Interdit ? Connais pas. [PV]

[ Voilà pour toi p'tite Rachel ! C'est nul mais bon... ]

William sortait d'un cachot particulièrement étouffant où se déroulait la retenue dont il avait hérité en Métamorphose en même temps que 50 points en moins et un tour chez McIllan, avec Wat' bien sûr. Yeah ! C'est la classe, nan ? Bah si c'est la classe bande de nases ! Pffff ! Vous comprenez rien de rien. Achetez "La Vie au Bahut selon les Frères Heargraves", et là vous reviendrez me voir. Mais ce livre n'existe pas... encore. Le jeune homme était condamné à récurer de bêtes chaudrons aujourd'hui, mais le plus horrible, c'est qu'il était séparé de sa moitié : le célèbre Watteau. Tout autant célèbre l'un que l'autre, 'tention, pas de jaloux. Allez... On va se changer maintenant. Malgré la gueulant de Cahill, William n'avait pas renoncé à son uniforme relooké et provocant. Abscence de pull sans manches, chemise débraillée et à moitié ouverte, cape tombante avec badge anarchique, rock, punk et grossiers, cravate qui fait du freestyle, ceinture et vans à dammier. Yeah ! Z'avez vu, c'est le deuxième "Yeah !" dans un seul et même paragraphe ! Yeah ! Pour le coup !

***

Will le rebelle de la vie était à présent changé. Ben... Yeah again ! Il avait une de ses classes ! La classe, on l'a o on l'a pas. C'est comme ça. Ben luiil l'avait pour sûr. Le t-shirt noir où était imprimé un crâne rouge (si vous regardez Rette Mich vous saurez), jeans qui descent, laissant voir un bon tiers de son caleçon noir de chez Calvin Klein (XD), un blouson de cuir noir laissé ouvert, une ceinture cloutée, de grosses baskets noires et surtout... ses grosses lunettes de soleil qui lui allaient trop bien. Bon là il les avaient sur sa tête sinon il passerait pour un con avec ses lunettes, sous la terre. Et si je me promenais ? Ja ja ! Bonne idée. On se pavanne. Bonjoir, regardez-moi, je suis le magnifique Will qui sort de son palais souterrain ! Vous avez vu ? Je suis là ! Le patron ! 'Fin bref. Il se la jouait avec ses lunettes et son joli p'tit cul. Ses déhambulations narcissiques le menèrent jusqu'au couloir ~~interdit~~. Ouais, l'est interdit d'interdir. Je suis William N. Heargraves moi. Pas un pequenot de passage.
POF !
Quelqu'un vint le bousculer, alors q'il se croyait seul au dmaine de la poussière et des araignées. Si ce n'était que ça le couloir interdit... Ben chez lui c'était pire : y'avait un monstre genre minautaure en plus ! Son père quoi. Enfin passons, quelqu'un lui rentra dedans.

Who ! Tu te crois où toi ?!

C'était une fille. Une "petite" fille qui devait avoir 17 ans, même pas. Il esquissa un petit sourire ironique.

Puarf. Ce que c’était chiant les cours… Effectivement, vous allez trouver ça bizarre, mais Rachel sortait d’un cours à ce moment précis. Lequel ? Hey, vous êtes dur avec elle là, comme si elle s’en rappelait. Faut pas abuser non plus hein.

Bref, la jeune fille sortait d’un de ses cours. Elle traînait maintenant dans Poudlard. Puis soudainement, comme d’habitude, une envie d’aller se promener du côté du couloir interdit la prit. Houlà, pas bien Rachel ça. Tsss. Interdit ? Hum. Chic. Tout ce qui était interdit, elle adorait ça. De plus, quand quelque chose lui était interdite, c’était comme un défi, il fallait qu’elle y aille. Mais quelle peste direz-vous. On s’en fiche. Ou plutôt, elle s’en fiche, mais alors là, royalement.

Tandis qu’elle entra dans ce « couloir interdit », Rachel regarda bien derrière elle pour voir si personne ne l’avait vu. Ce n’était pas aujourd’hui qu’il aurait fallut qu’elle se fasse attrapée, Serpentard avait déjà soixante-dix points de retard par rapport à la maison qui avait la première place. Ces Gryffondors… Ce n’était encore pas cette année que sa maison gagnerait la Coupe des Quatre Maison. Et merde tiens !

Quelle journée de merde tiens. En plus, elle était obligée de porter cette saloperie d’uniforme. La seule chose de bien, c’était qu’elle avait pu mettre ses grandes chaussettes rayées noir et blanc, et ses baskets basses. Sinon, les filles étaient obligées de porter des jupes plutôt courtes, ce qui ne déplaisait pas tellement aux garçons, et qui les poussaient même plutôt à la « consommation » qu’autre chose. Alors que eux, ils pouvaient porter un pantalon. Heureusement, Rachel avait pu mettre sa robe de sorcier avec l’écusson de Serpertard par-dessus le haut qu’on leur obligeait à nouveau de porter.

