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 Maëlle Sarbael

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AuteurMessage
Maëlle Sarbael
4ème année à Gryffondor
4ème année à Gryffondor
Maëlle Sarbael


Nombre de messages : 16
Age : 31
Message Perso : : tant que mon ange veillera sur moi...
Date d'inscription : 13/06/2007

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Camp: Le bien et le mal n'éxiste pas vraiment. Il n'y a que la justice et l'envie de pouvoir. Alors, Maëlle est une justicière, une gardienne du "bien".
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MessageSujet: Re: Maëlle Sarbael   Maëlle Sarbael EmptyMar 24 Juil - 20:10

[color=white]I. SA VIE
[list]
[color:d9ce=gray:d9ce] Ce fut pendant une longue nuit orageuse, le 24 mai 2092, que vint au monde une jeune sorcière prénommée Maëlle. Cette naissance, qui combla de bonheur sa mère, Melinda Sarbael, fut pourtant l’élément déclencheur du premier drame que la petite famille eut à connaître : lorsque les deux jeunes femmes quittèrent la clinique magique parisienne, elles ne trouvère, en retournant à leur domicile, ni homme, ni aucune des affaires lui appartenant. Le père de l’enfant avait disparu, ne laissant derrière lui qu’un parchemin d’adieu destiné à son ancienne compagne.
La lettre contenait les dernière mon du père que Maelle ne put jamais avoir : l’homme partait définitivement, il était inutile de le cherché. Il souhaitait bon courage à Melinda, qu’il regrettait de devoir quitter si brutalement. Il lui laissait tout d’argent qu’il avait pu, ainsi que l’adresse d’un ami chez qui elle pourrait trouver du travail, à Rennes, au cas où… Malgré tout le mal qu’il était conscient de lui faire, il lui demandait une dernière faveur. Il la suppliait : JAMAIS Maëlle ne devait apprendre le nom de son père, et ce quoiqu’il arrive. Jamais. Il embrassait également sa fille, peut-être se rencontreraient-ils un jour…
Evidement, cette nouvelle déchira la jeune femme qui, seule, dut élever sa fille du mieux qu’elle pût. Ne suivant pas le conseil de celui qu’elle avait cru être l’amour de sa vie, Melinda (alors seulement âgée de 22 ans) partit à Londres où de la famille l’attendait. Elle fut employée pendant 3 ans dans une boutique vendant des plumes et des parchemins, avant qu’elle ne soit licenciée et qu’elles ne doivent retourner à Paris. Ces allers-retours entre les deux capitales durèrent une bonne partie de l’enfance de Maëlle qui, comme l’était sa mère, devint parfaitement bilingue. La jeune fille porta le nom de famille de sa mère, Sarbael.
Au cours de ces années, la jeune fille se mit à ressembler de plus en plus à sa mère : elle était très fine, fragile, et plutôt petite. Elle avait de grands yeux d’un bleu presque gris, que faisait ressortir de très longs cils. Elle portait le plus souvent détachés ses longs cheveux très bruns, ce qui contrastait avec la pâleur de sa peau fine. Cette ressemblance était telle que n’importe qui les croisant sans les connaître, pouvait deviner qu’elles avaient le même sang ; du sang mi-anglais mi-français, mais avant tout du sang de sorcière.
En 2102, Melinda Sarbael trouva une poste au Ministère de la Magie Française. Les deux jeunes femmes s’installèrent définitivement dans une petite maison non loin de la forêt de Fontainebleau ; où du moins le pensaient… En 10 ans, la petite Maëlle n’apprit quasiment rien sur son père. Sa mère trouvait toujours une manière ou ne autres d’éviter le sujet ; ses grands-parents maternels, qui lui avaient enseigné les bases de la sorcellerie, ignoraient tout de lui ; c’était un véritable fantôme… Cette absence, et surtout ce silence, firent naître en la jeune sorcière une véritable haine envers son père : c’était de SA faute si elles étaient sans cesse obligés de déménager, de SA faute si du coup elle n’arrivait jamais a se faire des amies et a les garder, de SA faute si du coup elle se sentait si seule… Dans se cauchemar permanant, seule le sport permettait de lui faire oublier son passé. La danse classique. Et oui, un sport moldu ! Mais elle n’aimait pas le Quiddich et voyait dans l’art de la danse, comme quelque chose de magique.
Etant née à Paris, et résidant alors en France, elle reçue naturellement sa lettre d’inscription d’une école de magie française. Contrairement à d’autre sorcier, ni elle ni sa mère ne furent surprises. Au contraire, aller dans un internat la rassurait : finit les déménagements, bonjours les amis !
Elle s’adapta très vite à l’école et s’y plut. Elle fut admise dans la classe la plus bosseuse de son école, mais pas la plus calme ! Elle se lia très vite avec plusieurs sorciers de sa classe. Là-bas, elle s’entendait avec tout le monde, pourtant elle était souvent critiquer par ses plus proches amis. Tout chez elle était contradictoire : en classe elle était l’une des élèves les plus polies et respectueuses, presque trop réservée, alors qu’en dehors des cours elle était la première à enfreindre les lois ; elle faisait toujours son maximum pour avoir la meilleure note possible à un devoir mais en avait presque honte face à ses amis qui étaient bien moins sérieux ; elle était la première à aller se coucher en semaine, et faisait le mur pour faire la fête jusqu’au matin pendant les vacances ; certains soir elle n’acceptait pas même de boire une bierrobeure, alors que d’autre fois elle buvait facilement plusieurs vodka-citrouille sans citrouille, elle était toujours la meilleure en cours de métamorphose car en cachette elle s’entrainait avec ses amis pour devenir un animagus (une petite chatte noire aux yeux en amande). Elle était tantôt ange, tantôt démon. Même pour ceux qui la connaissait le mieux, elle restait imprévisible. Mais après tout est-ce une qualité ou un défaut ?
Tout allait alors très bien. Peu après ses quatorze ans, elle sortit avec Mathieu Bornus, l’un des meilleurs joueurs de quiddich de l’école, se qui lui apporta une grande popularité dans l’établissement. Ses résultat scolaires, et notamment en métamorphose, étaient excellant ; sa troisième année promettait d’être la plus belle de toute, et pourtant en quelques jours seulement…

