis elle lui souria pour lui expliquer que ce n’était pas grave. Ensuite la poupée lui expliqua la vérité sur ce sortilège. Calaïs avait donc raison… Sachiko était bien plus qu’une poupée animée. C’était une petite fille enfermée dans le corps d’une poupée de porcelaine.
La frenchie fut émue par cette histoire et prit conscience qu’il fallait délivrer la fillette de se corps. Ce serait sûrement dur mais il fallait le faire! Ce sortilège était certainement très puissant; manifestement de la magie ancienne et noir…
Tandis que Calaïs faisait le tour de son cerveau pour voir les possibilités qu’il lui était offerte pour détruire le maléfice, elle se souvint que la petite fille lui avait demander un service.
Ainsi la préfete répondit d’une voix amical:

« Va-y, je t’écoute, que voudrais-tu? »

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