Carina ...

Fiche d'Azzura Amare

I. IDENTITE.

Prénom(s) & Nom : Azzura Amare
Surnom : Carina*
Date de naissance : : La jeune femme est née le 25 juillet de l’an 2091 et a donc seize ans !
Sexe : Féminin !
Année d'étude : Sixième ...

*Carina est une surnom affectif italien. Aucune véritable traduction !

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II. PHYSIQUE.

Que dire sur ce petit bout de femme ? En un mot : Belle. Mais pas le genre de beauté que l’on voit dans les magazines, non, une beauté particulière et difficilement oubliable. Il suffit d’un regard pour qu’elle vous marque à jamais. Une beauté chaude et appréciée par le sexe opposé !
De longs cheveux bruns clairs, châtains aux premiers rayons du soleil qui retombent gracieusement sur ses épaules, ceux-ci peuvent être lisses, bouclés ou tout simplement ondulés. De plus, la jeune femme en prend grand soin !
Parlons à présent de ses jolies yeux : Ceux-ci vous transpercent jusqu’à l’os. Si bien qu’aux premiers abords, on peut croire qu’Azzura se prend de haut, alors que cela n’est pas du tout vrai. Ils ont une jolie couleur ambrée, parfois verte. Ils sont assez grand et il vous suffit de les regarder attentivement pour savoir si la jeune sorcière est triste ou heureuse. Quand elle est heureuse, une petite lumière s’affiche dans ces derniers, et au contraire quand elle est triste, ils semblent éteint, sombre. Les gens se perdent souvent dans la contemplation de ces yeux tellement ils sont particuliers et cela a le don d’énerver Azzura. Un visage assez fin et long, une peau matte. Voilà de quoi était faite la tête de la jeune sorcière. Mais il n’y avait pas que cela, oh non il y a tellement plus à dire sur son physique !
De longue jambe et musclée, le genre de jambe dont tout le monde rêve un jour ou l’autre. Un ventre plat, et de beaux abdominaux. Az’ mesure environs un metre 73 ce qui est assez grand pour une jeune fille. Son portée de tête est toujours digne de celui d’une reine, elle se déplace aussi gracieusement qu’une princesse. Et tout cela à cause de son éducation particulière.

Signe particulier : Une cicatrice sur le tibia suite à une chute de cheval ... De plus, la demoiselle n'a pas toujours été ainsi, dans son enfance, elle était plutot détestée de sa mère à cause de son physique disgracieux, le vilain petit canard que personne n'aime, la bête noir de tous ses camarades. Mais au fil du temps, on peut dire que le vilain petit canard c'est transformé en cygne ...

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III. CARACTERE.

I. Q u a l i t é s . :
Des qualités ? Aux premiers abords, elles sont bien cachées. La demoiselle a plutot un tempérament froid et distant, surtout lorsqu'elle ne connait pas bien les gens. Mais au fil du temps, elle s'ouvre aux gens et l'on découvre que ce n'est qu'une carapace qu'elle se crée. Franche et courageuse, c'est ce que l'on peut dire. Un coeur en or, mais cela elle l'a perdu au fil du temps, trop gentille, naive. Elle avait toujours tout fait pour être aimé, à présent c'était les autres qui faisaient tout pour être appréciée de cette jeune fille. C'est une travailleuse, une perfectionniste même. Très talentueuse dans la plus part des choses qu'elle entreprenait aussi ce qui là rendait exceptionnelle ! Au début de ces années à Poudlard, c'était une gentille petite fille bien sage et bien tranquille. On se moquait d'elle à cause de sa gentillesse, mais surtout de son physique ... C'est aussi une personne qui est très protectrice envers ses véritables amis, ce sentiment ne s'effacera jamais, seulement elle n'eut plus vraiment de vrais amis par la suite ...

