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 Tu es seul(e) en mauvaise compagnie (libre)

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2 participants
AuteurMessage
Nicolas Frank
6ème année à Serpentard
6ème année à Serpentard
Nicolas Frank


Nombre de messages : 21
Message Perso : : Evil Inside -
Date d'inscription : 30/07/2007

Carte d'identité du Personnage
Poste: Elève Serpentard.
Camp: Il est le Mal
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MessageSujet: Tu es seul(e) en mauvaise compagnie (libre)   Tu es seul(e) en mauvaise compagnie (libre) EmptyMer 22 Aoû - 14:58

    Quelques parts dans le château, un élève dormait paisiblement dans son lit. Se lit se trouvait dans les cachots, dans la salle commune des Serpentards, c’était un sixième année ni plus ni moins, c’était un jeune homme. Il était allongé sur le dos, les mains le long du corps en dehors de ses couvertures, il avait u sourire étrange sur les lèvres, il devait sûrement rêver, mais de quoi ? ça personne ne le sait car, nous ne sommes pas dans son rêve. Mais quelque chose de désagréable viens perturber son sommeil, c’était un bruit aigue et très énervant, le jeune homme se réveilla alors, en baillant et sorti de son lit pour voir se que c’était, il regarda à la fenêtre et s’aperçut alors qu’il s’agissait d’un oiseau, une de ces carnes qui vienne piailler juste sous ta fenêtre pour te réveiller. Le jeune homme ouvrir alors doucement la fenêtre, et en prenant soin de voir si personne ne le regarder, il tordit le cou de la « pauvre petite bête » et le balança loin devant lui, puis referma la fenêtre. Il voulait se rendormir, mais il se rendit compte que ce n’était pas la peine, car il savait qu’il ne pourrait plus dormir à cause de cette fichu bestiole.

    Le jeune homme fit son lit comme il faut, puis s’habilla mettant alors son pantalon noir cintré sa belle chemise violette foncée, mais ne mit pas sa cravate, et pris seulement soin de boutonner tous les boutons de sa chemise, hormis le premier du col pour éviter d’étouffer, il enfila ses chaussure ciré. Il attrapa son sac et posa dedans son livre de sortilège, sa fronde et quelques petits outils pour fabriquer des piéges aussi bien pour les animaux que pour les humains, et pris également le soin de na pas oublier son masque blanc. Armé de tous cela, il pris sa veste sur son bras et sorti du dortoir des garçons, traversa le calme de la salle commune des verts et argents et enfin sorti de sa salle commune, traversant à nouveau le calme plat des couloirs humide et froid des cachots, son sourire angélique sur les lèvres au cas ou il croiserait quelqu’un.

    Une fois sortie des cachots, le jeune Nicolas pénétra dans le hall d’entrée, il était immense quand il n’y avait personne, et il marcha sur le carrelage de celui-ci, un sourire amusé se dessina sur ses petites lèvres roses, la chose qu’il trouvait marrante c’était que ses pas raisonner dans le hall, c’était quelque chose d’amusant. Mais il repris bien vite son sérieux naturel, et se dirigeât en direction du parc, à un endroit ou il pourrait être tranquille, mais à cette heure-ci il ne risque pas d’être beaucoup déranger, toutes ses victimes insignifiante était encore entrain de dormir paisiblement, ne se doutant pas de l’ampleur maléfique de Nicolas. Une fois arriva dans le parc, il se parti s’installer sur un coin d’herbe, une fois où il voulait, il posa sa veste sur le sol. Il s’asseya en tailleur et commença à fouillait dans son sac, il en sorti son livre de sortilège, et rangeât son sac à sa gauche. Ouvrant son livre, il commença à parcourir les pages absorbant les information avec une facilité impressionnante, dans un même élan il sorti sa baguette de sa poche et exerça l’un es sortilège sur un oiseau dans le ciel, l’oiseau pris soudain feu dans le ciel, c’était le sortilège de feu, amélioré par Nicolas et sa baguette.

    Le jeune homme regarda l’oiseau carbonisé tomber dans le lac, et émit un rire machiavélique dans les airs. Enfin il s’allongeât dans l’herbe, posa sa baguette sur son ventre, et ferma les yeux quelques minutes. Il sentait l’air froid du matin frôlait ses joues et le soleil lui chauffait le visage, mais dans coup il sentit une ombre au dessus de sa tête, il ouvrit doucement les yeux, son sourire sur les lèvres, et vit une silhouette au dessus de lui, et arborant son sourire angélique et un ton aimable, que tous le monde lui connaissait, il joua sa petite comédie, comme c’est marrant de voir toutes ses personnes croire qu’il était un gentil petit ange.

