Samedi matin [ Pv Seiko]

Son réveil biologique avait réveiller très tôt se matin là la jeune Calaïs. Elle était rester plusieurs heures durant dans son lit chaud de la nuit passait. Un édredon de velours était a ses pieds et elle entourait de ses bras ses genoux.
Puis peu avant l’heure habituel du levé la jeune femme s’extirpa de son lit.
Ne voulant pas monter jusqu’à la salle de bain des préfets, elle s’était précipitée dans une des douches de la salle de bain des jeunes filles de poufsouffle. Elle avait refermé soigneusement la porte sur sa douche puis s’était avec douceur déshabillé. Elle avait mit de l’eau chaude pour commencer sa douche, si chaude qu’elle la brûlait presque et que sa peau en devenait rouge écarlate. Elle resta un petit moment comme ceci, la tête en l’air et l’eau lui brûlant le visage. Les cicatrices qui ornaient sa poitrine et son ventre était toujours présente et au contact de l’eau brûlante semblaient se ravive. Calaïs ferma les yeux puis serra les dents. Elle posa une main ferme sur le robinet d’arrivé d’eau et le poussa d’un geste a l’extrême. L’eau passa alors du brûlant au glacé. La jeune préfete eu un haut le cœur en sentant cette eau lui transpercé le corps. Elle se serait cru en train de nager dans un mer de glace et cette sensation lui permettait de respirer cas la condition de dépensé une source incroyable d’énergie. Ses cicatrices ne lui faisait plus mal mais la jeune femme passa son avant bras devant son front et s’appuya ainsi contre le carrelage froid de la douche. L’eau glacée lui tombait sur la nuque et on pouvait entendre la respiration forte de la jeune française. Soudain elle entendit des voix de l’autre coté de la salle de bain. Apparemment les autres filles du dortoir s’était levées. Elle profita de cet ultime instant de solitude puis ferma l’eau.
Quelques minutes après elle ressortit de sa douche. Elle était vêtue de manière moldue mais comme c’était les vacances elle pouvait se le permette et puis aujourd’hui elle allait voir Seiko. Elle avait un baggi noir et un débardeur couleur bleu ciel. Elle aimait bien se genre pour aller voir Seiko. Il ne l’avait pas encore vu dans cette tenue et en plus elle s’était fait coupé les cheveux. Elle n’avait plus de longs cheveux ébène mais un carré décalé avec des mèches et contre son gré elle avait trois larges cicatrices qui occupé son torse; mais cela personne ne le savait!
Elle se maquilla puis descendis a la salle a manger. Elle mangea quelques fruits puis elle sortit calmement.
La matinée se passa comme ceci avec calme et sereinement. Calaïs prit un déjeuner plutôt faible et puis alla a l’endroit du rendez-vous fixé par Seiko.
Ce lieu de rendez-vous avait été fixé a l’entrée du village de Pré-Au-Lard. Elle trouva une grosse pierre et s’empressa d’aller s’installer dessus en attendant l’arrivée du préfet de serpentard.

Seiko passa cette nuit sous le signe de l'insomnie. L'orage qui n'avait cessé d'éclater durant la nuit avaient empecher le jeune homme de s'endormir. Déjà qu'il avait du mal à dormir en temps normal il fallait que la nature fasse des caprices la veille de la sortie de Pré au Lard. Décidemment le jeune coréen n'avait pas de chance, ou bien alors le sort s'acharnait contre lui avec un plaisir sadique qui sait. Seiko jeta un bref coup d'oeil à sa montre. 6h00... C'est pas maintenant qu'il se rendormira alors autant se lever et aller se préparer avant que tout le monde ne se reveille.
Essayant de se faire le plus discret possible, le jeune Serpentard s'extirpa de ses couvertures sans bruit et se dirigea ensuite vers la commode situé à côté de son lit où était rangé toutes ses affaires personnelles. Il y prit se dont il avait besoin pour aujourd'hui et alla en direction de la salle de bain des préfet mais il manqua de trebucher à cause d'une paire de chaussure qui se trouvait en vrac sur le sol. A première vue celle ci appartenaient au mec de 7eme année qui partageait la chambre avec lui. Seiko jura à voix basse puis sortit en hâte du dortoir.