II. D é f a u t s . :
L'été de ses quinze ans, elle se métamorphosa. Tout changea en elle. Si bien que son caractère en subit les conséquences. Les premiers jours, personne ne la reconnaissait, personne ne croyait à cette transformation subite. Mais cela s'était fait naturellement, contrairement à ce que disait les ragôts (tous et toutes pensaient qu'elle avait eu recourt à un sort quelconques ...). Au fil des mois, les gens changèrent face à elle, et Azzura prit de plus en plus confiance en elle. Détestant et méprisant les gens moins beaux qu'elle, ces gens qu'elle considérait comme des moins que rien. C'était du moins ce qu'elle laissait paraître, car dans le fond, elle avait toujours un peu pitié quand elle torturait une petite de première année aux dents de lapins. Personne ne la connaissait vraiment, aucuns véritables amis auxquels vraiment se confier. Azzura devint de plus en plus froide avec les nouveaux, avec les gens qui essayaient d'entrer dans son groupe d'amis. Elle renia les Griffondor qui trainaient ave celle auparavant et se mit à trainer avec des Serpentard (étrange vous dites ?). Tout le monde la connaissait, on s'en méfiait discrètement, les petits la craignaient. Un sal caractère, pas encore une fille pourrie gatée, non loin de là, au contraire elle était restée assez généreuse bien qu'elle ne le montrait pas, il ne fallait juste pas lui chercher des ennuis aussi non vous le regretteriez. Son pire défaut est et sera toujours un défaut propre aux italiens, surtout les italiens homme (c'est donc un défaut qu'elle tient de son père): Elle est têtue ! Vous ne pourriez pas trouver quelqu'un de plus têtue qu'elle ...

III. C e _ q u ' e l l e _ a i m e / C e _ q u ' e l l e _ d é t e s t e . :
On peut dire une chose : Elle détestait venir dans cette école jusqu'à sa cinquième année. Elle détestait tous ces gens envers qui elle faisait tout pour être gentille alors qu'il ne faisait que se moquer d'elle. Certes elle adorait apprendre toutes ces choses sur la magie, apprendre à faire des potions, mais elle détestait les autres élèves, il ne se passait pas un jour sans qu'elle ne s'enferme dans un lieu reclu pour pleurer un bon coup et pour ne pas craquer devant les autres élèves. Aujourd'hui, tout est différent, le regard des autres à son égard, à présent on parle d'elle comme une salope que tout le monde déteste mais, secrètement, en même temps on aimerait bien qu'elle daigne nous adresser la parole. Elle adore entrendre les ragots à son sujet, c'est une de ses passe-temps favoris. Entendre tous ces gens parler d'elle alors qu'elle ne connait même pas leur nom. Narcissique vous dites ? Assez oui. Mais il y a une chose qu'elle aime par dessus tout : La vie en générale. Elle aime à présent venir chaque année dans cette école et s'éloignée de son manoir ainsi que de ses parents, revenir dans cette école pour y apprendre de nouvelle chose. Elle est certes très jolies et très sures d'elle, elle n'en est pas moins intelligente pour autant ! Son sport préféré reste l'équitation, mais elle aime le sport en général : natation, course à peid, quidditch même ! Elle se sent très à l'aise sur un balais comme si c'était son élément. Azzura est une personne assez lunatique, elle aime le changement, mais certaine chose reste : Sa passion pour l'équitation, les arts en général (elle pratique le piano et a une voix d'ange !). Elle vous semble parfaite ? Loin de là ! Elle déteste tout ce qui est travaux ménager, cuisine, mais surtout : Elle haïssait sa mère, qui en fait était sa belle-mère (cf histoire). Elle haïssait son père qu'elle tenait responsable de la mort de sa mère, elle haïssait ses deux demi-frères débiles. Toute sa famille pouvait y passer, le seule membre pour qui elle avait encore de bons sentiments, c'était sa grand-mère, sa Nonna. Cette dernière l'avait toujours soutenue, et Azzura faisait tout pour passer le plus de temps possible en sa compagnie durant les vacances.

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IV. HISTOIRE.

Lundi 25 juillet 2099 ...

