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Llewellyn Ambre G. Atwell
1ère année à Gryffondor
1ère année à Gryffondor
Llewellyn Ambre G. Atwell


Nombre de messages : 18
Message Perso : : Murmure | Nothing can be explain...
Date d'inscription : 01/06/2007

Carte d'identité du Personnage
Poste: Elève Gryffondor.
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MessageSujet: | Murmure |   | Murmure | EmptySam 2 Juin - 8:20

UN SIMPLE MURMURE DE L'IMAGINAIRE~



BECAUSE IT'S NOTHING...


I. IDENTITE.
  • Prénom(s) & Nom : Llewellyn, Ambre, Gabrielle Atwell.
  • Date de naissance : Le 2 Juillet. 11ans.
  • Sexe : Féminin.
  • Année d'étude : Premiere.

II. PHYSIQUE.
    De longs cheveux noirs de jais. Ni brillant, ni gras, rien. Ils sont noirs et mal coupé, Llew n’en prend pas soin. A quoi cela sert-il de se coiffer pour des gens que l’on hait ? Alors parfois il se décide a les lui coiffer, en ce cas, ses cheveux noir de jais devienne beau, ramené en arrière, dégageant son visage d’enfant. Elle est adorable, simplement. Llew sait qu’elle tient ses long cheveux de sa grand-mère, la vraie. Llew n’a jamais put voir cette femme autre qu’en photo, et il faut dire que la voir n’aurait servie a rien au vu de son caractère particulier. Mais elle est heureuse, au fond d’elle, c’est un souvenir de sa vraie famille. Llewellyn n’a jamais voulu les couper, mais il s’avéra qu’on dut les lui couper a cause d’n nœud qui s’était formé dut au fait qu’elle ne s’en occupait pas. Ils lui arrivent a présent a mi dos.
    Le visage de Llewellyn est comme tous les visages d’enfant, rond et mignon. De petite joue bien que creuses, des pommettes hautes, un nez droit, un petit front, vraiment tout d’une adorable petite fille sauf ses yeux. Ses yeux sont noirs, noir charbon, noir nuit. Vide de toute expression, ou presque, c’est surtout grâce a eux qu’elle peut encore communiquer. Mais voila, ses yeux se font fuyant, toujours. Il est presque impossible de capter son regard et y trouver la flamme de vie qu’on y attend. Noir. Vide. Sans aucun reflet autre que celui de la haine et de l’innocence aussi. Encore faut il le voire, Llew n’ose pas regarder les gens en face, non elle regarde son monde et ferme les yeux sur ce monde. On dit que les yeux sont le reflet de l’âme, si les yeux sont vides, cela veut-il dire que son âme est vide ? Sûrement au vue de son caractère silencieux. Ceux qui ont réussi a voir ce regard profond de rêve et d’illusions perdu se sont perdu dans la compréhension de la jeune fille. La comprendre ne peut se faire par le seul trait d’émotion lui restant : les yeux. Mais quand elle a peur du regard des autres, essayer ne serait-ce que d’attirer son attention est difficile. Si vous la regardez dans les yeux, elle aura peur, elle pensera que vous la jugez ainsi. Elle s’enfuira. Des yeux absents, constamment, des yeux qui gâche ce visage de petite fille, malheureusement. Pourtant, elle voudrait pouvoir vous montrer ses grands yeux noirs corbeaux. Mais elle n’y arrive pas.
    Sa corpulence et sa taille… Murmure est maigre, la peau lui tombe sur les os, pourtant elle mange à sa faim, mais elle ne grossit pas. Elle fait peur même, souvent on l’a comparée à un cadavre d’enfant. C’est un peu ce qu’elle est. Fine, cadavérique, on s’inquiète vraiment du traitement qu’on lui fait subir,, mais qu’importe, aucun mot n’est jamais sortit de sa bouche, personne ne peut le savoir. Elle n’impressionne vraiment personne, sa corpulence rappelle celle d’un zombi…
    « OYE LA NAINE VIENS VOIR LA QU’ON T’ECRASE ! » combien de fois lui ont-ils dit ces mots ? Effectivement, Llewellyn est petite, bien trop petite justement. Elle mesure seulement un mètre trente six, ce n’est pas de la qu’elle dominera le monde. Mais sa petite taille lui convient parfaitement. Après tout, elle est utile pour se faufiler ou bon lui semble. Les moqueries des autres ? Elle s’en fiche, ils ne sont qu’autres. Essaye-t-elle de se convaincre. Tout est bon pour se réconforter soi-même, surtout lorsque l’on est autiste.
    Tout le monde s’aime imaginer le son de la voix de Llew, lorsque les gens du foyer la martyrisait, ils prenaient une petite voix aigue et pleurnicharde et crier « MAMAAAAAAAN LES GARCONS ME FONT MAL ! » tout ne lui tirant les cheveux. Et c’est vrai, personne n’eut le loisir d’entendre la voix de Llew, incapable de dire son timbre, sa sonorité, les émotions qu’elle comprend, non c’est impossible. Llew est comme muette, pour on ne sait combien de temps.
    Sa couleur de peau ? C’est de la neige, aussi douce, aussi froide, aussi blanche que cette dernière. Malade, sûrement ? Mais a part son autisme, la jeune fille n’est pas malade. Non, elle n’a aucune maladie grave, aucun problème pour marcher, pour bouger. Un simple teint, qui plus d’être anglais se rapproche de la mort. Rien de plus, rien de moins.