Mains dans les poches, la demoiselle avançait peu à peu, jusqu’à ce que quelqu’un la bouscule. Hey ! Et le pardon alors ? Roh, la politesse, y’en a qui l’avait oublié depuis quelques temps… Nan mais je vous assure, vraiment.
Pour couronner le tout, la personne, qui était un garçon qui paressait plus âgé qu’elle et plutôt pas mal, lui dit :

William – « Who ! Tu te crois où toi ?! »

Rachel, surprise par cette phrase, sortit ses mains de ses poches pour les mettre sur ses hanches, annonça, avec un air sarcastique :

Rachel – « Dans l’couloir interdit. Et toi ? »

En le regardant plus attentivement, la jeune fille se dit qu’il ressemblait à quelqu’un, mais à qui ? Oh non ! Etait-ce le deuxième jumeau Heargraves ? Ben décidemment, elle avait eu le droit de les rencontrer tous les deux… Quelle chance. Mais bon, elle s’en fichait pour l’instant, ce qu’elle voulait, c’était qu’il s’excuse de l’avoir bousculée. Qu’il soit jumeau de Watteau ou quelqu’un d’autre, elle voulait des excuses.

HS - Désolée d'avoir mit autant de temps pour te répondre.

Rachel – « Dans l’couloir interdit. Et toi ? »

Avec son petit air sarcastique et ses petites mains sur ses hanches, elle parraissait bien insolente. Mais sa phrase ne manqua pas de faire sourire Will. Bien répondu mais pas assez bien à son goût ; il y avait une faille, une faille énorme ! Attention... La machine infernale est prête à frapper. 3... 2... 1... Action !
Le jeune homme esquissa un sourire à la fois narquois, charmeur et craquant, rangea ses lunettes de soleil dans sa poche puis écarta une mèche rebelle de son beau visage avec un petit mouvemet de tête prétencieux. Il railla :

Ce que tu dis prouve que tu es une pauvre fille, comme les autres, qui crois tout ce qu'on peu lui raconter ! Cette histoire de couloir interdit, c'est un attrappe-blaireaux ! J'y vais très souvent et je peux te dire que ce couloir n'est pas plus dangereux que les Trois-Balais ! Alors, pour répondre à ta question, je suis dans un pauvre couloir pousséreux où 3 araignées de battent en duel, à côté d'un petite fille de 15 ans qui se prend pour une rebelle.

Mwahahahaha ! Que ça fait du bien de dire des méchancetés ! Surtout que, s'il avait bonne mémoire, il s'agissait de Rachel Cahill, la fifille à son prof de Métamorphose de père, celui qui l'avait condamné à récurer des chaudrons. En fait, c'était surtout le fait que c'était humiliant et qui ça défonçait ses ongles et son vernis qui le soulait. Sinon, cétait pas si terrible que ça. D'ailleurs, il inspecta ses doigts effilés et ses ongles qu'il venait de manucurer avec le plus grand soin. Il lança, toujours aussi désagréable :

Alors ? Qu'est-ce que ça fait de se retrouver lâchée dans la nature sans son petit papa ? Tu veux une sucette ? Un câlin ou un bisou peut-être ? Bon, tu les aura pas mais c'est l'attention qui compte, nan ? Tu transmettras mes saluations à ton Vater...

William lui adressa un nouveu sourire superbement insolent mais craquant. Quel sale gosse celui-là alors... Mi ange-mi démon sur tous les angles ! Physiquement d'abord, il a le genre de style qui fait peur aux grands-mères et qui les fait changer de trotoire, mais si on regarde mieux, on s'apperçoit qu'il est plutôt du genre beauté rebelle avec de magnifiques yeux chocolats, des lèvres attirantes et une peau de pêche. Moralement, il passa d'abord pour un gamin insolent, déparvé, pourrit jusqu'aux os, irrespectueux, irrécupérable, moqueur, superficiel, méchant, froid, ogueilleux et méprisant mais en fait, un fois que sa carapace est brisée, on découvre un jeune homme vulnérable, fragile et complètement paumé. Mais c'est pas évident de s'en rendre compte.
D'ailleurs, il avait envie de s'amuser encore un peu avec sa nouvelle proie.

Et sinon ? Tu t'intègre bien ou ton image de fille de prof te suit prtout ? Remarque, même moi qui suis un cas social, j'ai réussit à me creuser mon trou... Comme quoi, avec un peu de rage de vaincre, de charisme et de classe, on peut dominer le monde. Mais toi... C'est différent, nan ?

Il arqua un sourcil avec un air supérieur en attendant sa réponse.