Il est une heure du matin, une petite fille ne parvient pas à dormir et passe la nuit au chevet de sa mère. Elle est inquiète et ne parvient pas à quitter la minuscule chambre qu’occupe sa maman. Elle n’a que huit ans. C’est le jour de son anniversaire. La scène se passe dans un petit village d’Italie, un village situé dans les montagnes, parfait pour se reposer d’une maladie dont personne ne connaît rien. Elle sourit, juste pour sauver la face. Elle n’a que huit ans et pourtant, elle comprend parfaitement. Sa mère vit ses derniers jours, elle veut en profiter. Elle ne veut pas que sa mère s’en aille en aillant comme dernier souvenir l’image de sa fille pleurant à ses cotés. Non, toutes deux se racontes des histoires drôles, des blagues. Elles parlent de tout et de rien, comme si tout allait bien. La magie ? Non... La magie ne pouvait pas la soigner. La petite fille avait posé la question. Tout le monde l’avait suggéré. Mais la magie ne pouvait rien y faire, personne ne pouvait rien y faire. C’était ainsi, il fallait s’y faire. La jeune mère allait mourir avec son unique fille à ses cotés. Le père ? Loin. En Angleterre. Pour affaire. C’était du moins ce qu’il disait. Tout le monde savait que ce n’était pas la vérité, il ne voulait juste pas voir sa femme souffrir, il pensait devoir expliquer à sa fille les choses de la vie, la vie, la mort. Il ne comprenait pas qu’elle n’en avait pas besoin. Elle comprenait parfaitement. L’enfant demandait souvent où se trouvait son père, partit depuis un an déjà. Il avait quitté les lieux, il les avait abandonnées. Et peut être ne reviendrait-il jamais. Tout le monde fuyait. Les gens avaient peur de cette petite fille qui portait seul ce lourd fardeau sur ses petites épaules d’enfant. Personne n’osait s’approcher de cette maison et de ces habitants. L’enfant les détestait, tous autant qu’ils étaient. Elle détestait ces gens qui les abandonnaient. Elle haïssait son père qui les avait oubliées. Aucunes nouvelles depuis un an. Pas de lettre, pas de coup de fil. Rien. Comment aimer un père fantôme ? Comment aimer un être qui était entrain de tuer sa femme à petit feu. Car l’enfant le savait, sa mère luttait contre la maladie qui l’emportait, elle luttait dans l’espoir de voir une dernière fois son mari, mais dans sa lutte, la souffrance. Des nuits blanches, des poussées de fièvre infernale, et doucement, la paralysie. La cécité. Oui, elle était devenue aveugle, le virus s’attaquait à présent à son cerveau, la mort cérébrale était imminente. La petite fille souffrait, chaque jour un peu plus, de voir sa mère dans cet état, rongé jusqu’à la moelle par la maladie. Mais elle ne le montrait pas, elle ne le disait pas. Jamais elle ne se plaignait. Elle nourrissait sa mère tous les jours, faisaient le ménage dans la chambre. Les femmes de ménages et les nourrices avaient ordre de ne pas entrer dans la pièce.
La mère vivait ses dernières heures à présent. Je le voyais bien. Mais encore une fois, elle jouait à la dure, elle faisait semblant d’être forte, forte pour sa mère qui luttait encore et toujours. Elle riait, un rire faux bien sur. Elle tenait fortement la main de sa mère, afin qu’elle arrête de trembler. C’était la fin. Je me sentais, sa voix était faible, presque éteinte. La fièvre avait atteint son summum.

Voici la dernière conversation que j’ai eue avec ma mère ...

« Mamma, parla me. »

« Che ore sono ? »

« Mezzanotte »

« Happy birthday carina..... » répondit la mère, avec un drôle d’accent italien dans son ‘joyeux anniversaire.’

« Grazie Mamma .... »

Le silence se fit. L’enfant avait à présent huit ans. Azzura observait les traits fatigués de sa mère. Il était minuit. L’horloge de l’église du village se fit entendre.

« C’est la fin ... Te amo carina ... »

Azzura se leva d’un bond, serrant la main de sa mère plus fort que jamais. Elle s’était mise à pleurer, elle ne contrôlait plus rien. Sa mère essayait de serrer la main de sa fille, mais elle n’avait plus la force nécessaire.

« Ne me laisse pas .... » dit Azzura d’une voix étranglée par les larmes.