III. CARACTERE.
    Le monde est une injustice. C’est ce qu’elle pense, ce qu’elle croit, ce qu’elle ne comprend pas. Le monde ne mérite pas d’être vu. Ses yeux d’innocents se sont ainsi fermés pour longtemps. Elle a son monde à elle, et n’a besoin de rien d’autre. C’est elle qui faut préserver, si elle faisait face a la réalité, son esprit déjà fragile serait brisé et ce pour toujours. C’est une enfant très fragile. Pour elle, il n’y a qu’elle et son monde qu’ils brisent sans le voir et le savoir. Llew est une autiste. Ses yeux sont vides, ils ne voient que ce qu’elle veut voir, c'est-à-dire rien. Le monde lui fait peur, c’est ainsi qu’elle pense, alors elle se préserve elle-même. Llewellyn est une enfant spéciale depuis très jeune. C’est notamment pour cela que ses parents l’ont délaissée. Silencieuse, elle était « absente », ses yeux ne scrutaient rien, les paroles que ses parents lui disaient ne semblait l’atteindre. Pourtant, elle assimilait ce langage, elle le comprenait, mais se refusait à répondre, où alors elle répétait sans cesse le même mot. Silence. C’est tout ce qu’elle était. C’était ce qu’il la résumait. Le son de sa voix ? Personne n’eut le loisir de l’entendre.
    De nature silencieuse et discrète, Llewellyn ne se fait jamais remarquer, elle ne parle pas, ne communique pas, ne fait aucun geste brusque, rien. Un Néant de Conscience. Un Vide de l’Esprit. Elle se contente d’observer les choses que les autres ne verront jamais, d’entendre le murmure du vent. Elle assimile, comprend, ne répond pas. Se contentant de quelques fonctions normales. Il arrive que vous la trouviez seule, recroquevillé sur elle-même, se balançant d’avant en arrière, l’air terrifié, en ce cas, seule une personne a su la réconforter. Dans ces moments-là, elle vous fuira, ne vous regardera pas et se contentera de gémir de peur. Sa main pressant sans cesse le v+ de son baladeur, pour ne pas vous entendre, pour ne pas les entendre. C’est sa musique. La voix du chanteur, l’accord parfait derrière. C’est ce qui fait qu’elle s’envole librement dans son monde. Il n’y a pas que dans ses moments de peur qu’elle écoute la musique, c’est sans cesse. Son baladeur n’est jamais arrêté, il continue de tourner, lançant le monde de la petite aux portes d’illusions qui se briseront un jour sûrement.
    Les mésaventures qu’elle connait ne l’ont jamais fait pleurer. Parfois, elle se dit que si elle pleurerait, il la prendrait dans ses bras pour la réconforté, mais qu’à force d’abus, il en aurait marre. Elle a peur de cela, ainsi elle ne pleur jamais, encaisse tout sans broncher, regarde ailleurs pour retenir ses larmes d’enfants. Elle n’est presque jamais là. Son trésor musical avec elle, et aime la forêt ou le parc. Là où l’imaginaire n’a plus de limite, plus les siennes en tout cas. Jamais là, enfouie, profondément, ancré dans un illustre rêve que personne n’arrive à comprendre, à saisir, alors ils la fuient.