    Evil – « Bonjour. »

    Fit-il en se redressant sur des jambes, avant de se retrouvait face à la personne qui était face à lui.
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Calaïs Andromaque
Préfète en Chef, 7ème année à Poufsouffle
Préfète en Chef, 7ème année à Poufsouffle
Calaïs Andromaque


Nombre de messages : 1143
Age : 33
Message Perso : : TouT eSt NoIr et Je pLeuRe mOn AmOur
Date d'inscription : 14/01/2007

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Poste: Police NH*
Camp: ~BiEn~
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MessageSujet: Re: Tu es seul(e) en mauvaise compagnie (libre)   Tu es seul(e) en mauvaise compagnie (libre) EmptyJeu 23 Aoû - 12:58

Insomnie. Calaïs n’avait pas fermé l’œil de la nuit, impossible de trouver les bras de Morphée. Une foule de pensées avaient noyées son esprit durant la nuit… Notre petite française n’avait jamais eu beaucoup de sommeil, ses nuits toujours courtes. Néanmoins cette nuit avait été encore plus agité que d’habitude. Elle n’avait malheureusement pas trouvée le repos et même lorsque ses yeux se fermaient, elle ne voyait que des cauchemars et autres terribles songes. Les doutes et les pressentiments ne cessaient de l’assaillirent… Toute la nuit Calaïs avait luté pour ne pas sortir, fuir de son lit trop chaud et trop petit. L’atmosphère du dortoir féminin des poufsouffle devenait de plus en plus insupportable au fil des minutes. Son lit devenait son tourment…

Ensuite le jour se leva doucement. Un soleil a peine coloré commença a caresser les flancs endormis de Poudlard. La nature débuta son éveil avec une lenteur et une patience peu commune. Tout semblait renaître encore une fois et paradoxalement pour la première fois. Les premiers rayons de solaires vinrent se fondre contre les lourds rideaux de velours et éclairer doucement les élèves endormies. La française poussa un petit soupir de soulagement en voyant cette faible lumière. Elle se leva doucement et prit quelques affaires pour aller jusqu’à la salle de bain des filles. Calaïs prit donc une douche et se prépara avant de se vêtir. Elle enfila un jean serré et noir et un simple marcel puis prit sa baguette avant de sortir.

La jeune demoiselle prit en courant la direction du hall puis de la sortie. Ni vu ni connu elle se retrouva enfin dehors. Elle s’arrêta quelques secondes, juste pour profiter du spectacle qui s’offrait a elle. Les faibles lueurs de l’astre solaire venait se coller contre sa peau encore bronzé de l’été. Il faisait un peu froid mais quel plaisir de sentir enfin un peu de froid. La fraîcheur après la chaleur étouffante du dortoir. C’était un délice pour Calaïs de sentir son corps frissonner. La pouffy commença donc une petite promenade dans l’immense parc. Ce parc, elle l’adorait et le connaissait comme sa poche. Elle passait le plus clair de son temps ici, au milieu de la nature, flore et faune. Les chênes séculaires lui faisait une voûte avec leurs immenses branches et leurs feuilles encore vertes. Un sourire superbe se dessina sur ses lèvres et un sentiment de plénitude l’envahi. Après une nuit affreuse, cette journée semblait bien partie…

Soudain quelques choses attira l’attention de Calaïs. Elle tourna la tête et vit un jeune homme, assis en tailleur sur l’herbe. Il avait une baguette a la main et s’amusé a jeté des sorts… des sorts de feu qui fit carboniser un oiseau en plein vol. Un rire machiavélique s’éleva de la bouche de se garçon. Calaïs s’approcha doucement, dans son dos puis un bonjour se fit entendre. Le jeune homme se leva et se mit face a elle. La pouffy connaissait bien ce jeune serpentard, c’était Nicolas Frank. Un sixième année, tout comme elle et ensemble il avait déjà eu quelques cours. Ce vert et argent était comme beaucoup de serpentard, il cachait bien son jeu mais la française n’était pas dupe et savait quelques exploits concernant Nicolas.


Calaïs -- Bonjour Nicolas. Drôle de jeu n’est ce pas? --

Le ton de la jaune et noir était plutôt froid. Enfin elle plongea son regard saphirs dans les yeux du jeune serpentard et resta muette. Son sourire continuant a illuminé son visage.
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