[ Pas grave ! ^^ J'étais pas là de toute façon ! ]

Le garçon souria d’une façon plutôt chou selon Rachel, rangea ses lunettes de soleil, poussa une mèche de ses cheveux, puis il annonça :

William – « Ce que tu dis prouve que tu es une pauvre fille, comme les autres, qui crois tout ce qu'on peut lui raconter ! Cette histoire de couloir interdit, c'est un attrappe-blaireaux ! J'y vais très souvent et je peux te dire que ce couloir n'est pas plus dangereux que les Trois-Balais ! Alors, pour répondre à ta question, je suis dans un pauvre couloir poussiéreux où trois araignées de battent en duel, à côté d'un petite fille de 15 ans qui se prend pour une rebelle. »

Une pauvre fille ? Mais pour qui il se prenait lui ? Il disait que le couloir interdit était un « attrappe-blaireaux ». Oui. Selon lui, ce couloir était tout aussi dangereux que les Trois-Balais. Qu’il était dans un couloir poussiéreux avec trois araignées qui se battaient en duel à côté d’une fille qui se prenait pour une rebelle de 15ans. Quoi ? C’était elle la fille de 15ans qui se prenait pour une rebelle ? Mais il avait quoi celui-là contre elle ? La jeune femme souria de nouveau et lui répondit sans cesser de sourire :

Rachel – « Dis donc chéri, t’as quelque chose contre moi ? Déjà j’ai pas 15ans et y’a pas d’araignées qui se battent à côté de moi. Donc tu repasseras pour tes blagues à deux gallions. »

Nan mais oh quoi ! Il avait beau être mignon, elle n’allait pas être gentille avec lui pour autant. En plus qu’est-ce qu’il avait contre elle ? Est-ce que son père lui avait fait quelque chose de mal ? En fait, même si oui, elle s’en fichait bien. Il faisait ce qu’il voulait, il était adulte après tout…

Ensuite le garçon reprit, avec une voix toujours aussi désagréable. Il lui demanda qu’est-ce que sa faisait d’être « lâchée dans la nature sans son petit papa ». Roh mais, il n’avait pas été aux toilettes aujourd’hui pour lui faire des remarques comme ça ? Ce n’est pas vrai ça ! La jeune fille rigola en attendant la suite de ce qu’il venait de dire et répondit avec toujours un sourire aux lèvres :

Rachel – « Sa fait rien de spécial puisque j’ai l’habitude. Une sucette ? Nan ça ira. Un bisou ou un câlin ? Hum… J’préférerai un bisou, mais bon, vu que tu veux ni l’un ni l’autre… Oui, oui, j’lui passerai ton bonjour. J’suis sûre qu’il sera ravi, vu comment il me parle de toi et de ton jumeau… »

Ajouta-elle avec un nouveau sourire taquin. Puis comme pour l’embêter encore plus, le garçon lui demanda de nouveau :

William – « Et sinon ? Tu t'intègres bien ou ton image de fille de prof te suit partout ? Remarque, même moi qui suis un cas social, j'ai réussit à me creuser mon trou… Comme quoi, avec un peu de rage de vaincre, de charisme et de classe, on peut dominer le monde. Mais toi… C'est différent, nan ? »

Rachel – « T’en fais pas pour moi chéri. A vrai dire, les gens s’en fichent pas mal que je sois la fille du prof de Métamorphoses ou d’un quelconque sorcier. Oui, bon abuse pas non plus hein. Moi aussi j’arrive à creuser mon trou. Et avec autant de classe, de charisme et de rage pour vaincre que toi. Voir même plus. »

La jeune femme le regarda avec le même regard qu’il venait de lui lancer. Là s’il croyait qu’elle allait avoir peur de lui parce qu’il se la pétait… Il se foutait le doigt dans l’œil. Sa l’attirait plus vers les gens qu’autre chose. Bizarre comme fille, non ? Et bien, c’était Rachel, rien de plus.

Rachel – « Dis donc chéri, t’as quelque chose contre moi ? Déjà j’ai pas 15 ans et y’a pas d’araignées qui se battent à côté de moi. Donc tu repasseras pour tes blagues à deux gallions. »

William essaya de se retenir d'éclater de rire. 1... 2... 3... 4... Et voilà, il avait tenu que 4 secondes : il explosa de rire. Un joli rire franc, clair, qui aurait pu être vraiment agréable s'il n'était pas si moqueur.Mais joli quand même. Il articula à grand peine, s'appuyant contre le mur pour ne pas tomber :

Tu me fais trop rire ! Le mot "araignée" prend dans ta bouche une signification à mourir de rire ! D'ailleurs, j'aime bien ta façon de parler ! Et d'abord, les deux gallions je les aient pas alos mes blagues valent bien moi que ça ! Je dirais trois noises...

Le jeune homme commençait finallement par bien l'aimer. Bon, okay, elle était chiante mais elle avait du répondant.

Rachel – « Sa fait rien de spécial puisque j’ai l’habitude. Une sucette ? Nan ça ira. Un bisou ou un câlin ? Hum… J’préférerai un bisou, mais bon, vu que tu veux ni l’un ni l’autre… Oui, oui, j’lui passerai ton bonjour. J’suis sûre qu’il sera ravi, vu comment il me parle de toi et de ton jumeau… »

Hum... ça pouvait se négocier. Plus tard peut-être...

