Khâl...

Identité :

Prénom(a) & Nom : Khâlina Liimatainen (dite Khâl‘). Khâlina est un prénom d'origine polonaise, dérivé de Halina (étymologiquement "la plus belle")
Date de naissance : 12 Janvier 2082, elle a donc 25 ans.
Sexe : Féminin

Physique :

Cheveux : Khâlina a de longs cheveux brun foncé, extrêmement lisses et très fins, ce qu’elle déplore souvent car elle trouve que sa coiffure n’a pas assez de volume. Elle adore changer de coiffure, même si elle ne trouve jamais vraiment le temps de s’occuper de ses cheveux. Ainsi, la plupart du temps, elle les a simplement lachés, flottant au vent.
Yeux & Regard : En raison de ses origines, Khâlina a les yeux légèrement bridés et de couleur marron foncé, presque noire. Lorsqu’elle était plus jeune, elle portait toujours autour d’elle un regard glacial et qui effrayait ceux qui le croisaient. Avec le temps, son regard s’est adouci et sa froideur passe le plus souvent par l'affichage 'une expression totalement neutre. Ses yeux sont toujours très expressifs et elle le déplore car cela ne lui permet pas de mentir), et lui donnent une expression très enfantine, et c’est par son regard que passent toutes ses émotions.
Visage, Expression & Couleur de Peau : Son visage est d’un ovale très régulier et sa peau est très pâle, ce qui lui vient sans doute de sa mère. Ses lèvres sont fines et légèrement rosées (mais Khal’ préfère les maquiller en rouge sang ou en bordeaux, bien qu'elle n'en ait pas souvent le temps). N’étant pas très corpulente, elle a les joues légèrement creuses, agrémentées de fossettes.
Taille : Plutôt grande, elle mesure aux environ des 1 mètres 70 mais comme elle aime porter des bottes à talons, elle est plus souvent proche des 1 mètres 75 voire des 1 mètres 80 (quand elle met des très hauts talons ^^).
Corpulence : Khâlina est très mince, certains osent dire qu’elle est squelettique, mais elle son poids est en harmonie parfaite avec sa taille. Elle ne se pèse jamais et ne fait jamais attention à sa ligne, les mauvaises langues prétendant qu’elle a le vers solitaire (^^), et malgré cela elle reste toujours à un poids stable. Elle peut manger une plaque de chocolat par jour sans prendre un gramme.
Signe particulier : Elle a quelques signes particuliers. Elle a une cicatrice sur le bras gauche dont elle a écopé lors d’un combat et elle s’est fait tatouer un étrange dessin sur l’omoplate droite. Le tatouage en question représente un cercle barré d'une croix. Elle est la seule à en connaitre la signification exacte.

Caractère :