    Sans le savoir elle a peur, des gens, du jugement, de ce que l’es autres pense d’elle et son monde. Elle le sait qu’ils la haïssent. Paranoïaque ? Oui, mais comment le savoir quand les perceptions des choses se limites a un baladeur dans les oreilles et un rêve éveillé ? C’est cette peur d’une chose inconnue qui la pousse à fuir ce qu’elle ne voit pas. Ce que les autres ne voient pas.
    Son cœur à présent emplis de haine, qu’en est-il ? Il explose et suffoque. A vide de conscience, le cœur comprend et bas sans cesse plus vite, provoquant crise d’angoisse. Ses crises, Llew les craint, et plus elle les craint, plus elles persistent.
    Sa plus grande qualité serait une patience à toute épreuve. Il se peut qu’elle puisse attendre des jours quelque chose, elle restera au même endroit, sans bouger, se balançant d’avant en arrière, convulsant de ses crises d’angoisse, retenant ses cris dans une gorge serrée. Si ce qu’elle attend ne vient pas elle pourrait attendre sa mort au même endroit s’il ne vient pas la chercher pour lui dire que c’était une blague de mauvais goût des autres. Elle comprend aussi très rapidement les choses, vu qu’elle ne parle pas il est difficile de se retenir de dire qu’elle est arriéré et pourtant. Chaque mot depuis jeune elle les garde ne mémoire, cherchant un sens pour pouvoir comprendre lorsqu’on le dira une prochaine fois. Elle est aussi discrète et calme. Obéissante, il n’est nulle besoins de hurler pour qu’elle fasse quelque chose, craignant tellement que vous lui fassiez mal, que vous l’abandonnez, qu’elle le fera immédiatement. Si vous osez élever la voix, il vous faudra passer des heures à essayer de la faire bouger. Elle se mettra en position fœtale et se balancera, d’avant en arrière. Elle essaiera de vous ignorez, vous qui venez de la terroriser.
    Son plus grand défaut et son silence et son absence. Il n’est pas rare que vous parliez dans le vide. Mais comment savoir ? Elle qui ne répond jamais sauf par de simple signe. Debout, sa peluche en mains, elle peut être devant vous et pourtant ailleurs, dans une nature a courir derrière un papillon bleu, a caresser les animaux que vous ne voyez pas de toute manière… Cela peut être frustrant pour son interlocuteur aussi. Il y a sa haine aussi. Sa haine inexpliquée pour le monde. Elle ne vous regardera pas, elle vous méprisera au fond de son cœur, mais vous ne le saurez pas. Elle voudrez parfois votre mort, sans que vous ait fait quoique se soit a part être humain. Elle vous haït, toujours, sans cesse. Ici elle n’a jamais été aimé, alors pourquoi aimer en retour ? Elle ne vous nomme pas. Pour elle vous nommer signifie vous respecter, vous reconnaître, elle ne vous reconnait pas, elle ne vous nommera donc pas dans son esprit. Il n’y a, a ce jour, qu’une seule personne qui a un nom pour elle.


