Cours d'une journée Ordinaire (Toute Année Confondu)

Réveil brutal. En sueur, comme à chacun de ses réveils, il avait encore vu la mort atroce de plusieurs personnes sur la Terre cette nuit, sans en reconnaître un seul d'entre eux. Comme à son habitude, Angelos se leva, alla se brosser les dentsé à chaque nuit, il voyait les morts de toute les personnes dans la journée,ou dans la semaine, dépendamment des évènements. Et c'était ainsi depuis des années. Alors pourquoi s'en inquiéter plus que d'habitude. La mort était qu'une étape, il en avait lui-même fait l'Expérience, mais seulement pour son enveloppe charnelle. Entre le fantôme et l'Homme, il évoluait, sans pouvoirs magiques autre que de tout voir. Ce qui était plus une malédiction qu'autre chose. Une terrible malédiction pour lui, mais aussi pour ses ennemis, ou plutôt les ennemis de ses protégés. Car sans grands sentiments, Angelos était incapable de comprendre, de vivre l'amour, autant qu'il en pouvait détester une personne. La seule chose qu,il comprenant, c'est qu'il se devait d'agir pour l'équilibre, quje lorsque cet équilibre menaçait de pencher vers le mal et d'amener le monde magique encore plus chaotique, il était appelé. Et ce n'était pas pour rien qu'il venait de revenir, il y a peu, avec Appollon, nu sur une plage. Habitué, il s'était suivi à ses visions pour rattraper Lys Shakespeare, descendant directe de son premier ''maître'', William Shakespeare lui-même, ex-Directeur de Poudlard. Et maintenant, de ridicule pantin du nom de Angels of Death croyait pouvoir révolutionner le monde avec leurs concepts de magie noire. Oh non, Angel n'allait jamais comprendre les desseins de ces gens, et comment ils faisaient pour penser ainsi. Si seulement ils vivaient dans sa peau, ne serait-ce qu'une seule journée, et qu'il sentirait, à chaque nuit de sommeil, les morts de milliers de gens par jour, peut-être comprendrait-il que tuer, autant que mourrir, n'est pas un acte de force mais plutôt de faiblesse, et très dur `vivre. Alors que s'il le vivait plus de mille fois par jour, il comprendrait.Mais ils allaient rester ignorant et allait se dépérir eux-mêmes dans leurs exercices, puis disparaisserait sans laisser de trace réelle à a fin abrupte de leur vie. Se préparant, mettant son pantalon noir, laissant Appollon, après un baillement de rapace, venir se poser sur son épaule. Il avai cours d'ici peu et comme à son habitude, allait arriver à l'heure exacte.

Prenant la clé, ne mettant, comme à son habitude, aucun haut, parce qu'il n'en voyait pas l,importance, torse atrocement maigre, sans être anorexique, il attrape une lourde caisse avant de sortir de son bureau. Au moins, il n'est pas loin de son local de classe, qui, depuis sa dernière année d'étude, n'a pas changer d'emplacement. En forme d'amphithéâtre dans un grenier, il permet aux étudiants ayant pris l'option d'être plus près du professeur,ce qui créé un climat plus propice à l'apprentissage de groupe. Mais au moins, le programme avait changer, ce qui lui permettait de ne passer constamment son temps das l'école. Il donnait un seul cours, réparti sur 2 heures, par horaire, et dont tous les élèves étaient réunis. Ce qui lui permettaient de voir avec eux beaucoup plus de choses, que les anciens aide les nouveaux et ainsi de suite. Une procédure qui améliorait, trouvait-il, la qualité de ses cours en puissance deux. Arrivé devant la trappe, il voit qu'une boule lui tomberas sur la tête car elle a roulée jusqu'à la trappe. L'ouvrant, attrapant la boule dû à une fulgurante dextérité, il monte la caisse dont le contenu mystérieux allait être dévoilé durant le cours. LA poussant jusqu'à sa table de travail, son fauteuil devant, il s'asseoit dessus et attend le début du cours, sachant déjà une majorité des incidents qui arriveront. Souriant, il sait que ça risque d'être intéressant...

"Bip bip bip biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip!"