Ok, danke. On est des stars, pas notre faute...

Il lui fit un clin d'oeil provoquant. La jeune fille répliqua :

Rachel – « T’en fais pas pour moi chéri. A vrai dire, les gens s’en fichent pas mal que je sois la fille du prof de Métamorphoses ou d’un quelconque sorcier. Oui, bon abuse pas non plus hein. Moi aussi j’arrive à creuser mon trou. Et avec autant de classe, de charisme et de rage pour vaincre que toi. Voir même plus. »

Tant mieux pour toi. Mais le fait que tu puisse avoir plus de force que mi c'est dans les légendes chérie... Il ne faut pascroire tout ce qu'on li dans la Gazatte tu sais... C'est des baratineurs ! Das ist unverschämt ! Achtung !

Rachel lui rendit son regard ironique et moqueur. Bon allez... William s'éclaircie la gorge et sapprocha d'elle. Il assa un bars autour de son épaule et déclara avec un ton faussement solanel :

Ecoute bien petite... Ce que je vais faire maintenant arrivera une seule et unique fois. Je le fait parce-que t'es jolie et que tu réplique bien. Profite bien parce-que c'est la première et dernière fois.

Will la lâcha et se planta en face d'elle. Il passa ses main autour de sa nuque, se pencha et l'embrassa fougueusement de ses lèvres chaudes et sucrées. Trois secondes s'écoulèrent ainsi, parraissant durer des heures. Après tout, c'était le métier de William d'embrasser les gens, voire plus. Le jeune homme se détacha en souriant et s'en alla virvolter à quelques pas.

Voilà ! Qu'est-ce que ça t'as fait chérie ? Surtout, ne prend pas ça comme une invitation à sortir...

Il avait l'air de bien s'amuser lui, en tout cas.

Le jeune homme éclata de rire. D’un rire franc, il était même moqueur. Tellement il rigolait, il s’appuya contre le mur. Mais oui… Pourquoi rigolait-il déjà ? Il lui annonça, répondant par la même occasion à sa question :

William – « Tu me fais trop rire ! Le mot "araignée" prend dans ta bouche une signification à mourir de rire ! D'ailleurs, j'aime bien ta façon de parler ! Et d'abord, les deux gallions je les aient pas alors mes blagues valent bien moins que ça ! Je dirais trois noises… »

Ah, c’était donc d’elle qu’il rigolait ? Super. Pour une fois, Rachel ne répondit pas, elle ne voyait pas quoi dire, pour une fois. Ce que c’était bête… Mais sa lui arrivait. Elle n’avait pas envie de s’attarder sur le sujet des blagues de merde du Serpantard. Sa ne servirai à rien. Et pour une fois qu’elle ne voulait pas continuer…

Le garçon annonça ensuite qu’ils étaient des stars lui et son frère. Ouais bon hein. Elle eu un sourire. Ca va, ils chantaient bien, mais bon il ne fallait pas qu’il se la pète non plus. Et elle n’allait sûrement pas se mettre à ses pieds. Faut pas espérer non plus. Après avoir dit cela, il lui fit un clin d’œil. Roh mais dis donc, il n’avait pas fini oui, son frère et lui n’étaient pas jumeaux pour rien, ils lui avaient fait tous les deux des clins d’œil. Il avait beau être mignon, c’était pas pour ça qu’il pouvait lui faire des clins d’œil à tout va.

William lui répondit quand elle lui expliqua que les gens se fichaient qu’elle soit la fille d’un prof ou d’un sorcier :

William – « Tant mieux pour toi. Mais le fait que tu puisses avoir plus de force que moi c'est dans les légendes chérie… Il ne faut pas croire tout ce qu'on li dans la Gazatte tu sais… C'est des baratineurs ! Das ist unverschämt ! Achtung ! »

Rachel – « Tssss. Pourquoi je n’aurais pas plus de force que toi ? Qu’est-ce que la Gazette fou la d’dans ? Que ce soit des baratineurs ou non, je m’en fiche. »

Lui répondit-elle. Ensuite le jumeau s’approcha d’elle. Wow. Qu’est-ce qu’il allait encore faire ? Le garçon passa son bras autour de son épaule droite et lui dit que ce qu’il allait lui faire n’arriverait qu’une seule fois. Hey ! Qu’est-ce qu’il avait l’intention de faire là… ? Il ajouta que c’était bien parce qu’elle était jolie et qu’elle répondait bien qu’il le ferait. Le garçon lui précisa bien qu’elle devait bien en profiter car ce serait la première et la dernière fois qu’il le ferait. Oui, mais quoi ? Rachel fronça les sourcils. Dans quoi est-ce qu’elle c’était encore mise ? Qu’est-ce qu’il allait lui faire avec son bras autour de ses épaules ? La jeune femme voulu se dégager et contester mais avant même qu’elle ne réussisse, William la lâcha, se mit face à elle. Elle eu un soupir de soulagement. Ouf, il l’avait enfin lâché. Sauf qu’ensuite il posa ses mains froides sur la nuque de la jeune femme. Puis il l’embrassa pendant quelques secondes.