V. AUTRE.

  • Quel Camp : Définir le bien, le mal... Llew n'en est pas encore capable. Ses perceptions se limitent à ce qu'elle décide de voir et d'entendre, pour elle le meutre n'est pas forcément mal. Son camp n'est pas définissable.
  • Baguette : 23,2 cm. Bois de murier. Elle contiens un flocon de neige tombé en Mars. {Parfaite pour la métamorphose et les sorts de défense }
  • Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Qu'ils disparaisse. Que sa bulle ne soit jamais brisée.

VI. QUESTIONS HJ.

  • Comment avez-vous découvert ce forum ? Drey <3
  • Comment trouvez vous le désign' de ce forum ? Sublime. Pas juste de savoir des trucs si bien.
  • Comment trouvez vous l'intrigue de ce forum ? Vraiment interresante mais avancant au ralenti.
  • Avatar : The Tragic Truth of Me


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Llewellyn Ambre G. Atwell
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MessageSujet: Re: | Murmure |   | Murmure | EmptyDim 3 Juin - 9:15

IV. HISTOIRE.

  • Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Anglaise et Irelandaise / Anglaise / Son ascendance est inconnue en vue de son statut d'orpheline, mais elle serait de sang pure.
  • Enfance et Scolarité avant Ecole de Magie : Courant dans la forêt la jeune femme souriait, parfois elle observait ce qui se passait derrière elle. Elle était belle, cette jeune femme. Des cheveux châtain ramené en couette basse, des grands yeux verts ouvert sur le monde. Elle s’appelait Kithlyn. Elle était avocate de métier, oui mais avocate dans le département de la justice Magique. Kith (comme appelée par ses amies) était une sorcière de vingt trois ans. Elle venait de se marier. Son mari s’appelait Arrogance. Arrogance Atwell. Deux branches de sorciers de lignée pure, rien de plus et rien de moins. Ils étaient bien ensemble. Un joli petit couple de sorcier espiègle.

    Arrogance – KITH ! REND MOI CA MAINTENANT !
    Kith – ATTRAPPE MOI SI TU PEUX !

    Elle partit dans un rire moqueur et accéléra ses foulées. Kith était enceinte. De presque huit mois. Kith était belle et avait encore la vie devant elle, seulement.

    Arrogance – NON KITHLYN ! NE VA PAS PAR L…

    C’était trop tard. La jeune femme avait chutée. Un ravin se cachait, elle ne l’avait pas vue Elle était tombée. Arrogance se précipita a son secours, par un miracle qu’il ne saurait dire et dont il ne veut connaître les causes, Kithlyn avait survécue. C’est sans hésiter qu’il la conduisit en urgence à Sainte Mangouste. Les médecins alerté se précipitèrent sur son cas, Arrogance, lui passa trois heure den salle d’attend jusqu'à que…

    Médecin – Votre femme va bien, monsieur
    Arrogance – Je peux la voir ? !
    Médecin – avant j’aimerais vous parler… Votre femme est enceinte ?
    Arrogance – depuis huit mois environs… Oh non, Llewellyn est… est… M… Morte ?
    Médecin – Non… Votre femme et votre enfant on eu beaucoup de chance de survivre a une chute pareille. Mais nous avons du pratiqué une césarienne pour voir si le bébé n’avait vraiment rien. Il est sauvé mais il aura quelques problèmes…
    Arrogance - Quels problèmes ? !
    Médecin – Arriération mentale, problème respiratoire et/ou cardiaque…

    Arrogance soupira de soulagement et remercia le Médecin, quelques minutes après il fut conduit dans la chambre de sa femme. Cette dernière tenait un petit être dans ses bras. Il était beau et jeune, une petite fille. Il s’approcha et se laissa tomber sur une chaine. L’air grave il observa l’enfant. Son enfant. Elle avait les mêmes cheveux blond que tout les enfants, les yeux clair, très clair même mais… Ils n’étaient pas éveillé, ils fixaient quelque chose, mais ce n’était ni sa mère, ni son père.

    Arrogance – tu l’a échappé belle Kith tu sais…
    Kith – on tu veux dire, regarde la petite Llew, elle va bien aussi… J’avais pensé en autre prénom Ambre et Gabrielle, qu’en pense-tu ?

    Arrogance ne répondit pas et observa sa fille. Devait-il le dire a sa femme, après tout rien n’était sûr… Il se contenta de sourire et d’acquiescer d’un signe de tête, tout irait bien. Ils étaient forts, et si leur enfants avait un problème, il pourrait le guérir. Arrogance pris sa fille dans ses bras.

    Arrogance
    – Bienvenue dans le monde des sorciers ma petites Llew.