L'alarme venait de sonner. Très lentement Virginie appuya sur le petit bouton pour l'éteindre. Elle resta immobile pendant plusieurs minutes, comme si elle allait se rendormir, mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix de se réveiller pour ne pas être en retard. Il était juste 6h30, mais elle préférait être en avance pour son premier cours de la journée. La préfète se leva et alla chercher son uniforme habituelle. Elle regarda autour d'elle. Il n'y avait qu'un seul lit de vide, mais ne savait pas à qui il appartenait. Elle haussa les épaules. Peut-être allait-elle la voir dans la grande salle, lorsqu'elle irait prendre son petit-déjeuner. Virginie se dirigea vers la salle de bain. Elle prit tout son temps pour se brosser les dents, se laver le visage et se changer. La jeune Serdaigle regarda ses cheveux en pagaille. Allait-elle les peignés? Non, elle les aimait bien comme ca. Virginie n'avait pas envie de prendre une douche, de toute façon, elle avait pris un bain la veille. Elle repassa dans le dortoir des filles pour déposer son pyjamas sur son lit et pour prendre son sac d'école. Elle était enfin prête.

Virginie sortit de la salle commune des Serdaigles en silence pour ne pas réveiller les autres, ainsi que le tableau des Serdaigles situés sur la porte. En descendant les marches, elle regarda par la fenêtre et remarqua que le soleil venait à peine de se lever. De la tour, il y avait toujours une superbe vue. Les Serdaigles étaient chanceux. Un petit sourire s'affichait sur le visage de la jeune fille malgré la fatigue. Son ventre gargouillait. Décidément, elle avait faim. La préfète descendit les sept étages qui séparaient la tour et la grande salle. Le chemin était assez long, descendre toutes ses marches lui donna à plusieurs reprises le vertige. Finalement, elle était au rez de chaussée. La jeune Serdaigle passa devant la salle des professeurs. Cela ne servait à rien qu'elle essaye de voir quelque chose, la porte était toujours fermée. Virgnie continua son chemin jusqu'à la grande salle. Les deux grandes portes étaient ouvertes. Elle regarda autour d'elle, il n'y avait pas beaucoup d'élèves. Les plus nombreux étaient ceux de Gryffondors. Elle les voyait souvent arriver tôt. Elle regarda l'heure et se rendit compte que le temps avait passer très vite. Il était déjà 7h30. Il ne lui restait plus que trente minutes avant son premier cours. Virgnie s'assit à la table de Serdaigles toute seule. Les seuls Serdaigles étaient tous des premières années. De toute façon, elle n'avait pas très envie de faire conversation. Elle prit une brioche à la cannelle et se versa un verre de lait. Puis, elle sortit son horaire de son sac. Elle n'avait pas vérifier quel cours qu'elle avait. Premier cours: Divination avec le professeur Angelos Aponides. Virginie ne l'avait encore jamais rencontré. Elle se demanda si ce professeur allait lui plaire. Il n'y avait qu'une seule façon le savoir, y aller. Quelques minutes plus tard, elle avait terminé son petit-déjeuner et sortait de la grande salle. Encore des marches, mais cette fois-ci, elle allait devoir les monters. Soupir. Elle se dit le plus vite qu'elle les montait le plus vite elle serait rendue. Après quelques minutes, qui lui paraissait interminables, la préfète se trouvait devant la porte de la salle de cours. Elle resta un moment pour reprendre son souffle. Puis doucement, elle pénétra dans la salle.

Le professeur Aponides était assis sur un fauteuil. Il avait le sourire au lèvre. Il n'y avait personne d'autres d'arriver. Virginie regrettait maintenant de s'être réveillé tôt. Tant pis, il était trop tard. Elle passa devant le professeur et dit.

"Bonjour professeur. Je m'appelle Virgnie Williams, sixième année à Serdaigle."

Elle ne savait pas si elle devait dire qu'elle était préfète, mais se disait qu'il devait déjà le savoir. Puis, de toute façon son P bleu était épinglé sur son uniforme. Elle alla s'assoir à la première place qu'elle remarqua, c'est-à-dire, en avant plus vers la droite.