Une fois arrivé à la salle de bain des préfets, Seiko posa ses affaires délicatement sur un meuble prevu à cet effet puis fit couler de l'eau chaude dans l'immense baignoire dans laquelle s'ajouta quelques produits au milles couleurs et aux milles senteurs. Tandis que l'eau coulait à toute vitesse dans celle ci, le jeune homme se deshabilla après avor fermé à clé la porte de la salle de bain histoire de ne pas être dérangé, ce qui était peu probable à cette heure ci mais bon sait on jamais ce qui peut se prévoir... Seiko se delassa paisiblement dans l'eau, qui était par ailleurs à une température parfaite selon lui,pendant une dizaine de minutes qui parurent une éternité, une éternité pour le moins délicieuse.
Après avoir pris soin de faire couler l'eau du bain, le Serpentard se vetit d'un jean extrémement large déchiré à plusieurs endroits qui tenait à sa taille à l'aide d'une ceinture. Il enfila ensuite un tee shirt noir sur lequel figuré un pentacle de couleur rouge sang. Pour finir il mit du désordre dans ses cheveux blonds puis il se rendit à la grande salle où il mangea seulement un toast avec de la confiture de fraise dessus.

Après avoir informé les élèves de sa maison sur la façon dont allait se dérouler la sortie à Pré au Lard, le jeune homme les laissa se débrouiller puis se dirigea à l'entré du village où devait surement l'attendre Calaïs. Un délicieux sourire prit forme sur ses fines lèvres lorsqu'il l'apperçu non loin devant lui. Apparement elle avait coupé ses cheveux se qui la rendait absolument magnifique. Une fois arrivé devant elle, il l'embrassa amoureusement tout en l'enlaçant de ses bras.

"Tu m'as beaucoup manqué Calaïs depuis la dernière fois qu'on s'est vu. Alors comment vas tu princesse ?" lui demanda t'il tout en lui souriant.

Un léger vent venait de se lever sur Pré-au-Lard. Les cheveux de la jeune française voleté avec une grande finesse. Plus le temps passait plus son excitations augmentait et plus ses jambes sautillaient avec entrain. Voilà déjà un bon moment qu’elle n’avait plus vu Seiko et pourtant elle n’avait cesser de penser a lui.
Soudain lorsqu’elle le vit au loin, elle sauta de son petit rocher et se posa droite en arborant un magnifique sourire.
Quelques instants après le beau Slytherin l’avait embrassé avec amour puis avait prit la parole:

"Tu m'as beaucoup manqué Calaïs depuis la dernière fois qu'on s'est vu. Alors comment vas tu princesse ?"

La jeune femme qui avait a présent le goût des lèvres de Seiko sur la bouche lui souria avec intensité. Elle ne répondit pas tout de suite et se contenta de plongeait ses yeux azurs dans le regard émeraude du bel asiatique. Elle aimait tellement sentir leurs regards s’entremêlaient qu’elle ne pu s’empêcher de redoubler son sourire. Enfin la poufsouffle se décida a lui répondre avec une voix douce :

« A moi aussi tu m’a manqué! Je vais très bien, surtout quand je suis avec toi! »

Elle ne pu retenir de se lancer a corps perdus dans un langoureux baiser. Un baiser qui dura quelques instants pendant lequel elle ne mit ses mains sur son torse. Calaïs se sentait comme une reine dans ses bras et cela lui faisait si plaisir. A leurs cotés, des élèves qui passaient rigolés comme des bossus mais les amoureux ne firent pas attention a ses petites railleries. Enfin elle reprit toujours dans le même ton:

« Et toi alors comment ça va? Quoi de neuf depuis la dernière fois? »

Puis elle lui tendit la main et commença a faire un pas en direction du centre du village. Cette main était une invitation a la suivre. Son sourire ne s’effaça pas, et un sentiment indescriptible l’envahie avec une puissance grandiose. L’amour qui brûlait en un feu torride venait d’être rallumé par sa présence. Le manque qu’elle avait éprouvée les derniers jours s’étaient enfuis en sentant les lèvres du beau coréen.

Le jeune répondit au doux et merveilleux regard de la jeune femme avec un délicieux sourire au coin des lèvres. C'était l'un de ses sourires rares que quiconque n'avait eu le plaisir de voir. Avant d'avoir rencontrer Calaïs, le jeune homme avait toujours erré seul loin des autres, avec un sentiment de solitude profond, la déprime le suivant toujours. Mais aujourd'hui, lorsque celui ci n'était pas avec la personne qui aimait le plus au monde, celui ci ne se sentait pas bien, c'était comme son âme l'avait quitté le laissant ainsi seul, vulnérable au monde qui l'entourait.

« A moi aussi tu m’a manqué! Je vais très bien, surtout quand je suis avec toi! »

"Ah me voila rassuré !" répondit il vivement, un petit sourire amusé au coin des lèvres.