    Personne n’aurait put dire que devoir avoir cet enfant serait plus grand calvaire de ses parents, pourtant la chute aurait dut les avertir… Llewellyn ne bougea pas, n’observa même pas son père. Elle fixait de ses yeux limpides le plafond… Oui, bienvenue dans le monde des vivants…

    ~~

    Llewellyn avait trois ans a présent. Trois années passées dans un mutisme total. Son premier mot lui était inconnu, sa démarche de jeune enfant bien plus maladroite que la normale, ses mouvement été répété. Llewellyn se balançait d’avant en arrière, d’arrière en avant. Lorsque son père voulait la prendre dans ses bras, elle fuyait. Elle avait peur. Cela faisait longtemps que ses cheveux étaient devenus noirs de jais de même que ses yeux. La petite fille ne semblait pas réactive aux choses qui l’entouraient. Serait-elle vraiment arriérée ? Ca ne se pouvait. Elle semblait comprendre, mais ne répondait tout simplement pas. Peut-être fallait-il voir un médecin ? Mais un médecin humain ou un Infirmier de St-Mangouste, le choix ne dura pas longtemps. La petite fille fut embarquée pour l’hôpital St-Mangouste. Sur le chemin, ses yeux n’avait pas bougeaient, l’éclat de vie que devait les allumer ne scintillait pas. Ses babillages étaient littéralement inexistants. Elle ne pleurait pas, ne demander rien, ne jouer pas, elle se balançait d’avant en arrière, en tenant sa peluche. Trois ans sans que ses parent puisse voir une quelconque réactivé sur leur enfant.

    Médecin – La famille Atwell ! Quel plaisir de vous revoir ! Miss Kith, votre mère va beaucoup mieux, quant a vous My Lord, il faudrait penser a nous envoyer votre frère de temps en temps.

    La mère sourit. C’est vrai qu’ils n’avaient jamais étés gâtés côté famille Arrogance montra sa fille au médecin.

    Médecin – mais c’est la petite Llew, comment vas-t-elle ?
    Kith – mal justement, on s’inquiète Dr. Cela fait trois ans qu’elle « n’est pas normale » elle n’a aucune réactivé, elle n’a pas babillé ou pleurer ! Elle ne dit rien, elle fait des mouvements répéter, on ne comprend pas…
    Médecin – Il faut examiner son cas, alors.

    Dans la salle d’auscultation le médecin procéda à plusieurs test, d’abord d’origine moldus, puis peu a peu il passa aux méthodes magiques, qu’importe, la jeune fille ne répondait a rien. Lorsque le médecin lui demande d’ouvrir la bouche, elle le fit, lorsqu’il lui demanda si elle comprenait ce qu’il disait elle acquiesçait silencieusement, d’un hochement de tête. Le médecin se tourna et haussa les épaule, l’enfant sembla troublé. Pourquoi haussait-il les épaules ? Qu’est-ce que cela signifiait ? Elle eût un mouvement de recul, elle ne comprenait pas… Cela ne passa pas inaperçus aux yeux du médecin, il commença une nouvelle série de test. Il lui demanda ce qu’elle comprenait dans l’expression « Couper l’herbe sous le pied » Llewellyn connaissait ces mots. L’herbe était cette chose douce et humide dans le parc, verte au printemps et un peu jaunâtre en été, elle aimait bien s’agenouiller dedans pour voir les oiseaux dans les yeux. Le pied était une partie de son corps, celle qui supportait son poids, elle admirait ses pieds, ils étaient si fort. Si petit, mais ils portaient tout son corps frêle de gamine. Et couper était une action qui consister a séparer une feuille en deux. Ca n’avait pas de sens, elle ne comprenait pas comment on pouvait couper de l’herbe sous le pied de quelqu’un, le pied était ancré dans le sol, on ne pouvait pas lui couper quelque chose en dessous ! Llew fut déstabilisée. Elle ne comprenait pas, elle ‘n’avait que trois ans, mais comprendre était une chose nécessaire pour elle. Instinctivement, elle se recroquevilla… Terrorisée, elle ne comprenait pas, ce qu’elle ne comprenait pas lui faisait peur. Le médecin observa sa manière de faire et lui offrit un sourire

    Médecin – Ce n’est pas grave Llewellyn… Miss Atwell, Mr Atwell… Votre fille souffre du syndrome d’autiste.
    Kith – C’est soignable, hein ? S’il vous plait ? !
    Médecin –allons madame, ce n’est pas grave ce qu’elle a… Elle aura juste un problème de communication et d’intégration dans la société… Ne vous inquiétez pas…

    Si les parents avaient su ne serait-ce qu’un instant ce qu’ils les attendaient avec le syndrome de l’autiste…

    ~~*~~
    Décembre. Le mois le plus merveilleux. Le plus froid aussi. La neige, blanche et pure tombe lentement sur l’Angleterre… Un vase se brise, des cris hystériques retentisse dans une maison baigné dans la magie

    Arrogance
    – CALME TOI !
    Kith - COMMENT VEUX TU QUE JE ME CALME ?! Cette gosse est… c’est pas ma fille c’est pas possible ! J’en veux pas ! J’en veux plus ! Aucun mot, aucun regard, elle est vide ! On a mis au monde une poupée Arrogance ! Une poupée tu comprends ? J’en ai marre d’elle !