Le lundi 18 mai 2105, tous les journaux sorciers faisaient la même première page : Monsieur Marcus Evans, actuel premier ministre du président de la République Magique, était mort. Cela était apparemment un meurtre car l’homme était très jeune pour un ministre. Ce même lundi, un homme en robe de sorcier noire, l’air grave, attendit Maëlle à la sortit d’un cours. Le couloir était plein de monde mais sa voix grave couvrait tout le chahut. Tout d’abord elle crut que se n’était pas à elle qu’il s’adressait, car il l’avait apostrophé sous le nom de mademoiselle Evans. Evans. Elle ne fit pas tout de suite le rapprochement. Il lui annonçait que son père était mort, lui présentait ses condoléances (cela ne paraissait pas sincère du tout mais qu’importe). Elle héritait, de ce fait, de tout ce que monsieur Evans possédait, ce qui faisait énormément d’argent. Tout ce que la jeune fille put répondre fut :
« Mon père ? Mais… qui ? Je n’ai plus de père. »
Elle devenait en quelques instant mademoiselle Evans, riche orpheline, fille d’un ministre, fille d’un homme qu’elle n’aurait pas vu une seule fois dans sa vie. Cela faisait beaucoup pour une gamine de quatorze ans ! Elle qui s’était juré de haïr celui qu’elle avait toujours appelé l’Autre Sans Nom, ne put empêcher de le pleurer plusieurs nuits.
L’histoire avait très rapidement circulé dans tout le château. Chacun exagérait peu à peu la rumeur, ce qui devint très vite complètement démesuré par rapport à l’histoire du début. Certains disaient qu’elle était la fille du président de la République Magique lui-même, d’autres la pointaient du doigt en jurant que c’était elle qui avait assassiné le ministre, d’autres encore la soupçonnaient d’avoir été engagé par le ministère pour espionner les élèves de l’école. Elle qui était au paravent envié pour être la petite amie du grand joueur de quiddich, se retrouvait maintenant surnommée « la fille du ministre », ce qu’elle n’appréciait pas du tout, d’autant qu’elle aurait aimé être soutenue par sa mère (Melinda était alors repartit travailler en Angleterre), par ses professeurs, ou au moins par ses amis. Au fond elle se sentait bien seule. Une semaine s’écoula ainsi. Elle commençait à en avoir marre de l’ambiance qui régnait dans cette école, un mois et demie avant la fin de l’année.
Quelques jours plus tard, pendant le diner, Mathieu lui annonça qu’il voulait rompre, sans expliquer pourquoi. Le lendemain, au cours d’un match de quiddich auquel participait le jeune homme, Maëlle apprit qu’il avait embrassé une autre fille dans les vestiaires. Elle jura un bon coup pour se retenir de pleurer. Pour garder un minimum de fierté devant tout les spectateurs du terrain, elle se força de rester regarder le match. Ce fut là une grande erreur. Après une demi-heure de jeu, la jeune sorcière se demandait si elle n’aurait pas du partir depuis le début : Mathieu ne cessait d’envoyer des baisers dans le vent en direction de sa nouvelle petite-amie, ou de lui dédier chacun des but qu’il marquait. De la provocation pure. Et cela marchait très bien, Maëlle était furieuse et au bord des larmes. Et puis soudain, à la stupéfaction de tout le monde, le balai de Mathieu se transforma en vulgaire balais dont les moldus se servent pour faire le ménage. Il fit une chute spectaculaire mais sans gravité (une fracture au bras qui fut soignée par l’infirmière en quelques minutes). Cela eut d’avantage de conséquences pour Maëlle : tout le monde était certain que c’était elle qui était responsable de ce « drame ».
Pour la jeune fille s’en était trop. Elle ne prévint ni ses anciens-amis, ni personnes d’autres que le directeur de l’école et sa mère avant de faire ses valises. Quand les élèves revinrent dans l’établissement après les vacances, Maëlle ne répondait pas à l’appel. Elle avait définitivement quitté cette école, et n’y remit jamais les pieds.