Qualités : Khalina a été élevé selon un code de l’honneur assez strict qui lui a laissé des valeurs fondamentales. Ainsi, elle est fidèle en amitié et ne trahira jamais qui lui a offert sa confiance. Dans une relation amoureuse, pour peu qu'elle se sente bien, elle est prête à déchainer corps et âme pour l'élu de son coeur. Elle est généreuse et est prête à donner énormément de choses à ceux qu’elle considère comme ses amis. Elle est également courageuse mais pas téméraire : Elle aime prendre des risques mais a assez de mal à assumer ses provocations trop nombreuses.
Défauts : Ayant été élevée comme une petite princesse, elle est devenue, par conséquent assez capricieuse et elle supporte mal qu’on lui résiste, dans quelques domaines que ce soient. Elle ressent constamment un besoin d’affirmer son autorité et sa supériorité et elle n’hésite pas à lancer des sorts à tout-va pour ce faire et pour se faire respecter. Devenue une adepte des sévices physiques depuis son arrivée à Poudlard, elle préfère martyriser les gens arrogants qui ont du répondant. Elle est très rancunière et pardonne difficilement, surtout à ses amis. Dans un domaine plus superficiel, elle est très gourmande et raffole de chocolat.
Ce qu’il aime et ses passions : Elle a développée une passion, qu’on jugera malsaine si on veut, pour les armes blanches, notamment les poignards et les sabres. Elle s’est également entichée de la culture amérindienne, synonyme à ses yeux d’exotisme et de liberté. Elle aime également beaucoup lire et elle voue une admiration à la nuit : elle peut passer des heures entières à contempler les étoiles en silence. Elle aime également la souffrance, pas celle des autres, mais la sienne propre. Elle a des tendances masochistes.
Ce qu’il déteste et ses phobies : Khâlina déteste les moldus, bien que ses parents ne l’aient pas élevée dans cette idée, elle a développé cette aversion lors de ses sept années passées à Serpentard. Plus qu'une haine, c'en est devenu une véritable peur : leur présence la met mal à l'aise. Elle déteste les gens prétentieux mais adore les remettre à leur juste place. Assez paradoxal pouvons nous dire puisque cela implique dans le même temps qu'elle adore ce genre de personnages. Elle supporte mal l’injustice même s’il lui arrive d’en commettre et elle n’aime pas voir les gens pleurer. Elle peut perdre tous ses moyens devant quelq'un qui pleure, ne connaissant pas les moyens de consoler les gens. Sa plus grande phobie est, bien sûr, la mort en général. Elle a peur de perdre ceux qu’elle aime et de ne jamais retrouver son père.
Tic : Elle joue souvent avec ses cheveux, en les remettant en place même s'ils n'en ont pas besoin. Elle le fait la plupart du temps lorsqu’elle est nerveuse ou gênée.

Histoire :

Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Sa mère est Japonaise et son père est Polonais. Khâlina est née au Japon mais la Pologne prônant encore le droit du sang, elle possède donc la double nationalité. Elle est de sang pur, bien qu’elle ne l’apprenne que très tardivement.

Lieu d'habitation :

Localisation géographique : Elle possède un petit appartement miteux en banlieue londonienne, un petit village dont le nom ne vous serez d’aucune utilité mais elle envisage de déménager à Pré-au-Lard pour ne plus avoir à supporter les moldus.
Style d'habitation : Le petit appartement qu'elle possède à Londres est miteux et insalubre (faute d'entretien). Ses moyens financiers lui permettraient de se payer bien mieux que ça mais elle refuse d'investir trop d'argent dans les biens immobiliers, sans doute un mauvais souvenir dû à l'incendie de sa maison polonaise.

Enfance : Khâlina n'a presque vécu au Japon, pays où ses parents se sont rencontrés et où elle est née. Son père était l’ambassadeur polonais auprès du ministère du Japon et c’est là qu’il rencontra la mère de Khâl’. La petite Khâl’ a passé une enfance très heureuse : ses parents étant tous les deux bien payés par leur gouvernement et la petite fille étant leur première enfant à tous deux, ils la gâtèrent outrageusement. Il lui suffisait d’émettre un souhait pour le voir se réaliser dans l’heure qui suivait. Ses parents voyageant beaucoup pour leur travail, c’était presque tous les jours les vacances puisqu’elle n’allait jamais à l’école. En effet, à cause de leurs nombreux déplacements, les parents de Khal’ ne pouvaient se permettre de la laisser dans une école fixe, ne pouvant se résoudre à s’en séparer, ils la trimballaient partout avec eux (elle et son professeur particulier bien sûr). Ses parents n’usèrent jamais de la magie devant elle et, bizarrement, ils s’évertuèrent même à réprimer son penchant pour les légendes et les créatures fantastiques, prétendant que ce monde était irréel et que la magie n’existait pas. Malgré tous leurs efforts pour en faire une petite rationnelle et pragmatique, Khâl’ a toujours été une enfant rêveuse et passionnée par ce qu’elle ne comprenait pas. Plus ses parents lui disait de renoncer à la magie et plus elle s’entêtait à vouloir en savoir plus, a l’aide de livres en tous genres.