Quand il se recula, la jeune femme le regarda sarcastiquement. Il lui demanda ce que sa lui avait fait. Punaise, il avait les mains trop froides ! Rachel passa une des siennes, plus chaud à la place où il les avait mises. Un sourire. Oui, un sourire se dessina sur les lèvres de la demoiselle Cahill. Elle répondit :

Rachel – « Et bien quoi ? Tu n’as pas pu résister à l’envie de m’embrasser, c’est tout. On va en parler une heure, nan ? »

Mais quelle peste, vous ne trouvez pas ? En tout cas, ils étaient deux à s’amuser…

HS - Pas super, tu m'excuseras.

Rachel – « Tssss. Pourquoi je n’aurais pas plus de force que toi ? Qu’est-ce que la Gazette fou la d’dans ? Que ce soit des baratineurs ou non, je m’en fiche. »

Engel - « Laisse-tomber, petite... »

Il haussa les épaules en secouant lentement la tête de droite à gauche. Théoriquement, elle était plus âgée que lui vu qu'elle était en 7ème année, seulement de quelques mois, certes, car lui aussi avait 17 ans depuis Février, mais plus âgée quand même. Mais Will avait toujours été orgueilleux, nombriliste et vaniteux. Déjà parce-que c'étaient des critères purement "Heargraviens", ensuite parce-qu'ils faisaient partie de sa carapace et enfin parce-qu'il avait toujours été traité comme une sous-merde et que ça faisait du bien de se donner un peu de lustre et d'importance. En vérité, tout chez William - même s'il donnait l'impression d'être l'Insouciance même avec un I majuscule - était soigneusement calculé. De son look manga-rock-punk extravagant à son attitude méprisante et exécrable en passant par ses moues caractéristiques et ses sourires freedents assortis à ses yeux de feu, tout était fait pour attirer l'attention. Depuis tout petit - à environ 3 ou 4 ans - le petit Heargraves ne cessait de faire l'intéressant pour qu'on fasse attention à lui. Son père l'avait bien comprit et, par conséquent, détruisait les efforts de son jeune fils en l'ignorant royalement. Tout ce qu'il faisait, tout ce qu'il disait, était fait dans le but de se faire remarquer. Houhou ! Regardez-moi ! Je prends des emphet' et c'est marrant ! Hého ! Je me taillades les veines ! Woho ! Je me pique et je suis complètement défoncé ! Hey ! Je me prostitues parce-que j'ai pas un rond ! S'vous plaît, donnez-moi un peu de fric pour que je puisse m'acheter de l'alcool et que je puisse être bourré à en creuver ! Hé ! J'ai une question : ça fait quel effet d'être pété de tunes et d'être entouré d'amour ? Nan, j'demande ça parce-que je sais pas ce que ça fait... Dites, vous vous sentez bien dans vos jolies et grandes maisons chauffées avec l'eau courrante ? Est-ce que ça fait planer ? Dans ce cas je veux bien essayer ! Ah, je peux pas ? Pourquoi ? Ah oui, évidemment, j'avais oublié : je suis un moins que rien, un bâtard errant... C'est la desh, non ? Ben oui, je vous le fait pas dire.

« Dis Watteau... Qu'est-ce que tu ferais si je te disais que je voulais mourir ? »

Will embrassa Rachel. Ouais ! Vous avez bien lu. Un baiser dénué de sentiments, mais un baiser suand même. En fait, l'amour faisait peur au jeune homme, il le fuyait presque. Après tout, l'être humain à peur de l'inconnu, non ? Une fille en délire qui le poursuivait ? Iiirk ! Au secours ! Je suis perdu, je sais pas quoi faire ! Va t'en ! Maman, j'ai peur... Ah Maman... Tu m'entends de là où t'es ? Ou t'es juste muette, sous 5 mètres de terre ? Je sais pas et je ne le saurais sans doute jamais.

Le jeune homme regarda son "jouet" éphémère. Elle souriait.

Rachel – « Et bien quoi ? Tu n’as pas pu résister à l’envie de m’embrasser, c’est tout. On va en parler une heure, nan ? »

Engel - « Hmm... On ne peux pas dire ça comme ça. Disons plutôt que j'avais envie de jouer un peu. Et oui, on va pas en parler une heure. Parlons plutôt de... hum... de ta vie. C'est bien ? »

Drôle de question. Il n'y avait que lui pour en trouver des comme ça.