    Llewellyn était dans sa chambre, elle entendait tout… La suite, elle a préféré l’oublier pour se préserver elle-même. Assise sur le rebord d’une fenêtre ouverte, elle se balance dangereusement. Sa chambre est dans le noir, il n’y a que la neige qui apporte un peu de couleur… Parfois, de légers et timides flocons osaient passer par la fenêtre. Llewellyn n’avait pas froid, non, Llew avait peur.

    Arrogance
    – Llew, écoutes-nous, on a quelque chose a te dire…

    ~~*~~

    Child – HAAAN LA GOSSE ! Regarde comme elle est sale ! Han ! Dégage la zarbi ! LA ZARBIIII !

    Llewellyn baissa la tête. Elle ne comprenait pas ce qu’elle faisait ici, elle tourna la tête a gauche, des enfants qui la regardaient avec mépris, a droite, des enfants qui la regardait avec dégoût. Mais eux, ils n’étaient pas là. Elle ne savait plus leur nom, mais alla savait qu’ils étaient chers a son cœur. Son être trembla. Sa petite robe blanche fut tachée. Un des enfants venait de lui envoyer son verre de grenadine. Elle serra la peluche contra elle. Ses cheveux furent tirés. Elle appuya inlassablement sur v+ de son baladeur. Elle ne pleurait pas, s’en moquer, c’était ce qu’elle devait faire. Elle avait son ourson, sa musique, son monde, elle s’avait elle-même, rien de plus. Ici ce n’était pas sa maison, ici ce n’était pas l’enfer. Non, c’était « Le Foyer. »

    ~~*~~

    Child – MISS BERRY ! MISS BERRY ! LLEWELLYN ELLE NOUS FAIT PEUR !
    Mrs Berry – Pourquoi, qu’est-ce qu’elle a fait ?
    Child – Elle… elle a parlé Miss ! Elle nous a menacés !
    Mrs Berry – Elle… ELLE A PARLER ? !

    La jeune éducatrice courut vers la salle de jeu. Llew y était assise, tremblante, confuse. Elle avait peur, elle était terrorisée… Un bleu était apparue sur son front, Mrs Berry s’approcha d’elle et observa la jeune fille. Ses cheveux n’étaient pas soignés, comme le reste d’ailleurs. Elle se balançait d’avant en arrière. Ses yeux fixait le vide et bougeait sans cesse…

    Mrs Berry – Hey, p’tite Llew, c’est vrai, tu parle ?

    Llew ne répondit pas. Elle n’avait pas parlé, elle n’avait pas pleuré, elle n’avait rien fait. De toute manière, les phrases de l’éducatrice tombèrent dans un néant absolu. Elle n’écoutait plus, elle était angoissée. Son baladeur crachotait une musique douce. Ses yeux fixaient un monde inconnu, elle en oublier même le bleu sur son front. Des créatures par millier, et un papillon. Un joli papillon… Pourtant, dans ce monde, elle était seule. Inlassablement seule…

    Mrs Berry – Cessez de vous moquez d’elle, et c’est quoi ce bleu, d’abord ? Les enfants, vous savez que Llewellyn est différente, il n’y a pas de raison pour se moquer d’elle, vous êtes punis !

    Mrs Berry s’eloigna, alors que les enfants, eux, se rapprochait de plus en plus de LLew, l’air méchant. Elles les avaient fait punir…

    Child – – Hey « p’tite Llew », on va te faire payer ça…

    Pourtant, l’enfant ne put toucher Murmure. Non, ses doigts se brulèrent…

    ~~*~~

    9ans. C’était un cap il paraissait. Llew avait soufflé neuf bougie, seule dans le noir. Llew ne pouvait fêter son anniversaire, non. Llew se balançait d’avant en arrière, Llewellyn serait son ours en peluche. Llew était seule, encore… Quand un jour…

    Child – Hey petite Llew ! Je te donne rendez-vous, demain à neuf heure !