{ Voilou Nathinou, comme promis =) }

Le soleil était levé depuis peu. Angie l’avait deviné grâce aux petits grains de poussière qui tournoyaient dans l’air au dessus de son lit, éclairés par une tendre lumière. Elle écarta les rideaux rouges de son lit à baldaquin, et ce fut comme si le monde s’était créé. Le soleil l’aveuglait. Elle fut obligée de mettre sa main en visière. Ses compagnes de dortoir ne semblaient pas s’être rendues compte de l’heure. Elle alla doucement réveiller chacune, puis elles s’habillèrent de leurs uniformes, abordant fièrement l’écusson de Gryffondor. Elles descendirent quatre à quatre les marches de la tour nord, pour enfin arriver devant les imposante portes de bois qui indiquaient l’entrée de la Grande Salle. En buvant son chocolat chaud, Angie prit soin de vérifier son emploi du temps. Ses yeux engourdis avaient du mal à lire. En espérant que le petit déjeuner la réveillerait plus qu’elle ne l’était. Son premier cours de la journée était le cours de Divination. Les élèves allaient de toute évidence avoir à faire à un nouveau professeur. Angelos Aponides. Angie fit tout de suite la comparaison. Angelos, Angela. Le même prénom, au masculin. Comme chaque fois qu’un nouveau professeur faisait son entrée à Poudlard, les rumeurs, plus improbables les unes que les autres se répandaient. Les questions les plus intéressantes et indiscrètes restaient sans réponses.

Comment était-il ? Serait-il aimé des élèves ? Comment les cours se dérouleraient-ils ? Comment se passeraient les devoirs et les examens ? Quel était son système de notation ? Qu’allaient-ils étudier ? Toutes ses questions se bousculaient dans la petite tête blonde de la Gyffondor. Elle décida donc de se rendre au cours, pour répondre à ses questions le plus rapidement possible. Impatience. La salle de classe de Divination se trouvait au septième étage. Comme si descendre les marches n’avait pas suffit. Il fallait maintenant refaire le chemin en sens inverse. Elle laissa son petit déjeuner en plan. Elle ne mangeait presque jamais le matin. Après avoir fait un détour par la salle commune des Gryffondor lorsqu’elle s’était aperçue qu’elle avait oublier sa plume et son encrier, la jeune fille se dirigea d’un pas rapide vers la salle de classe. Ses talons claquaient sur le sol en un rythme régulier. La porte était ouverte. Elle pénétra dans la salle assez timidement contrairement à son habitude. Elle était curieuse, mais pas au point de dévisager le professeur à peine arriver. Non… elle attendrait d’être à sa place.

Angie – « Bonjour monsieur ! » sourit-elle « Je suis Angela Jones en cinquième année à Gryffondor. » Dit-elle en passant devant le bureau de son professeur

Elle repéra tout de suite Virginie Williams. Elles ne se connaissaient que depuis cette année, depuis qu’Angie avait été nommée préfète. Elle s’approcha de la Serdaigle en lui demandant poliment si elle pouvait s’installer à côté d’elle. Virginie acquiesça, elle n’avait rien contre un peu de compagnie. Après avoir posé devant elle ses affaires, la Gryffondor pu entreprendre de détailler entièrement son nouveau professeur. Ce qui lui sauta aux yeux fut d’abord sa maigreur. Elle l’aurait crut presque anorexique. Il n’avait de toute évidence pas juger bon de revêtir de haut. Angie frissonna pour lui, certes les salles de classes étaient chauffées, mais il y avait encore de la neige dehors. Elle s’attarda un moment sur son visage maigre. La maigreur, c’est le premier détail qui lui sauta aux yeux. Mais en y regardant de plus prêt, elle remarqua une lueur argentée dans les yeux de Aponides. Le professeur semblait fixer quelque chose au loin. Angie fut tentée de se retourner pour savoir ce qu’il regardait mais se retint. Il semblait perdu dans ses pensées. Elle ne quitta plus ses yeux du regard. Profond, lointain et envoûtant étaient les trois seuls mots que contenait son vocabulaire pour décrire ces yeux. Il était si facile de s’y noyer. Océan. Il était si facile d’en rêver. Astre. Elle se pencha vers Virginie.

Angie – « Tu as vu ses yeux ? Regarde. Allez regarde ses yeux. » Chuchota t-elle aussi doucement qu’elle le pu.

Lorsque Virginie se concentra elle aussi sur les yeux du professeur. Tout était silencieux. Pas même un cil n’osait remuer, pas même une respiration n’osait se faire entendre. Elles étaient décidemment bien en avance. Aucun élève n’avait fait son apparition. Le professeur était toujours installé dans son fauteuil. Souriant. L’atmosphère semblait détendue et sereine. Comme si, d’un unique regard, il avait adoucit chaque énergie qui se trouvait dans la pièce. Il posa son regard sur les deux jeunes filles. Elles arrêtèrent aussitôt de le fixer. Il avait remarqué, c’était évident…

Plus qu’une seconde avant que le dortoir où dormait la jeune Mary ne s’éveille, réveillé par le réveil commun.