Engel - « Laisse tomber, petite... »

Petite ? Mais comment osait-il ? Il aurait pu au moins la respecter un minimum, elle qui était en septième année et lui en sixième, mais nan. Peut-être qu’il se sentait « puissant » car il avait maintenant 17ans avec son jumeaux. Enfin, c’est ce qu’elle avait entendu au cours d’une discussion. Et puis, on aurait pu dire que Rachel était la Gossip Girl n°2 sachant qu’elle savait tout sur tout. Comment cela se faisait d’ailleurs ? Elle n’était pas « amie » avec les autres filles de Serpentard et c’était pourtant avec elles qu’elle apprenait tout sur les autres élèves de Poudlard.

Faisait-elle peur aux autres ? Apparemment pas à ce spécimen qu’elle avait en face d’elle. La jeune femme ne lui faisait pas peur puisqu’il l’avait même embrassé. Wow, sa fait bizarre à écrire. Mais oui, ce truc l’avait embrassé alors qu’ils ne se connaissaient même pas à par qu’ils étaient tous les deux dans la même maison, Serpentard. Même si sa pouvait en choquer plus d’un, Rachel ne l’était pas, et son embrasseur non plus apparemment. Mais pourquoi avoir fait ça ? Ca ne servait à pas grand-chose.

Le jumeau lui annonça qu’on ne pouvait pas dire ça comme ça quand elle dit qu’il n’avait pas pu résister à l’envie de l’embrasser. Qu’il avait envie de jouer, et que oui, ils n’allaient pas en parler une heure. Un nouveau sourire se dessina sur les lèvres de la Serpentard. Elle avait maintenant une idée. Il avait dit qu’il avait envie de jouer ? Et bien ils seraient deux désormais. La jeune femme se rapprocha de son camarade l’attrapa doucement en passant ses bras autour la taille de celui-ci. Pour ensuite l’embrasser à son tour. Et oui, quand on s’amusait avec elle, Rachel s’amusait aussi avec eux. Et puis, pourquoi ne pas en profiter ? Pour une fois ce n’était pas elle qui avait commencé…

La jeune femme se poussa ensuite avec un sourire, toujours sadique. Puis elle se rappela que le garçon lui avait demandé de parler de sa vie. Que dire… ? Ne sachant quoi répondre de vraiment intéressant, elle dit :

Rachel – « Oui, ma foi, c’est bien. Et la tienne ? »

Effectivement, c’était une drôle de question, mais elle y avait répondu. Bon, il fallait avouer que sa réponse n’était pas non plus très intéressante mais bon hein… Faut dire qu’elle était encore sur le bisou qu’elle venait de lui faire. Non, elle même n’en revenait pas. Comment avait-elle pu faire ça ? Elle était vraiment imprévisible… Elle décidait tout toujours sur un coup de tête. Des fois elle faisait même des erreurs. Mais bon, elle était jeune, il fallait bien s’amuser un peu hein. Et puis, peut-être que sur un « mal entendu » cela irait plus loin ? A voir… Bien que William ne lui paraisse pas le genre de garçons qui aimait se lancer dans une relation sérieuse… Et puis, en était-elle capable aussi ? Ah ah. « Tu te poses trop de questions ma petite. » C’était ce que son père lui avait toujours sortit lorsqu’elle lui posait des questions auxquelles il ne voulait point répondre, comme par exemple au sujet de sa mère. Depuis que celle-ci les avait quittés, Rachel ne savait toujours pas pourquoi et comment. D’ailleurs, pourquoi est-ce que son père lui avait caché ça ? Est-ce qu’il avait des choses à se reprocher ? Est-ce que c’était de sa faute ? Etait-elle partit d’elle même ? « Tu te poses trop de questions ma petite. » D’accord, nous résoudrons ce problème plus tard. Tout du moins pas en présence de ce Serpentard qui n’avait pas l’air de ce prendre pour une merde. La jeune femme se demandait comment allait-il réagir au baiser qu’elle venait de lui faire… Tant qu’il ne réagissait pas mal, c’était déjà ça. Il avait l’air assez impulsif tout de même.

HS - Encore pas top.

Tandis que William examinait ses ongles vernis et manucurés - Oui parce-que Will et ses ongles c'est toute une histoire. <3 Il met 30 minutes environ toutes les semaines pour que tout soir parfait - Rachel s'approcha de lui et l'attappa doucement par la taille en l'entourant de ses bras. Euh... C'était dans le programme ça ? William la regarda avec intérêt, avide de savoir la suite. La suite en question ne tarda pas à arriver : la jeune fille se hissa légèrement sur la pointe des pieds et l'embrassa à son tour. Elle le regarda avec un petit air sadique - Pourquoi sadique d'ailleurs ? - et répondit :

Rachel – « Oui, ma foi, c’est bien. Et la tienne ? »

