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 Belinda Nina Harrington

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AuteurMessage
Belinda Nina Harrington
3ème année à Gryffondor
3ème année à Gryffondor
Belinda Nina Harrington


Nombre de messages : 10
Age : 30
Date d'inscription : 20/06/2007

Carte d'identité du Personnage
Poste: Elève Gryffondor.
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MessageSujet: Belinda Nina Harrington   Belinda Nina Harrington EmptyMer 20 Juin - 18:11



Belinda Nina Harrington



Questions Hj :

  • Comment avez-vous découvert ce forum ? Par un Top-Sites
  • Comment trouvez vous le design' de ce forum ? Très sympathique, il colle bien avec l’ambiance, l’intrigue du forum.
  • Comment trouvez-vous l'intrigue de ce forum ? Très attrayante !
  • Avatar : Alison Lohman
Répartition en Rp :

Cher journal, Chère Kitty, Chère conscience,
Que de tortures ai-je du faire subir à mon cerveau pour trouver comment commencer ce journal ! Cher journal était à dire vrai relativement stupide, et chère Kitty ressemblait bien trop aux confidences que lui livraient Anne Frank. Père m’a plusieurs fois raconté cette histoire, même si la jeune fille en question n’était qu’une Moldue. J’ai appris le nazisme, et c’est un mot tellement vilain pour moi, du haut de mes treize ans, et pourtant difficile à comprendre, que je ne l’écrirais pas autrement qu’en lettre mi-nu-scules. Trop petite, que je suis, m’a-t-on dit quand j’ai demandé à connaître le sort d’Anne, alors je l’ai imaginé, mais la retranscrire ici serait bien inutile.

Pour revenir à nos moutons, j’étais bien ennuyée, devant cette page blanche, derrière laquelle s’enchaînaient d’autres pages toutes aussi vierges les unes que les autres, agrafées à ce morceau de carton, plus communément appelé journal intime, allongée sur un lit à baldaquin, une plume d’aigle nouvellement acquise à la main, ce fameux journal de l’autre. Mon seul et unique souci du moment était de trouver de quelle manière débuterais-je ce cahier, généreusement offert par Mère, qui avait cru bon d’ajouter : « Comme cela, si tu écris, tu parleras moins, ma chérie ! »

Est-il besoin de préciser que je suis une vraie pipelette ? Ma sœur jumelle, au nom pompeux d’Élena Amély, vous l’affirmera sans aucune hésitation. Mais est-ce ma faute si j’ai toujours envie et besoin de parler, de raconter ? il me faut obligatoirement de l’action, sans quoi je deviendrais … dépressive, diriez-vous ? Non, intenable, limite harceleuse. En fait, je parle pour nous deux. Él’ réfléchit, analyse et reste en permanence dans son coin, jusqu’à se faire oublier, et moi, je me charge de faire la conversation, ou de réaliser les quatre cent coups ! Cela dit, je dois avouer qu’elle est nettement moins pénible que moi : serviable, généreuse, elle est toujours prête à écouter les autres déballer leurs malheurs. Heureusement que je suis là, fille encore jeune, extravertie, pas le moins du monde timide, très franche, avec mon caractère « fort et absolument impossible », sinon, toute la misère du monde tiendrait sur ses épaules, et elle n’aurait pas fini de se faire marcher par les pieds !

Enfin, assez parlé de moi, chère conscience, puisque j’ai en fait décidé de m’adresser à moi-même, un choix à la hauteur de ma petite folie, qui me pousse à être d’une rare gaieté, bon public et facétieuse. Je t’écris en fait depuis Poudlard, mais autant t’expliquer tout depuis le début, sinon, tu risques de ne rien comprendre et de te perdre dans mes explications nébuleuses.

Voila, je suis une sorcière. Pas comme celles des contes de fées qui faisaient peur à Julia avec leur nez crochu et leurs potions aux ingrédients douteux, non, une vraie. Avec une baguette magique, des capacités encore un peu floues, comme celle de voler sur un balai dans un sport appelé Quidditch, mais peut-être, en temps que Conscience, connais-tu la nature de ce loisir ô combien formidable. Enfin, je ne pense pas que ce soit un des sujets les plus intéressants à raconter. La famille Harrington, autrement dit la mienne est une des plus anciennes familles de sang-pur et de nobles toujours aussi influents depuis le XVII ème siècle. Père en est un descendant direct et siège à la Chambre des Lords. Il est très apprécié, car il est d’une sagesse et d’une générosité rare, en plus d’être très juste. Mère, sa première femme et lui, nous ont éduqués, moi et ma sœur selon des préceptes stricts mais que nous nous appliquons toujours à respecter, malgré certains écarts de comportements, notamment de ma part, qui m’ont valu plusieurs fois quelques jours de punitions. Rien de bien grave, du moment que j’avais toujours le Quidditch !

Tout s’est toujours bien passé dans la famille, nous n’avions certes pas de relations très chaleureuses, mais je n’ai jamais pu me plaindre, jusqu’à ce que Père et Mère divorcent. C’a été une période plutôt difficile, mais cela s’est empiré lorsque Père s’est remarié avec Mrs. Victoria Lizzie Mandrake, mère de Julie, que je mentionnais tout à l’heure. Si tu savais combien je l’ai détestée ! À l’époque, je la voyais comme une femme de la haute société, qui profitait de la gentillesse de mon père et qui ne savait que se contempler dans le miroir pour vérifier que ses cheveux étaient toujours bien en place ! Par la suite, j’ai un peu grandi, et je me suis fait une raison, mais je dois avouer que je ne la porte pas encore dans mon cœur. C’était bien entendu également une sorcière, et tous deux n’ont jamais cessé de me répéter que bientôt, moi aussi j’en serais une.