Scolarité à Poudlard ou autre école de magie : Lorsqu’elle eut 10 ans, ses parents reçurent une lettre qui les mirent dans tous leurs états. Ils se trouvaient alors tous trois en Angleterre et Khâl’ ne comprenaient pas pourquoi ses parents avaient pâli à la simple vue d’un bout de papier : bon d’accord, c’était un très joli papier parcheminé avec un étrange blason dessus, d’accord, il avait été amené par un hibou, mais de là à ce que sa mère s’évanouisse ! Pendant que son père s’occupait de sa mère, tombée en pâmoison, la petite fille lut la lettre, avec quelques difficultés, il est vrai : quelle idée aussi d’écrire avec autant de fioritures et d’arabesques ! Elle comprit plus ou moins qu’elle était une sorcière et que, par conséquent, elle devait se rendre dans une école de magie nommée Poudlard. Elle accusa le coup : non seulement parce que cette nouvelle lui paraissait improbable mais surtout parce que, en imaginant que cela soit vrai, elle devrait quitter ses parents qu’elle aimait tant. Comme un réflexe, elle laissa tomber la lettre au sol et s’accrocha à son père en pleurant et disant : « La magie ça n’existe pas ! La magie ça n’existe pas ! Dis le moi, papa ! Dis-moi que ça n’existe pas ! ». Ce fut sans doute le seul souhait qu’elle formulât sans qu’il se réalisât. Son père fut bien obligé de lui expliquer toute la vérité, notamment la raison pour laquelle ils lui avaient caché l’existence de la magie. Ils prétendirent que c’était pour la protéger et parce qu’ils l’aimaient, mais malgré son jeune âge, Khâlina n’en crut pas un mot mais le garda pour elle. Aujourd'hui encore, il lui arrive de se demander la raison pour laquelle on lui a si longtemps caché ses ascendances sorciers. C'est un mytère qu'elle n'est pas encore parvenue à résoudre malgré ses investigations.
À la rentrée, bien qu’à contre coeur, Khâl’ arriva à Poudlard et fut envoyée à Serpentard par un espèce de chapeau décrépi qu’elle répugnait à mettre sur sa tête. La première année passée dans cette maison la fit vite devenir le souffre-douleur de ses camarades qui avaient du mal à accepter sa gentillesse et son caractère intègre. Malgré son jeune âge, sa petite taille et son apparente fragilité, elle n’hésitait pas à défendre les élèves auxquels ses camarades de Serpentard s’en prenaient. Jamais elle ne fut plus heureuse de rentrer chez elle cet été-là. Elle découvrit que sa mère était très malade : elle toussait énormément et éprouvait de grandes difficultés pour respirer. La petite fille passa donc l’été à s’inquiéter pour sa mère et à se morfondre en pensant à la deuxième année qui l’attendait.
Lors des quatre années suivantes, Khâlina joua de finesse pour ne plus être considérée comme une paria à sa maison et elle s’affubla d’une sorte de masque de méchanceté. Elle n’hésitait pas à martyriser les élèves des autres maisons lorsque des Serpentards se trouvaient dans les parages, mais elle allait aussitôt s’excuser de ses actes dès qu’ils étaient partis. Elle acquit ainsi une bonne réputation dans sa maison qui voyait en elle un bon élément, mais aussi dans les autres maisons de l’école, qui voyaient en elle une jeune Serpentard gentille, l’une des seules qui le soit d’ailleurs. Elle obtint, lors de sa cinquième année ses BUSE, avec comme note des « Efforts Exceptionnels » partout, sauf en Soins aux Créatures Magiques et en Botanique où elle obtint un « Optimal ». Fière de ses résultats, elle arriva chez elle cet été-là, la joie au coeur. Une joie qui s’effaça très vite lorsqu’elle vit les yeux rougis par les larmes de son père. Sa mère venait de mourir, après quatre années de lutte acharnée contre une maladie obséquieuse. Alors qu’elle aurait eu besoin de lui pour la soutenir, son père sombra dans la dépression et Khâl’ sombra dans la drogue. Elle devint amie avec deux jeunes polonais immigrés, Maria et Piotr qui, pauvres et n'ayant rien à perdre l'entrainerent dans leur descente aux Enfers.
Sa sixième année à Poudlard fut catastrophique : elle ne faisait plus rien en cours et s’évertuait à faire perdre un maximum de points à sa maison. Elle commença à se montrer glaciale et méchante avec tous, même avec ses anciens amis, qui l’abandonnèrent rapidement, ne voyant pas dans quelle détresse elle se trouvait. Lorsqu’elle revint chez elle pendant les vacances, il n’y avait plus personne pour l’accueillir : son père s’était lâchement enfui, fuyant sans doutes ses responsabilités. Son père vivant en reclus depuis la mort de sa mère, personne ne pût lui apprendre où il avait bien pu se rendre. Seul restait sur les lieux une fleur de lotus magique que ses parents utilisaient pour l'aider à s'endormir lorsqu'elle était enfant. Elle passa deux mois complets à se morfondre et à se droguer davantage, au plus bas de sa lente déchéance. Quand arriva le moment de revenir à Poudlard, elle passa tout d’abord dans un temple bouddhiste où elle fit la connaissance d’un vieux moine, nommé Sorata Arisugawa. Celui-ci lui permit grâce à sa philosophie de vie, sa gentillesse et sans doute un peu de magie, de retrouver une paix qu’elle ne connaissait plus. Il lui apprit à afficher un visage neutre et à ne pas dévoiler ses émotions pour que les autres ne puissent pas voir ses faiblesses. Elle abandonna la drogue et consacra son esprit à pratiquer cette nouvelle religion qui lui ouvrait le chemin du salut.
Elle revint en septième année à Poudlard, purgée de toutes ses mauvaises pensées et de toutes les drogues qu’elle avait pu absorber aussi. Elle décida de rattraper les erreurs commises lors de l’année précédente et elle s’investit un maximum dans les cours ce qui lui valut sans doute sa nomination comme préfète de sa maison. Elle fit également partie de l’équipe de Quidditch de Serpentard en tant que batteuse et ne fut jamais aussi heureuse que lorsqu’ils remportèrent leur premier match contre Poufsouffle. Cette dernière année fut la plus belle qu’elle passa à Poudlard et elle réussit haut la main ses examens. De plus, sa maison remporta cette année-là la Coupe des Quatre maisons et elle ne fut jamais si fière que ce jour là...