Et voilà, c’était parti pour une journée, Mary étira chaque partie de son corps doucement, sans trop se brusquer. Elle se leva jetant un coup d’oeil rapide sur son emploie du temps. Divination. Elle fit un léger sourire, la divination était une matière que Mary aimait particulièrement, bien qu’elle ne brillait pas dans cette matière. Elle passa plusieurs minutes dans la salle de bain commune des Poufsouffles à se préparer. Elle enfila rapidement son uniforme aux couleurs de Poufsouffle. Mary repassa par son dortoir pour y déposer quelques affaires et prendre son sac de cours. Elle prit son emploie du temps qu’elle fourra négligemment dans la poche de la jupe de son uniforme. Elle regarda sa montre plus qu’une demi-heure avant son premier cours de la journée, elle décida de na pas s’arrêter pour déjeuner, la salle de Divination était assez loin, et elle n’était pas sûre de se souvenir de l’endroit exact où le cours allait se dérouler. Mary avançait à grand pas ne faisant pas attention au monde qui l’entourait, elle était dans ses pensées à imaginer, à anticiper ce premier cours. Elle ne connaissait pas le thème de ce premier cours, elle savait seulement que toutes les années allaient être confondus. Ce n’était pas une mauvaise idée, les plus vieux pouvant aider les autres.

Mary leva les yeux sentant quelque chose, ou plutôt quelqu’un l’agripper par le bras. Une jeune fille s’approcha d’elle, un grand sourire aux lèvres, elle parla à Mary quelques instants avant que la jeune Poufsouffle ne se souvienne de son nom. Elle lui fit un grand sourire et continua son chemin, il ne lui restait plus qu’une dizaine de minute pour arriver dans la salle de cours, la jeune fille accéléra le pas. Elle était enfin arrivée, mais ce n’était pas une porte ordinaire qui l’attendait, mais une échelle longeant le mur, au bout, une trappe. Mary attacha son sac et elle grimpa le long de l’échelle, elle poussa la trappe et quand elle entra dans la salle, elle eut l’impression d’entrée dans « un autre monde ». Un monde remplie de sérénité, de calme, de douceur, quelque chose de très reposant aux goûts de Mary. Elle regarda autour d’elle, elle reconnue Angela Jones qu’elle eut l’occasion de connaître lors d’une expédition à Pré-Au-Lard. Elle était installée à côté d’une autre élève, elle l’avait déjà vue quelque fois. Elle se tourna vers le professeur, il avait l’air ailleurs, il était maigre, très maigre. Elle passa devant lui en lui souriant et elle se présenta d’une manière les plus conventionnelle, nom, prénom, maison et année d’étude. Mary se dirigea vers Angela et son amie.

-Mary- Je peux m’installer ?

Puis, la trappe s’ouvra devant lui. Des élèves commencèrent à affluer dans son cours. La salle, confortable, pouvait accueillir plusieurs élèves en même temps, au grand plaisir du professeur pseudo-humain. Les yeux fixant au loin les élèves qui entrait, pour une deuxième fois pour lui, pour la première fois pour eux. Souriant toujours, les traits argentés entourant sa pupille regardant et ses tympans écoutant les élèves venant se présenter à lui, il ne pus s’empêcher de sourire intérieurement en voyant les différents futurs maîtres du destin se présenter devant lui. Virginie Williams, partie dans une bonne lignée. Déjà préfète, déjà bonne élève, elle allait jouer un rôle tôt ou tard, directement ou pas, dans toute cette histoire. Puis, il la regarda aller s’asseoir du coin de l’œil. D’autres élèves entrèrent dans le cours, certain ayant l’Air las de leurs études, d’autres ravis de voir enfin un professeur qui leur semblait compétent…mais tout le monde continuait de le fixer à un tel point qu’il se sentait comme dans le cirque dans lequel il avait passé quelques années de sa vie humaine. Puis, Angela Jones, qui, même avant d’énoncé son nom complet, était déjà connue du professeur. Par contre, contrairement aux autres, elle semblait être perturbé, positivement ou non, par le professeur. Et il ne savait pas pourquoi. Pourtant, les quelques secondes que dura cet échange ne lui révélèrent aucun détails sur ce qui changeait l’attitude habituellement revêche de la jeune femme. Puis vint d’autres élèves qui remplacèrent le vide des bancs par leurs présences. Lorsque l’heure fut arrivée, chaque étudiant assis là où ils avaient décidé d’être, Angelos se leva, grand mais maigre, devant eux, charisme assorti avec a situation…