Hum... Voyons voir... La violence. La haine. La drogue. Le sexe. La prositution. Les bagarres. Le sang. La douleur. La colère. La décadence. Le chaos. La souffrance. Voilà à quoi se résumait à peu près son vie. Vie de merde. Si on peut appeler ça une vie...
Enfant Battu. Enfant de l'Oubli. Enfant de la Mort. Enfant du Chaos. Enfant Fangeux.
J'aimerais être un ange... Un ange de l'Enfer. Ein Engel Der Hölle. An Evil & Vicious Engel.
A 6 ans, les amphétamines m'ont pris dans les rangs de leurs sinistres disciples. A 8, j'étais déjà incapable de vivre sans et je savais pertinament que j'étais fouttu. Les bleus et autres plaies qui recouvraient mon corps étaient des signes évident de mauvais traitements, de douleurs... J'étais né pour être le genre d'individus que l'on évite : les gens à problèmes. Ces gens là, quoiqu'ils fassent, quoiqu'ils disent, ça leur retombent toujours sur la gueule. A 9 ans, je me suis fait viré de l'école... On disait, en plus de me droguer, que je me prostituais ! C'est un odieux mensonge ! J'ai juste embrassé pour de l'argent ! Mais c'est quand même un sorte de prostitution... ? Non ? Oui ? Je ne sais pas... Je ne sais plus... Ma tête est vide. Je me suis enfuie de chez moi avec Watteau. J'ai fais une fugue vers la liberté. Je suis entré à Poudlard ! Whaaa ! C'est géant ici ! C'est bien mieux que Là-Bas... Chez Lui. Mai il me retrouva, moi et Watteau. Lâche-moi ! Tu me fais mal ! Noir. De nouveau, ma vie part en morceaux... Lambeaux de douleur. Au secours... Aide-moi...

William esquissa un faible sourire :

Engel - « Disons que ma vie est originale... »

Rachel le tenait toujours pas la taille. Il était bien là... Peinard dans les bras d'une fille. La vie est belle.

HJ - Nulissime ! ><

Avant qu’elle l’embrasse, il se regardait les ongles et c’est à ce moment là qu’elle remarqua qu’il s’était fait une manucure. Wow. Même elle n’avait pas le temps de s’en faire… En même temps, pourquoi était-elle surprise de la voir avec du vernis à ongle noir, hein franchement ? Rachel aurait du s’en douter. Le garçon avait bien le style rockeur pour porter du vernis. Et puis, sa lui allait pas trop mal en fait…

Tandis qu’elle lui avait demandé comment était sa vie à lui, il avait l’air de réfléchir. Merde alors. Il n’avait pas réagi au baiser qu’elle venait lui faire… C’était beaucoup moins marrant d’un coup. Punaise, pour une fois que quelqu’un ne jouait pas son jeu. C’était limite si elle n’était pas vexée là. Alors pour voir s’il ne réagissait vraiment pas, Rachel se mit à lui faire des petits bisous dans le coup. Bon, là il allait dire quelque chose nan ? Non. Il se contenta juste de lui répondre à la question qu’elle lui avait retournée.

Engel - « Disons que ma vie est originale… »

La jeune femme souria à elle-même. Elle s’avait qu’il avait une vie originale. Enfin, c’était prévisible. Il avait formé un groupe avec son jumeau et d’autres Serpentards. Il était adulé dans Poudlard, alors oui, il avait une vie originale. Et puis il ne chantait pas trop mal… Enfin bref. Rachel s’arrêta dans sa séance de baisers dans le coup du garçon puisque celui-ci ne réagissait pas plus que ça. A quoi bon se fatiguer ? Elle lui annonça ensuite, relevant la tête pour regarder William dans les yeux :

Rachel – « C’est sûr que si t’arrêtais de faire le con aux cours de mon père avec ton frère, ta vie serai beaucoup moins originale… »

Sourire sarcastique. Bah oui, s’ils arrêtaient leurs blagues à la con, déjà Serpantard ne serai pas dernière de chez dernière à la Coupe des Quatre Maisons. Alors elle reprit :

Rachel – « Et on serai pas à moins vingt-cinq points. Mais bon, vous en avez certainement rien à foutre, n’est-ce pas ? »

Nan mais vraiment, pour une fois, est-ce que Serpentard pourrait gagner la Coupe ? Sa serait sympa, nan ? Bref, elle attendait une quelconque réponse de la part de son camarade le Serpentard. D’ailleurs, elle avait toujours ses bras autour de sa taille à lui. Et sa n’avait pas l’air de le déranger plus que ça.

Rachel lui faisait de doux baisés dans le cou. C'était bien. Mais William avait l'habitude des baisés, qu'ils soient doux, passionnés, langoureux ou tendres. L'été, c'était son métier, si on peut appeler ça un métier ! Franchement, les jeunes d'aujourd'hui. Jeunesse décadente ! Ils ont plus aucune valeur ! On braque les petites vieilles, on brûle les voitures de citoyens respectables, on attaque la police, on vole les magasins, on s'entre-tue, on se drogue, on se prostitue ! Ce n'est plus possible à la fin ! Ceci était un message du commité des parents d'élève de l'école primaire de Belham, Londres.
Enfin bref, le commité vous le mettez dans [...] ! Dans ses crochets, mettez la partie du corps que vous désirez.