La jeune fille passa le reste la fin du mois de mai, le mois de juin, ainsi que les vacances, avec sa mère, en Angleterre. Cela lui faisait plaisir de reparler anglais après toutes ces années. Elle eut à peine quelques remords d’être partie ainsi, sur un coup de tête, mais elle était rassurée de voir que sa mère ne lui en voulait pas. Elles utilisèrent l’argent de l’héritage pour s’acheter une petite maison dans une petite ville chique, en banlieue de Londres. Elles firent aussi plusieurs autres folies mais elle était loin d’avoir dépensé tout l’argent laisser par le défunt ministre. En cachette, la nuit, elle s’exerça à se transformer en la jolie chatte qu’elle était une fois changée en animagus. A la fin des vacances, elle y parvenait parfaitement. Cela lui remontait bien le moral après toutes ces mésaventures, d’autant qu’elle avait toujours été passionnée par les animagi.
Après plusieurs lettres et plusieurs discution en personne avec les directrices de Poudlard (elles avaient même invités ces dames à venir diner à la maison mais ces dernières avaient refusé), Maëlle fut inscrite dans l’école anglaise à partir de la rentrée prochaine, celle de sa quatrième année. Elle participerait donc à la même répartition que les premières années, et espérer entrer dans l’une des deux maisons dont descendait sa mère et ses grands-parents : Serdaigle ou Griffondor. Cela annonçait pour elle le début d’une nouvelle vie, une seconde chance de faire ses preuves, et elle n’était pas prête à la laisser filer.





II. AUTRE.

  • Quel Camp : Pour l’instant, elle l’ignore, mais il est sur qu’elle ne se laissera pas berner ou influencer par qui que ce soit.
  • Baguette : Elle possède une baguette en bois de sorbier, longue de 26 centimètres, contenant une plume de phénix.
  • Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Elle ne sait pas précisément quel métier elle aimerait exercer plus tard, mais elle aimerait qu’il reste dans le domaine de la métamorphose.


QUESTIONS HJ.

  • Comment avez-vous découvert ce forum ? en tapant « école de magie » sur google.
  • Comment trouvez vous le désign' de ce forum ? bien, même si le vert foncé sur le noir est assez peu lisible, c’est dommage.
  • Comment trouvez vous l'intrigue de ce forum ? bien, très bien même.
  • Avatar : Amy Lee http://www.outoftheshadows.com/images/AmyLee.jpg
  • Avez-vous lu le Règlement ?heu… oui. Mais juste une question, pourquoi mettre une majuscule à reglement ? je veux bien que ce soit important mais quand meme.
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