Mais c’était trop tard. Il n’y avait plus de résistances dans la main de sa mère, ce n’était plus que des os et de la chaire.

« Mamma !Mamma ! »

Les ménagères eurent vite fait d’arriver. Tout le personnel de maison arriva, débarquant dans la chambre comme un troupeau d’animaux. Et tout ce qu’ils virent, c’était une enfant de huit ans qui venait de passer la dernière nuit en compagnie de sa mère. Une enfant qui pleurait toutes les larmes de son corps, frappant de son petit poing sur le lit qui avait recueilli sa maman pendant plus d’un an.

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Trois ans plus tard, 30 Juillet 2102.

Les choses ont changé ... Ma vie a changé. Ma mère a été enterrée en Angleterre, afin que je puisse facilement aller la voir. Mon père est revenu, tout penaud, désolé. Je n’en avais rien à faire. Je le haïssait, peut être aurais je pu le pardonner un jour. Mais pas après ce qui avait suivi. Un an après la mort de ma mère, j’avais emménagée depuis longtemps dans le château de mon père. On ne se voyait jamais, on s’évitait même. Le château était tellement grand que ce n’était pas difficile. Je passais la plus part de mes journées à faire de la magie, ou à voler sur un balais. J’avais des professeurs particuliers pour plusieurs choses, potion, DCFDM, sortilèges, etc. ... Mon père voulait que je sois la meilleure, je le savais. Mais si je faisais autant d’efforts, c’était pour moi, mais avant tout, pour ma mère. Je voulais qu’elle soit fière de moi comme j’avais été fière d’elle, fière de la voir se battre jusqu’au bout. Mon père comprenait bien que je lui en voulais, et il faisait tout pour arranger les choses, il m’amena même, une nouvelle maman. Il me la présenta, elle s’appelait Narcisse, une anglaise de pur souche. Au premier coup d’œil je compris qu’on allait se détester. Elle avait déjà deux fils, deux crétins de la pire espèce plus gros que des cochons. Elle les trouvait adorable, et me détestait tout autant. Mon physique était sûrement aussi disgracieux que celui de mes demi-frères, mais j’étais intelligente, ainsi, lorsqu’ils voulaient faire un duel contre moi, je gagnais toujours, ce qui rendait ma belle mère folle de rage. Je m’amusais à parler en italien devant elle, elle n’en comprenait pas un mot et cela m’amusait de la faire tourner en bourrique. Elle désespérait de ne pas voir la lettre pour Poudlard arriver, elle avait tellement hâte de se débarrasser de moi. Par chance, elle arriva le 25 juillet, jour de mon anniversaire (que tout le monde avait oublié bien entendu.) J’avais aussi reçu un cadeau de ma grand-mère, ma nona. Elle n’avait pas oublié mon anniversaire. On me demanda pourquoi ce cadeau, je ne daignai pas répondre. Mon père s’en souvint le trente juillet ...

« Chéri ! Bon anniversaire ! »

« C’était il y a cinq jour ‘pa ».

« Je sais.... Je suis désolé mais avec les préparatifs du mariage et tout j’ai la tête ailleurs. »

Ah oui..... Le mariage. Chose très importante dans la vie de mon père. Voilà un an et demi qu’il avait rencontré Narcisse, et le mariage approchait à grand pas. Officiellement, ils étaient déjà mariés, mais bien sur Madame voulait un mariage à l’Eglise avec la belle robe et tout et tout .... La semaine suivant mon anniversaire, la célébration eut lieu, dans notre jardin. J’étais aux abonnés absent bien sur. Comme si j’allais regarder mon salop de père s’unir à cette.... femme. Je m’étais mise à préparer mes affaires pour partir pour l’école. J’avais tellement hâte de partir d’ici ...

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Cinq ans plus tard, 31 août 2107, veille du retour à Poudlard.