    Llew écouta a peine les paroles de l’enfant, pourtant, elle s’y rendit, au lieu de rendez-vous. Llew écoutait toujours, et patientait toujours. Les enfants du foyer l’avait bien vite apprit et en avait profité. Ils s’amusaient a parier combien de temps elle allait attendre. Souvent, la nuit était déjà tombé quand un éducateur venait la chercher pour la faire rentrer. Ce jour là… C’était décembre. La neige tombé finement. Llewellyn n’était vêtue que d’une simple robe blanche. Elle s’en moquait, même si ses doigts et ses lèvres étaient bleuies, elle attendrait. Soudain, dans son champs de vision, un veste noire. Cette veste était tendu vers elle, il y avait une main blanche et un homme. Il ne la regarde pas, il fuit.

    Abysse – T’attend quelqu’un ?

    Llew fixa la veste avec incompréhension. Elle ne répond pas. Elle ne peut pas répondre. Elle ne sait pas ce qu'il veut, elle sait juste que peut être que celui qui lui a donne rendez vous viendra pas car il est là, et qu'il croira qu'elle l'a oublié... Elle acquiesce simplement d’un signe de tête. Puis un poids sur ses épaules. Un peu de chaleur.

    Abysse – Ca te dérange si j’attend avec toi ?

    Attendre avec elle ? Ca ne la dérangeait pas. Il ne semblait pas lui vouloir du mal. Il était juste un inconnu parmi tant d’autre. Il ne pourrait jamais passer ces barrières que la bulle de Llewellyn fabriquait. Elle se décale en signe d’approbation. Le manteau sur les épaules, elle ne grelotte plus, bien que ses lèvres soit toujours bleuies, elle ne comprend pas, elle regarde sa montre... Elle attendra, jusqu'a qu’il vienne, mais elle s'inquiète, qu'est-il arrivé a l'enfant... L’idée des moqueries ne lui effleure pas l'esprit, il ne lui reste plus qu’à s'enfermer dans son monde... ses étoiles, ses nuages ou elle oublierait le froid, et peut être même la personne a coté d'elle. Elle appuie sur "play"... Elle attendra jusqu'a demain, jusqu'a qu'on la sorte d'ici. Un papillon… Encore. En suivant le papillon du regard, en cherchant a l’attraper de sa main fébrile… Elle s’écroule, le sommeil la gagne. Elle n’a pas la force de lutter pour attendre. Le papillon disparait derrière un flocon. Elle tombe… Le froid la gagne... Juste, quelque minute, avant qu’il vienne…

    Abysse - Hey, debout. Faut te réveiller maintenant.

    Silence.

    Abysse – Tu t'es endormie hier, je ne voulais pas te laisser toute seule dehors.

    Llew sent une présence, ce n'est pas chez elle, ca n'a jamais était chez elle. Ce n'est pas sa chambre non plus, un visage se dresse. Un peu familier... hier soir. Alors elle a abandonné son rendez-vous ? Elle ne comprend pas. Elle observe longuement les yeux d'Ely. Elle s'est endormie et il l'a porté, tout seul ? Il ne s'est pas moqué ? Cela la réchauffe un peu. Elle aimerait sourire, mais elle n'y arrive pas encore.... A coté, un cahier, elle sait écrire, un peu, mais elle sait. "Merci..." L’adolescent ne répond pas. Une pause. Encore. Le soleil éblouie un peu les yeux noir de Llewellyn. Le lit. Elle est sur le lit du garçon. Il s’est occupé d’elle… vraiment ?

    Abysse – Je m’appelle Ely, et toi ?

    Llewellyn ne répond toujours pas. Ely. Un prénom. Quelque chose pour nommer. Elle s’en souviendra. Sauf si elle l’oubli, comme les autre…. Mais elle n’a pas envie de l’oublier. Doucement, elle écrit sur le papier, hésitante… Son nom, celui que ses parents lui on donné. Celui qu’elle n’arrive pas a oublier. Elle courbe lentement les boucle de ses « L », hésite sur la lettre « Y »… pour finalement former un mot : Llewellyn.