Pris par surprise, le jeune reçu un baiser de Calaïs, et un baiser hors du commun. Il s'agissait la d'un baiser langoureux, emplit d'un amour sincère et passionné à son encontre. Il n'existait pas plus belle preuve d'amour que celle ci selon lui. Seiko passa ses bras autour de sa fine taille, et souleva la jeune Poufsouffle du sol. Tandis que ses lèvres goutaient celle de sa princesse, Seiko tourna sur lui même, Calaïs toujours dans ses bras. Une fois qu'il reposa la jeune préféte, celui ci ne put s'empecher de réprimender un sourire discret.

"Je n'ai jamais été aussi bien qu'aujourd'hui pour tout te dire." lui répondit il tout en caressant l'une de ses petites joues. "Hum pour moi rien de vraiment nouveau mis à part que j'ai été accepté dans l'équipe de quidditch de Serpentard au poste de batteur." annonca t'il fièrement. "Et toi ?"

Voyant que celle ci s'avanca en direction du village, le jeune homme accepta son invitation en attrapant la mais qu'elle lui tendit avec douceur puis se laissa guider aveuglement. Elle était tout pour lui, ses yeux, son coeur, son âme, son oxygène, sa raison de vivre...

"Où avais vous l'intention de m'emmener mademoiselle ?" lui demanda t'il en rigolant.

[ Merci d’avoir répondu ^^ Et t’inquiète pas je comprend tout a fait ^^ ]

La jeune femme pétillait de joie et se sentait comme transportés.
Lorsqu’elle abandonna ses lèvres a Seiko se dernier la souleva avec force mais avec une tendresse indéfinissable qui la fit frissonner. Le préfet la soulevait tout comme son amour lui donnait des ailes et ce sentiment si singulier qui habitait la jeune poufsouffle ne pouvait que la faire sourire et lui faire aimer la vie.
Elle toucha de nouveau terre avec délicatesse et elle resta tout de même dans ses bras et lui reprit la parole:

"Je n'ai jamais été aussi bien qu'aujourd'hui pour tout te dire."

Tout ce dire cela avait été la devise de la jeune femme dés le premier jour, la sincérité avait toujours été établie entre eux et Calaïs s’en félicitait. Son sourire ne faiblissait pas et ses yeux fusionnaient encore une fois avec le regard de celui qui faisait palpiter son cœur. Elle sentit ses doigts sur sa joue et trouva se geste touchant. Elle ferma les yeux pendant quelques instants pour profiter de ce moment éphémère.
Ensuite il se dirigèrent dans le village et il lui annonça qu’il était devenue le batteur de son équipe; elle fut très fier de lui et elle prononça immédiatement:

« Bravo Cow-boy, c’est génial! »

Elle lui déposa un baiser très rapide en guise de récompense ou tout simplement pour lui dire qu’elle était fière de lui et ils continuèrent leur chemins avec simplicité. Enfin il lui retourna la question et la belle française après une hésitation reprit:

« Et bien…moi pas grand chose, j’ai failli mourir et j’ai rencontré pas mal de gens de ta maison et…j’ai quelque chose a te proposer! »

Elle fit une pause et sa laissa du temps pour respirer un peu mieux et elle lui souria tout en continuant de marcher. Enfin d’un ton nerveux et en même temps excité elle reprit:

« Mais d'abord on devrait aller quelque part où l'on seraient tranquille comme au Trois Balais par exemple! »

Ils continuèrent a marcher et Calaïs avait laisser son sourire en suspend en attendant la réponse de son amour et elle avait mit ses mains dans ses poches en abandonnant les mains de Seiko.

« Bravo Cow-boy, c’est génial! »

"Merci." répondit il tout simplement.

Le jeune homme ne put s'empecher de sourire, un de ses petits sourires, un tout petit rien qui fait qu'une personne se sent bien. Tandis qu'il caressait toujours sa douce petite joue, Seiko essaya de comprendre pourquoi elle l'avait appellé Cow-boy mais rien ne lui venait à l'esprit. Cependant ce petit surnom le faisait bien rire. Lui et Calaïs devaient être le couple de l'année: La princesse et le cow-boy, quel duo de choc vous ne trouvez pas ?
A contrecoeur, le jeune homme arreta ses petits caresses, attrapa la main de sa petite amie d'un geste souple et rapide puis ils continuèrent leur chemin tranquillement. Aujoud'hui il faisait incroyablement beau, pas etonnant qu'il y est autant de monde à Pré au Lard... Dommage, Seiko aurait préféré être un peu plus au calme avec Calaïs mais bon il ferait avec. Le principal était qu'il soit avec elle, à ses côtés durant chaques secondes de la journée.