Quel bon en avant me direz vous ... Et bien tout simplement car ma vie est assez simple à résumer. Jusqu’à l’an dernier, je n’étais que la petite laide de Griffondor, nous étions trois dans le cas avec qui je passais tout mon temps. Seulement c’était sur moi que tout le monde s’acharnait. On ne me détestait pas, mais on ne m’aimait pas non plus. J’étais petite et grosse. Pleines de boutons partout. Ma belle mère aimait bien me rappeler que ses fils, eux, avaient grandi et étaient devenus super mignons. Le genre de gars sur qui tout le monde craque, seulement, elle n’avait pas de chance, ils ne pouvaient plus remettre les pieds à Poudlard à cause de certains incidents. Ils avaient été renvoyés et passait leur année à la maison avec des professeurs particuliers. Mon père était devenu quelqu’un de très important au ministère de la magie, il parlait plusieurs langues (anglais, français, italien, espagnol et mandarin) et était donc devenu ministre de la coopération magique internationale. Moi ? J’avais changé en deux mois. J’étais passé du petit mètre 60 au mètre 73, mes cheveux étaient devenus aussi beaux que ceux de ma mère autre fois. Mes yeux s’étaient éclaircis encore plus et ressemblaient à présent eux aussi à ceux de ma mère, à dire vrai, je m’étais mise à observer les photos de ma mère quand elle était jeune, et c’était moi. On se ressemblait, j’étais heureuse de voir cela. En deux mois je n’étais plus la petite Griffondor que tout personne n’aimait. En revenant à Poudlard, tous et toutes s’étaient demandés si j’étais une nouvelle. Au fil du temps ils s’étaient habitués. Seulement, mon caractère avait changé. Ma personnalité. Tout en mois. Je me mettais à martyriser les petites de premières qui avaient pris ma place, si bien que certaines Serpentards m’avaient prises dans leur groupe. Tous et toutes étaient sure que je n’avais rien à faire à Griffondor. Et j’étais bien d’accord avec eux. Seulement, je savais que ce n’était qu’une coquille que je me faisais, et qu’un jour, il faudrait que je revienne dans le camp des gentils ..... Moi, fille de sorcier et de sorcière, j’étais un sang pur qui enfin était reconnue à sa bonne valeur. J’étais devenue une fille détestable, et cela me plaisait fortement .... On pourrait croire que mes points s’en sont ressentis ? Pas du tout. J’étais une excellente élève. Et malgré mon sale caractère et mon comportement envers les petits, les profs m’adoraient. Car personne ne semblait croire que, moi, Azzura Amare, bonne petite fille gentille avec tout le monde, pouvait ennuyer quelqu’un ...

V. AUTRE.

Quel Camp : Neutre penchant bien : La jeune femme ne prendra pas part activement à tout ce qui se trame, elle observera plus qu'autre chose. Mais si elle sent que les choses dégénèrent elle prendra partie pour le camp du bien.
Baguette : 19 cm, bois de Houx contenant une plume de vivet doré.
Animal de compagnie : La demoiselle reçut un vivet doré à l'âge de quatorze ans. Depuis elle ne peut plus s'en séparer. Le vivet doré était autrefois utilisé dans les match de Quidditch, seulement ceux-ci mourraient dès que l'attrapeur les avait saisit, ils furent donc interdit d'utilisation et mis sur le marché courant mais comme espèce protégée.
Le vivet doré est un minuscule oiseau sphérique, très agile, pouvant se montrer très rapide et très mobile. Comme son nom l'indique, il a les plumes dorées et des yeux rouge rubis. La demoiselle l'a prénomé Saphir !
Ses rêves et ambitions pour l’avenir :
Son désir le plus fou serait de devenir aurore. Elle ne veut pas entendre parler de mariage et de vie de famille pour l'instant. Comme cela a été dit, c'est une fille qui aime l'aventure et le changement. Elle n'aime pas tomber dans la routine et hait avoir une vie banale! Voilà pourquoi elle se donne à fond dans tous les cours requit pour devenir un jour aurore.

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VI. QUESTIONS HJ.

Comment avez-vous découvert ce forum ? Par un Top ;]
Comment trouvez vous le désign' de ce forum ? Tout simplement Superbe «3
Comment trouvez vous l'intrigue de ce forum ? J'adore ! Elle est vraiment originale et très attreyante !
Avatar : Petra Nemcova
Mot Magique : ChocoGrenouille