Balade [libre]

Le printemps avait fait sortir Shawn de sa taniére et il s epromenait tranquillement dans les rues du chemin de traverse sans but précis , lui qui se fixait toujours un but et qui n'aimait pas vraiment les endroits trop fréquentés il avait battu tous les records aujourd'hui : tout d'abord il s'était rendu au Chaudron baveur la dernière fois qu'il y est passé remonte à l'époque où il était élève à Poudlard en 4éme année. Le barman était tellement surpris de le voir qu'il cassa un verre quand Shawn lui demanda une bière fraîche et qu'il s'alluma une clope au comptoir en attendant que la bière arrive. Après cette escapade il s'était rendue au glacier et avait sortit des dossiers qu'il avait feuilleté en mangant une vanille-chocolat-pistache-rhum raisin avec une goutte de rhum au fond et beaucoup de chantilly au-dessus ; et enfin il avait décidé de se balader chose rare chez lui il faisait ce qu'on pouvait appeller du léche-vitrine.

Il vit quelques collégues dont un qui voulut l'arrêter en pensant que c'était un Angel qui avait bu du polynectar , les autres moins zellé s'était contenté de le saluer en lui demandant si sa maison avait brûlé ou si il avait des ennuis pour sortir comme ça sur le chemin de traverse. Il continua sa route jusqu'à Gringotts où il consulta son compte puis remonta à la surface et fit un tour chez le libraire pour acheter un traité sur certaines technique de défense avancé. Il finit par se rendre au magasin de quidditch où il croisa un collégue avec qui il parla plus longuement et à voix basses comme des conspirateurs : en fait il travaillait tout deux en équipe sur une affaire sensible comprenait par là secréte ; il lui dit aurevoir et se retourna pour s'en aller et c'est à ce moment-là qu'il percuta quelqu'un...

Maëlle appréciait beaucoup cette douce après-midi de juin. Il fait beau, plutôt chaud, c’était un temps idéal pour ce promené sur le chemin de traverse. Il flânait, en profitait de ce dimanche car même si elle n’avait plus cours (puisqu’elle avait « démissionné » de l’école de Beaux-bâtons), ça mère lui laissait rarement le temps de sortir.
Cela faisait une bonne heure que la jeune fille marchait, seule, sans but précis, s’autorisant quelque fois quelques folies avec l’héritage de son ministre de père. Pour autant, elle n’arrivait toujours pas à se faire à cette idée et se surprenait à avoir des pensées telles que « Cette robe est superbe mais elle est bien trop cher pour moi ».

Entre deux boutiques, elle s’assit à la terrasse d’un café et commanda un cocktail. Elle regardait les passants, sorcières et sorciers de tout âge, en attendant de recevoir sa boisson. C’est alors, qu’une dispute, quelques mètres plus loin éclata. Un sorcier d’une quarantaine d’année en accusait un plus jeune de ne pas être celui qu’il prétendait être. Sans sortir leurs baguettes, à force de discution, l’autre parvint à le calmer. Ils semblaient bien se connaître. Des collègues peut-être ? Ils se dirent au revoir et partirent chacun de leur côté. Maëlle avait beau chercher dans sa mémoire, elle ne se souvenait plus où elle avait vu le plus jeune de ces deux sorciers. Châtain clair, petite trentaine d’année, mince… elle connaissait ce visage mais était incapable de mettre un nom dessus ; et elle détestait ça.

Elle but son cocktail rapidement ; la fraicheur de la boisson faisait presque oublier le peu d’alcool qu’elle contenait. Elle déposa quelques noises sur la table et repartit faire ses emplettes. Elle fit le plein de parchemin et d’encre pour sa prochaine rentrée à Poudlard puis ressortit du magasin. Elle franchissait le seuil de la porte quand elle aperçut, entrant dans une boutique de quiddich, juste en face, l’homme dont-elle-avait-oublié-le-nom tout à l’heure. Elle hésita un long moment (car qu’irait elle faire dans une telle boutique elle qui n’avait jamais pratiqué ce sport autrement qu’en cours de vol), mais, piquée par la curiosité, finit tout de même par entrer. L’air était lourd à l’intérieur. Elle se prit les pieds dans le tapis et, maladroite, fit tomber un de ces sacs. Elle se baissa pour le ramasser quand quelqu’un la percuta. Elle se releva et découvrit, surprise, qu’il s’agissait de l’inconnu dont elle cherchait le nom.

- bon… bonjour, bredouilla-t-elle avec son accent français dont elle ne parvenait pas à se débarrasser, excusez moi je ne vous avais pas vu.

Elle rougissait. Elle n’osait pas lui demander son nom directement. Ce serait ridicule. Elle se souvenait maintenant qu’elle avait aperçu sa photo dans le « Lumos ». Mais sur quel article ?! Ce trou de mémoire commençait à l’énerver sérieusement. En attendant, elle se trouvait bien bête à rester la, sans rien dire. Elle fut soulagée quand il repondit…

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