« Et bien…moi pas grand chose, j’ai failli mourir et j’ai rencontré pas mal de gens de ta maison et…j’ai quelque chose a te proposer! »

Le jeune préfet de Serpentard stoppa net, et prit Calaïs par les épaules, de façon à ce qu'il puisse lui faire face. Sur son visage marmoréen pouvait se lire une certaine inquiétude, à peine visible certe, mais bien présente. Mais avant que celui ci ai pu l'intéroger sur ce sujet pour le moins inquiétant, la jeune préfète de Poufsouffle le stoppa net en lui proposant de tout lui expliquer une fois qu'ils seraient au calme. Elle lui proposa alors les Trois Balais, faisait mine de réfléchir quelques instants, le jeune homme acquiessa d'un signe de tête explicite puis suivis celle ci en direction des Trois Balais. Contrairement à ce qu'il avait pu penser, il n'y avait pas autant de monde que ça à l'intérieur et Seiko pu même distinguer une table isolée dans le fond de la salle. Il l'attrapa une des mains de sa princesse et l'entraina avec lui vers celle ci. Une fois qu'ils prirent place, un serveur vint à leur rencontre.

"Bonjour. Que puis je vous servir ?"

"Pour moi ce sera un Whisky pur feu. Tu prendras quoi Calaïs ?"

Calaïs ressentie une certaine inquiétude dans les yeux de Seiko mais elle ne fit comme de rien n’était et continua de sourire.
Ils se dirigèrent avec calme jusqu’au Trois Balais. Dehors on voyait une multitude d’élèves qui se précipitaient dans les différentes boutiques. On aurait pu croire voir une fourmilière en pleine actions…
L’avantage de tout cela c’est qu’il ne se faisait pas remarquer et puis le chahut interminable lui donnait la paradoxale occasion de se concentrer sur ses sentiments et sur Seiko, au lieu de penser aux menus détails.
Enfin ils poussèrent la porte des Trois Balais. Il y avait très peu de monde car avec le beau temps, les gens préféré prendre quelques choses au dehors… Seiko vit ensuite une petite table au fond du pub. Elle était isolée dans un recoin, c’était une table simple de bois entouré par une banquette et une chaise.
A peine eurent ils mit leurs fesses sur les chaises qu’un barman vint prendre la commande. Seiko prit un whisky pur feu et Calaïs en souriant au barman reprit:

« Pour ça sera une bierraubeurre ! »

Puis le barman prit congé et la française s’enferma dans un mutisme presque gênée. En fait elle ne savait pas trop par quoi commencer, est ce qu’elle devait commencer par son récit dans la foret ou devait elle lui parler en premier de sa proposition?
Pendant de longues minutes, elle se contenta d’effleurer du regard les yeux de Seiko. Dans ses moments là, la jeune femme se contenait pour ne pas l’embrassé et palier se manque par un sourire sans fond et par leurs mains qui s’entremêlaient.
Enfin le barman revint avec les boissons et Calaïs trempa ses lèvres dans sa biereaubeurre et le liquide jaune, orangé glissa avec délectation le long de sa gorge asséché.
Enfin la jeune préfete se décida a reprendre la conversation, d’un ton simple mais joyeux:

« Voilà, en fait comme c’est bientôt les vacances, je voulais savoir si tu veux venir pendant quelques jours avec moi en France? »

Elle avait dit cela d’un seul trait et bizarrement son cœur ne s’était pas mis a faire des bons furieux. En même temps, il avait peut-être prévu des choses miles fois mieux que ça et cela ne la vexerait pas si il refusait son invitation. L’important pensa elle, c’est le moment présent même si elle espérait que la réponse fut positive.
La française avala encore quelques gorgées de sa boisson avant de prendre une des mains de Seiko, pour sentir sa présence prés d’elle.

Le jeune homme observa chaque faits et gestes de sa merveilleuse compagne avec une attention particulière, sortant même de l'ordinaire. Celle ci, rayonnante que le soleil lui même, paraissait illuminer la pièce d'un simple sourire. Celle ci, après avoir commandé une bierraubeurre auprès du barman, entreméla ses deux fines mains dans celle du jeune homme. Il les caressa du bout des doigts, avec délicatesse et attention particulière. Avec son autre main, le jeune préfet de Serpentard apporta son verre de whisky pur feu à ses lèvres et en bu quelques gorgées sans modération. Il avait l'habitude des boissons alcoolisés, mais attention cela ne voulait pas dire qu'il était alcoolique loin de là, il n'en buvait qu'en de très rare occasion.