*-L’Oracle-* Salutation à tous. Pas besoin de vous présenter, je vous connais, hélas pour vous, tous déjà. Vous aurez, cette année, l’immense infortune de m’avoir sur vos têtes comme professeur. Je me présente donc alors, car dans ces lieux un travail sur votre être, et non sur votre puissance, devra être fait. Si vous maîtrisez votre esprit et votre corps, vous dominerez la magie. Donc. Je suis l’Oracle, mais je serai aussi le professeur Aponides. J’ai vu et vécu plus longtemps que vous ne pouvez vous-même imaginé. Je n’ai jamais étudié en ces lieux, mais il reste que j’ai entièrement toutes les bases pour vous montrer les rudiments de la Divination comme mes parents me l’ont appris et l’ont appris.

Puis, il passa devant sa table de travail. Maigre, en pantalon noir seulement, pieds nus, il regarda la foule devant lui, lisant dans l’âme de chacun. Non, aucun n’allait mourir aujourd’hui…

*-L’Oracle-* Donc le cours d’aujourd’hui sera basé sur le Destin des Hommes. Je sais, c’est une partie que l’on peut dire plus théorique, mais elle est nécessaire à la compréhension de la matière. Par contre, attendez-vous à vivre une des expériences les plus étranges de votre vie…

Un réveil sonna, ce n'était pas le sien, malheureusement Ellen avait oublier de mettre son réveil, elle était déjà de mauvaise humeur, elle se dépêcha alors de mettre son uniforme, de se coiffer les cheveux, de prendre son sac, et en route vers le cours de divination, pas le temps de manger n'y rien, il était trop tard, plus que 5minutes et le cours commençait, enfin ça c'est ce qu'elle croyait car en réalité il lui restait un quart d'heure ! Elle alla quand même très vite fait dans la Grande Salle pour prendre un pain au lait et le manger en allant en cours, elle le mangea et essaya de se repérer, le cours de divination allait sûrement être le cours le plus passionnant pour la jeune fille, elle savait que c'était au septième étages alors qu'à tout les autre cours elle ne saurait même pas vous dire qu'elle est l'étage, et le nom du professeur. Elle était prête à être studieuse pour ce cours, pas comme le cours de Défense contre les forces du mal, ou elle comprenait rien, surtout pourquoi parlait-il de la peur ?? Ca fait quoi la peur ?? Bref...

. Pensé * ¤ Put*n j'vais être en retard si ça continue à ce cours !! Vite faut que j'me grouille, j'ai pas envie d'être en retard, pff c'est qui celle là elle va se pousser bordel !! Bon tu vois pas que j'suis en retard là, tu m'laisses passer ?? Ah bah enfin, merci, au revoir ! :rolleyes:

¤

Elle se mit à marcher très vite et à suivre une élève de cinquième année qui avait tout l'air de suivre le même chemin qu'elle. Elle devait elle aussi se rendre au cours de divination, à moins qu'il y avait d'autres cours dans le septième étages, Ellen en avait aucune idées, mais apparemment elle n'était pas en retard car un petit groupe derrière elle, marcher lentement tout en parlant.

Elle entra alors dans la salle de divination, elle était contente et sa se voyait dans ces yeux, elle avait des petites étincelles qui brillait, et elle avait le sourire aux lèvres. Elle s'installa et sorti ces affaires. Là, elle vit que c'était encore mélangée, pourtant ils n'avaient pas tous le même niveau...

. Pensé * ¤ On est avec tout le monde ?? Waouh, j'espère que c'est pas comme ça dans tout les cours ... :blush:

¤

Le professeur apparemment connaissait déjà tout le monde, évidemment pour le moment Ellen était la seule fille qui ne devait sûrement pas connaître, ce qui était normal vu qu'elle était en première année, elle ne se présenta pas, car elle était trop timide, puis si il voulait savoir quelque chose sur elle, il ne suffisait juste de demander... Ils allaient apparemment faire des fois des expériences terribles, elle en était contente, mais à la fois elle avait un peu peur, mais peur de quoi ? Elle ne le savait même pas, il n'y avait pour le moment à avoir peur de rien...