À mes 11 ans, une lettre est enfin arrivée, portée par un hibou grand-duc, et j’ai immédiatement su que Poudlard m’ouvrait ses portes. La semaine qui a précédé mon entrée au Collège, j’ai été plus excitée qu’une puce, vérifiant sans cesse que mes affaires étaient prêtes, feuilletant tous les soirs mes livres de classe, harcelant Père et Victoria de me raconter leur scolarité au Château : j’en ai même oublié de libérer le chat des voisins enfermé dans la cave depuis une semaine, qui avait subit ma vengeance !

Voici donc le moment de te raconter mon arrivée à l’École, qui s’est déroulée il y a deux ans :

Réveillée et sur pied depuis 6h30, je me suis fait une joie d’aller réveiller Él’, au moyen de casseroles tapées l’une contre l’autre, qui naturellement, venait aussi à Poudlard pour sa première année. La matinée s’est déroulée dans un climat légèrement tendu, mon père, d’un calme olympien, comme à son habitude, Victoria ne cessant de nous donner, pour la énième fois, à ma sœur et moi, ses sempiternelles recommandations, conseils et autres choses tout aussi inutiles, puisque nous savions, ou plutôt, je savais qu’elle ne serait pas là pour nous surveiller une fois sur place.

Enfin, à 10 heures, sur l’ordre définitif et sans appel de Mrs. Mandrake, nous sommes sortis du Manoir familial, valises et cages où reposaient une chouette blanche pour Elena et une mordorée pour moi à la main. Arrivés à la Gare King Cross, nous avons franchi la Barrière permettant de rejoindre la Voie 9.3/4, laquelle grouillait de monde, et où régnait un brouhaha incommensurable, des pleurs d’enfants aux ululements et cris de chouettes ou d’autres animaux. Enchantée, souriante, comme a mon habitude, traînant Él’ légèrement terrorisée par le poignet, j’ai joué des coudes pour me frayer un chemin jusqu’à la locomotive flambant neuf : le Poudlard Express.

Après des adieux énergiques ou larmoyants, nous sommes enfin montées dans le train, vérifiant que nous avions nos affaires, renonçant à écouter Victoria, tandis que Père nous disait au revoir par de grands gestes des bras.

Le trajet fut tranquille, et je n’eus qu’à déplorer la perte d’un début d’ami qui, sans doute lassé de mon bavardage incessant, quitta le wagon, légèrement agacé. Je dus donc me rabattre sur ma sœur qui, en tant que fille de bonne famille, m’écouta déblatérer tout le voyage, acquiesçant mes paroles de temps à autre, plongée dans un livre. Rien de bien intéressant le roulement incessant du train en marche …

Enfin, boule de nerfs prête à exploser, forcée de rester inactive ou de n’activer que ma langue pendant trois heures, j’entendis le Poudlard Express ralentir, puis s’arrêter lentement. Aussitôt, se fut la cohue générale : tous les élèves sortirent de leurs compartiments au même instant pour se précipiter sur le Quai et, l’espace d’un instant, je laissais Élena se débrouiller pour me contenter de m’extraire difficilement de la locomotive écarlate. Retrouvant, quelques minutes après ma sœur, nous nous dirigèrent vers le Garde-Chasse qui avait apparemment la charge d’amener tous les « premières années » jusqu’au château. Étrangement, je fus à peu près silencieuse, sans doute à cause de la mutité soudaine de mes compagnons qui arboraient os un air particulièrement grave, ou pour certains, totalement indifférent. Pour ma part, étant d’un naturel curieux, je ne cessais d’observer autour, balayant du regard le plus de choses possible, écarquillant les yeux à la vue du Lac et de l’immensité du Château, pourtant tant décrit par Père lors de soirées nocturnes, tous les quatre assis sous les couvertures, éclairés par la lueur de la baguette magique qu’il tenait.

Enfin, après un petit bout de temps de marche, nous atteignîmes les portes que nous franchîmes, avec un mélange de curiosité, d’émerveillement et de crainte. Comme nous l’avait expliqué le Garde-Chasse, nous allions à présent être répartis dans l’une des quatre maisons de Poudlard, grâce à un certain Choixpeau Magique, dont je pouvais me vanter connaître les origines et le rôle précis. La seule chose qui me tracassait, était la peur de ne pas avoir ma sœur jumelle dans la même maison que moi, et elle devait ressentir la même chose, si je me basais sur l’anxiété qu’elle semblait éprouver en serrant fortement ma main, l’air adorable avec ses yeux bruns continuellement baissés vers ses chaussures et son cheveux roux lâchés sur ses épaules, à l’inverse des miens, coupés courts et légèrement en bataille.

Harrington commençait par un H, et nous avions donc toutes les chances d’être bientôt appelées, moi d’abord, puis elle ensuite si l’on suivait l’ordre alphabétique. Quant à la maison qui allait m’être attribuée dans quelques instants, je n’en avais pas la moindre idée : Serpentard et Poufsouffle étaient toutefois écartées, mais Gryffondor et Serdaigle me faisaient hésiter. Je n’eus pas le loisir de m’interroger plus longtemps puisque mon nom fut annoncé.

M’efforçant d’afficher un sourire, je me dirigeais avec aplomb vers le tabouret sur lequel était posé le fameux Choixpeau Magique. M’y asseyant, je le déposais sur ma tête puis attendis le verdict, les yeux fixés sur l’assemblée d’élèves et de professeurs qui ne me lâchaient pas du regard ...

[EDIT : j'espère que cela correspond assez à l'idée que vous vous faisiez du personnage ... et j'oubliais : Chocogrenouille]


Dernière édition par le Mer 20 Juin - 19:48, édité 1 fois
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