Vie après sa scolarité : Immédiatement après sa scolarité, Khâlina disparut de la circulation et personne n'entendit plus parler d'elle. Elle parcourut plusieurs pays à la recherche de son père qui lui laissait à chaque fois de nouveaux indices pour la mener à la destination suivante sans qu'elle puisse jamais le trouver. Lors de ses longues aventures, elle put assouvir une passion qui sommeillait en elle depuis toujours : la botanique. Chqaue nouveau pays était un prétexte à la découverte de la flore locale et elle devint bientot incollable dans ce domaine. La longue traque se termina finalement en Pologne où elle retrouva la maison de son enfance en cendres. Seul restait Pamiec, l'elfe de maison qui avait servi sa famille si loyalement et qui avait failli périr dans l'incendie, allumé par la main de son propre géniteur. Lassée et ne comprenant pas ce qu’il se passait dans la tête de son père, elle abandonna ses recherches et revint vers le seul endroit dont elle espérait qu'on lui ouvrirait les portes : l'Académie Supérieure de Magie d'Okinawa. Au départ, son but était de faire engager son Elfe de maison dans les cuisines du chateau, n'ayant elle meme aucune tache à lui faire accomplir et voulant que sa vie soit plus reposante que celle que la pauvre créature avait eu jusque là. Elle eut un entretien avec Daisuke Yagami, le directeur qui, acceptant d'engager Pamiec lui proposa par la même occasion de devenir professeur de Botanique, ayant eu vent de ses connaissances en ce domaine. Khal accepta ce qui lui permit de faire la connaissance de Tatsuya Prewett, un jeune Auror dont elle s'enticha furieusement. Très vite cependant, elle comprit que leur histoire était vouée à l'échec étant donné que leurs aspirations n'étaient pas les mêmes : ils n'étaient pas du même camp, bien au contraire et elle préféra se séparer de lui. Après une brève aventure avec son collègue professeur d'arithmancie, Mark Jullien. Elle trouva enfin l'amour en la personne d'Aurel Raphael Sanca Haroche, son collègue de SACM mais leur relation, pourtant prometteuse, se solda elle aussi par un échec. Tandis qu'elle soudoyait un homme qui aurait dû tuer son père, elle fit la connaissance d'un Auror, Jay Dos Santos avec lequel elle eut une brève liaison, interrompue par l'assassinat du jeune homme par un certain Halewyn Coeurd'Acier. Renvoyée de son poste de professeur suite à des sévices infligées à un jeune élève nommé Noah Lenoir, Khalina déçida de revenir en Angleterre, pays de son enfance.
Famille : Sa mère était japonaise et se nommait Yuzuriha (étymologiquement "la force") Nekoi, quant à son père c’était un polonais d’origine finlandaise, du nom de Marek (étymologiquement "guerrier") Liimatainen. Tous deux travaillaient pour leur gouvernement et étaient des êtres très dévoués. Après la disparition de son père, elle engagea de nombreux hommes de main pour retrouver sa trace et elle apprit qu'il avait refait sa vie avec une Polonaise, Dojnitsa (étymologiquement "Née à l'étoile du soir"). En 2096, nait de leur union un petit garçon nommé Pawel (étymologiquement "petit"). Elle considère également Sorata (étymologiquement "l'habileté") Arisugawa, le moine du temple bouddhiste comme quelqu’un de sa famille, son père spirituel en quelques sortes.