Dernière édition par le Dim 10 Juin - 12:47, édité 2 fois
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Llewellyn Ambre G. Atwell
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MessageSujet: Re: | Murmure |   | Murmure | EmptyDim 10 Juin - 1:11

    ~~*~~

    Un livre. Llew savait lire. Puis un visage qui se dressait entre Alice au Pays de Merveille et elle. Ely. Cela faisait deux semaines que Llewellyn suivait Ely comme son ombre. Elle était toujours derrière lui. Elle ne voulait pas le quitter, elle avait peur qu’il l’abandonne. Ainsi elle le suivait… Ely avait l’air triste, pourquoi ? Llewellyn voulait savoir. Llewellyn voulait savoir beaucoup de chose sur Ely, ses marques sur ses poignets par exemple. Pourquoi il était au foyer. Mais Llewellyn ne posait aucune question… Elle ne voulait pas le déranger…

    Abysse – Je dois m’en aller Llew.

    Silence. La peur qui s’introduit en elle

    Abysse – Dans un endroit ou je ne peu t’emmener cette fois.

    Le même silence, plus pesant. Llew a peur.

    Abysse – mais je reviendrais. Pendant les vacances, et je t’écrirais tous les jours… Puis je veux une promesse

    Il s’en allait… Il la laissait toute seule. Les enfants seraient toujours la. Ils la martyriseront toujours. Pourquoi devait-il partir, lui qui s’était introduit dans son monde sans le briser. Chasser ce papillon éphémère, elle le faisait avec lui maintenant. Pourquoi devait-il partir ? Elle ne voulait pas. Non. Elle ne comprenait pas. Et n’était pas sûre de vouloir comprendre… Elle l’interroge du regard. Une promesse ? Llewellyn peut respecter ses engagements, surtout avec lui…

    Abysse – Faut que tu comprennes que je t'aurais bien emmené avec moi tu sais. Mais je n’ai pas le choix. Faut que tu me promettes de me raconter tes rêve P’tite Llew…

    Llewellyn acquiesça timidement. Hésitante, elle se leva et le pris dans ses bras. Ses petits poings tenait fermement le T-Shirt d’Ely. Elle ne voulait pas qu’il parte… Ely quand a lui embrassa le front de Murmure avant de se détacher. Pas beaucoup, mais juste assez pour attacher quelque chose autour du cou de Llew. Une chaine. Une jolie chaine en argent, avec une plaque. « Ely. » Llewellyn pour la première sourit. Elle était heureuse… Alors, se serrant contre lui, elle l’accompagna jusqu’au portail du foyer…. Elle serait forte pour lui. Elle tiendrait jusqu’aux prochaines vacances.

    ~~*~~

    Child – Hé ! Regardez tous ! Ptite Lllew a une lettre !

    L’enfant venait d’arracher la lettre des mains de l’éducatrice. Une enveloppe au papier usé, un cacher rouge fait a la cire. « Llewellyn Ambre Gabrielle Atwell. Foyer des Camélias, chambre 3, deuxième étage ». Llewellyn était étonnée. Serait encore une de lettre d’Ely ? Comment elle était heureuse ! Effectivement, depuis ses neuf ans, elle ne voyait Ely qu’aux vacances, ainsi, ce dernier lui écrivait, et bien souvent elle lui répondait. Mais cela faisait un mois qu’elle n’avait pas eu de lettre… Elle s’approcha du gamin, qui mis la lettre sur un endroit impossible a atteindre pour Llew. Miss Berry fut gentille et lui donna.

    Murmure – *Ce n’est pas l’écriture d’Ely…. Une autre lettre ?*


  • Scolarité à Poudlard ou Autre Ecole de Magie : Elle entre en Première Année.
  • Famille : Llewellyn a décider d'oubleir sa famille lorsque sa famille l'a placé en Foyer. Ses parents étaient des sorciers travaillant au ministère. Ils l'abandonnèrent ua foyer car il ne supportaient la maladie de leur fille. Llewellyn a déjà oublié leur nom... Sa seule famille est Ely. Celui qu'elle considère comme son grand frère. Celui auquel elle tiens bien plus qu'a son monde.
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