Frankkie KIERMAN as A N G E L L U S / [End.]

La jeune fille après cela releva son visage et regarda sa famille qui lui sourit, et elle fit de même. Tout le monde se servit à table, le repas était bon et copieux. Mr Kierman racontait la dure journée qu’il avait eu au travail à sa femme, cette dernière l’écoutait attentivement, elle faisait de même. Quand au frère et à la sœur de la jeune fille, qui était plus vieux qu’elle d’un an, a vrai dire ils étaient jumeaux, ils ne cessaient pas de discuter entre eux, et la jeune fille, elle, elle était seule dans son petit coin de table, à les regarder parler. Non elle n’était pas rejetée par sa famille, elle n’avait simplement pas envie de dire quelque chose aujourd’hui, elle préférait, communiquer avec Dieu, elle arrivait à communiquer avec lui aussi bien en pensée qu’en parole, mais sa personne ne le savait, elle c’est découvert cela alors qu’elle n’avait que dix ans. Elle c’était également découvert un don, un don de Dieu, celui de guérir les gens, au tous du moins de leur redonner espoir en la vie et en Dieu, et chaque fois qu’elle c’est approchée de quelqu’un qui n’allait pas bien, comme l’une de ses amies qui était au bord du suicide, et qu’elle le ou la touche, aussitôt, il ou elle reprend espoir et sourit de nouveau, c’est quelque chose d’assez compliqué, il faut le vivre pour le comprendre.

Pourquoi ne pas l’avoir dit a sa famille ? Simplement parce qu’elle a peur que ceux-ci n’en face tout une histoire, et qu’il ne jure que par elle, et que leur clef de voûte ne soit plus la saine église catholique, mais elle, et elle ne désire pas cela, car il se pourrait que la Vatican envoie certaines personnes la chercher, pour lui éviter de révéler certaines chose qui pourrait mettre en doute la parole de l’église, car grâce à sa communication certaine avec Dieu, la jeune fille peut avoir accès à certaine chose que les membres du Vatican ignorent ou font semblant d’ignorer.

Le dîner se passa bien, tous le monde aida au tâche ménagère et la jeune fille après avoir fat sa part, monta dans sa chambre, la tête baissa et les mains jointe devant elle, elle montée d’un pas tranquille les escaliers. Elle entra enfin dans sa chambre, elle se posa sur son lit et fouilla dans ses affaires, celle qu’elle emmenait pour Poudlard. D’ailleurs le jour où elle a reçut sa lettre, elle s’était inquiétée, car elle savait que l’église punissait les sorcières et les sorciers, même si nous n’étions plus au temps de Salem, après l’avoir reçut, elle passa dix bonnes minutes à communiquer avec Dieu, à lui parler de ceci, et celui-ci la rassurât, en lui disant qu’elle serait toujours l’une de ses filles, un jour il l’avait même qualifiée de sainte, mais la jeune fille lui avait demandé de ne pus la nommer ainsi, alors il lui donna le nom d’Angellus, il lui expliqua que c’était la moment ou la cloche sonné aux alentour de 8 heure du matin, mais pour elle, cela n’avait pas la même signification, il lui parlât alors des choses qu’elle avait faite, de l’espoir qu’elle redonnait aux gens, et c’est pour cela qu’il la nomma ainsi, d’ailleurs dans ses rencontres avec les autres, il l’aide, pour connaître les choses qui ne vont pas dans leur vie, de savoir pourquoi ils sont si triste, ou bien de savoir pourquoi ils sont heureux, et ainsi de leur demander à partager se bonheur avec les autres.

Mais le jour où elle reçut la fameuse lettre, sa mère monta dans sa chambre, et lui expliqua qu’elle-même était une sorcière, que son père et que son frère et sa sœur en était également, sauf qu’ils étaient cracmol, et n’avait pas put suivre l’enseignement de Poudlard, et que c’est pour cela qu’elle n’en avait jamais entendu parler. Sa mère lui en parlât longuement, elle lui expliqua le principe des quatre maisons elle lui dit qu’elle avait était envoyée à serdaigle et que son père avait était un poufsouffle. Lorsque la jeune fille entra à poudlard, le choixpeau magique, la mise à gryffondor, ses parents furent heureux, mais sa mère avait toujours sut qu’elle irait dans cette maison.

Et depuis se jour la jeune fille à vécu dans la salle commune de gryffondor aidant son prochain à se sentir mieux, à être plus courageux, d’aileurs elle n’a jamais hésitée à parlait au serpentard à essayer de comprendre grâce à l’aide de Dieu, pourquoi ils étaient ainsi, elle avait sut pour certains mais pour d’autre c’était plus difficile, ils semblaient faire une barrière anti-émotion dans leurs tête, c’était étrange, mai elle n’insistait pas plus,elle respectai la vie privée des gens, et si ils ne veulent pas qu’on sache des choses sur eux où qu’on les aides, c’était leur droits et elle le respectait, même si parfois sa curiosité la poussait à essayer d’en savoir plus, d’ailleurs Dieu, lui faisait souvent la moral pour sa, mais il ne lui en voulait pas trop car il savait que c’était pour une bonne cause.

La jeune fille fait cela depuis maintenant six longues années, puissent qu’elle rentre cette année, en sixième année. Et elle compte toujours aider autant les autres du mieux qu’elle le pourra et de continuer ses communications avec le Saint Père