Willam déclara que sa vie était originale. Une vérité, sans toutefois raconter sa vie. Rachel sourit, plus pour elle-même que pour lui. Puis, la jeune fille, lassée, arrêta de l'embrasser, agacée par sa réaction qui ne venait pas. Elle releva la tête, chercha son regard et déclara :

Rachel – « C’est sûr que si t’arrêtais de faire le con aux cours de mon père avec ton frère, ta vie serai beaucoup moins originale… »

Sourire freedent. le visage du jeune homme s'illumina, comme si on lui avit rappelé un glorieux souvenir.

Engel - « Clair ! On s'ferait trop chier ! J'adore déconner en cours ! C'est trop bien ! Le plus drôle, c'est la gueule qu'ils tirent ou quand ils s'énervent tous seuls ! »

Il se mit à imiter un prof furieux, les mains sur les hanches avec une voix haute perchée :

Engel - « Heargraves ! C'est quoi cette tenue ! Non seulement vos êtes habillé d'une façon douteuse mais en plus vous dormez sur la table ?! J'ai accepté vos sarcasmes tout àl'heure pour vous donnez une chance de réussir mas vous n'avez pas l'air de comprendre ! Vous saisissez que c'est votre avenir qui est en jeux ! Oh ! Heargraves ! Ecoutez-moi petit freluquet hirsute ! »

Le jeune junky éclata de rire avant d'ajouter :

Engel - « Sérieux ! je trouve ça trop drôle ! »

Seulement, quand il se retrouvera vraiment largué, il pourra pas se plaindre. Rachel reprit sur un ton de reproches :

Rachel – « Et on serai pas à moins vingt-cinq points. Mais bon, vous en avez certainement rien à foutre, n’est-ce pas ? »

William fit un geste peu catholique et répondit, l'air ravi :

Engel - « Rien à fouttre ! Leur coupe, ils peuvent se la mettre là où je pense, voilà ! De toute façon, c'est source de rivalité ces points à la con. Et c'est pas ça qui va m'empêcher de dormir, crois-moi ! »

Il ébouriffa les cheveux de la jeune fille en émétant de petit sons joyeux et moqueurs.

Quand elle lui annonça que si jamais il arrêtait de jouer au con avec son frère dans les cours de son père sa vie serait beaucoup moins « originale » comme il l’avait si bien dit, son visage s’illumina, et il lui répondit du tac au tac :

Engel - « Clair ! On s'ferait trop chier ! J'adore déconner en cours ! C'est trop bien ! Le plus drôle, c'est la gueule qu'ils tirent ou quand ils s'énervent tous seuls ! »

Ouais, ben ils s’énerveraient peut-être un peu moins, si les deux jumeaux arrêtaient leurs conneries ? Bref. Ensuite William commença à imiter un prof qui s’énervait. Tout ce qu’elle espérait, c’était qu’il ne mimait pas son père quand il disait :

Engel - « Heargraves ! C'est quoi cette tenue ! Non seulement vos êtes habillé d'une façon douteuse mais en plus vous dormez sur la table ?! J'ai accepté vos sarcasmes tout à l'heure pour vous donnez une chance de réussir mais vous n'avez pas l'air de comprendre ! Vous saisissez que c'est votre avenir qui est en jeux ! Oh ! Heargraves ! Ecoutez-moi petit freluquet hirsute ! »

Puis il éclata de rire en ajoutant qu’il trouvait ça vraiment drôle. C’était avec un regard glacial que la jeune femme le regarda.

Rachel – « J’espère seulement pour tes petites fesses de Rock Star que c’est pas mon père que tu imites là… »

Siffla-t-elle. Mais pour est-ce qu’il se prenait, vraiment ? Impossible ça. William lui répondit ensuite avec un geste qu’elle n’appréciait pas spécialement, que effectivement, il en n’avait rien à foutre de la Coup de Quatre Maisons. Et qu’ils pouvaient se la mettre là il pensait. Charmant. Il ajouta que c’était une source de rivalité et que sa ne l’empêcherai pas de dormir. Hum… Oui et alors ? Elle si elle la voulait la Coupe, sa le ferait chier de faire un effort minime ? Comme pour l’embêter encore plus, il se mit à ébouriffer les cheveux. Grrrr… La jeune femme en échange mit ses mains sous le t-shirt du Serpentard pour ensuite le chatouiller. « Espérons qu’il craint les chatouilles », se dit-elle. Si jamais un élève passait par ici, ce qui était tout de même peu probable, celui-ci les aurait cru en couple. Ah ah. Rachel et Will, vous imaginez le tableau ? Sa donne des frissons dans le dos tout ça !