Baguette :

Description : Une baguette des plus simples en bois de cerisier. Elle mesure 23,4 centimètres et est composée d’un crin de centaure.
Son acquisition : Elle ne fut pas facile. Khal’ ayant toujours été très gâtée, elle entendait choisir elle-même sa baguette et bien sûr elle en voulait une de toute beauté ! Elle refusait systématiquement toutes les baguettes qu’Ollivanders lui proposait, refusant même de les prendre dans la main. Jusqu’à ce qu’elle tombe sur une magnifique baguette de bois sculptée qu’elle saisit aussitôt en l’agitant comme une forcenée. Elle faillit d’ailleurs détruire tout le magasin en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire et elle mordit Ollivanders lorsqu’il essaya de la lui reprendre. Finalement ses parents réussirent à la maitriser et elle dut rendre la baguette en grognant que c’était injuste. Avant qu’elle ait pu réagir, on lui mit dans les mains une baguette de cerisier et aussitot une gerbe d’étincelles blanches s’en échappa. Khal se sentait tellement bien au contact de cette baguette qu’elle en oublia son aspect si banal. Depuis, elle ne s’en est jamais séparée et elle a toujours la même depuis ses 10 ans.

Vie de votre personnage désormais:

Situation Familiale: Célibataire
Métier: Langue de Plomb
Motivations : A vrai dire, pour ma part un peu par défaut : il ne serait pas logique qu'elle soit au chomâge donc il me faut un moyen efficace de lui faire gagner sa vie. Vue son histoire, il ne paraitrait pas davantage logique de la faire enseigner de nouveau, son dossier étant entaché par cette histoire de violences sur élève. Les autres métiers ne lui correspondraient pas donc il est aussi simple qu'elle soit Langue de Plomb, vu que ce métier lui permettrait de ne pas trop se frotter aux autres membres du ministère et de pouvoir garder sa vie secrète.
Avez-vous le permis de transplaner ? Non
Quel camp: Celui qui paie le plus, même si de préférence c'est celui qui commet le plus d'atrocités.
Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Elle espère retrouver son père pour le tuer, tout simplement. Faire souffrir sa nouvelle famille avant de lui asséner le coup de grâce constitue pour elle un plus non négligeable.

Question subsidiaire :

Comment avez-vous découvert ce forum ? erf... Une ancienne de MA coachée par Carine pour faire son come-back ^^'
Comment trouvez vous le désign' de ce forum ? Pas mal.