Une sensation de chaleur et de bien être parcouru le corps de Seiko lorsqu'il avala une nouvelle gorgée de sa boisson. Cela donna des couleurs à son visage d'habitude si pâle. Celui ci allait prendre la parole mais vit que Calaïs l'avait fait avant lui. Par respect et par politesse il la laissa continuer en l'écoutant avec grande attention. Celui ci faillit manquer recracher la whisky qu'il était en train d'avaler à la nouvelle de la jeune Poufsouffle. Etait elle sérieuse ou bien disait elle cela en plaisantant ? En la regardant dans les yeux le coréen savait parfaitement qu'elle ne plaisantait pas et c'est alors qu'un sourire sans limite se dessiner sur son visage.

"Et comment que je le veux ! Rien que de penser que je vais être avec toi 24 heures sur 24 ça me donne des frissons." finit il par dire en eclatant de rire.

Le jeune homme n'en revenait toujours pas. Il allait pouvoir passer ses vacances avec celle qu'il aimait. Cela promettait d'être des vacances magiques. Oui magique il n'y a pas d'autre mot.

"Mais en as tu parlé à tes parents ? Tu penses que ça ne les dérangera pas ?"

Calaïs eu un sourire de bien être et de sérénité lorsque son amour lui prit les mains et qu’il les caressa avec tendresse. Les mains de Seiko était chaude et cela lui donnait du courage. Elle le regarda boire son Whisky Pur Feu avec simplicité comme ci cela était un simple jus de fruit, la française semblait attacher a ses gestes.
Ensuite Calaïs ria un peu en voyant la réaction de surprise sur le beau visage de Seiko, apparemment il semblait content de pouvoir partir avec elle. Et ensuite ce qui lui dit lui fit extrêmement plaisir, jamais personne ne lui avait parler comme ça et son cœur était a présent comme un mustang sauvage enfermé dans une boite. Elle fut ravie que ses paroles ne fut pas qu’un coup d’épée dans l’eau et elle ne pu retenir un sourire magnifique. Enfin Seiko lui posa plein de questions alors pour le contenter elle lui répondit avec une voix excitée:

« Oui ne t’inquiète pas mais parents sont au courant et cela ne les dérange pas! Et puis comme j’ai un grand domaine et qu’il y a une deuxième petite maison au fond du parc, nous coucherons là-bas! »

Elle continua de sourire puis elle se leva légèrement pour déposer un baiser sur les lèvres de Seiko qui était encore brûlante sous l’effet du Whisky Pur Feu. Calaïs espéra que la rencontre avec ses parents se passeraient plutôt bien mais elle pensa qu’il n’y avait pas grande peur a avoir, ses parents étaient des gens plutôt tolérants et plutôt sympathiques.
Enfin la française ajouta avec un ton simple:

« Pour information ma mère s’appelle Rose et mon père Antoine et sinon j’ai une grande sœur qui s’appelle Victoire et sinon j’ai trois petits frères, des triplés qui s’appellent Erwan, Théo et Jean qui ont deux ans! »

Elle eu un petit moment d’absence lorsqu’elle repensa a sa famille, elle était tellement heureuse de les retrouver car il y avait pas mal de temps qu’elle n’avait plus vue sa famille et elle lui manquait terriblement. C’est en repensant a sa propre famille que Calaïs se rendit compte qu’en fait, elle ne connaissait rien de Seiko. Mais elle n’osait pas trop demander car elle avait un pressentiment: il lui semblait que Seiko avait un lourd passé derrière lui.
Enfin la jeune préfete des Poufsouffle glissa une de ses jambes contre celle de Seiko et continua a serrer ses mains puis elle bu une gorgée de sa bieraubeurre. Quelques personnes venaient de rentrer dans le pub duquel se dégageait une ambiance bonne enfant, rempli de rire et d’amitié.
Enfin la jeune femme devait lui avouer quelques choses alors elle reprit:

« Petit bémol, il y a Tetsuo de ta maison qui fera le voyage avec nous jusqu’à Paris, il doit voir sa sœur, ça ne te dérange pas j’espère? »

"Nous serons seules, que toi et moi dans une petite maison au beau milieu d'un parc ? Je rêve la non ?"

Le jeune homme, dont les yeux étaient ecarquillés sous l'effet de la surprise, avala avec difficulté le whisky qu'il était en train d'avaler tranquillement. Le paradis existait il vraiment ? Il allait réellement passé ses vacances en compagnie de l'être qui le rend plus heureux qu'il ne l'a jamais été jusqu'à aujourd'hui ? Non ce n'était pas possible. Seiko se pinça le bras histoire de voir s'il avait bien entendu. Puis il se mit à rire, se rendant compte qu'il devait parraître ridicule. Quelques sorciers présents dans le pub se retournèrent furtivement, pour voir quel était la cause de cette hilarité si soudaine. Faisant mine de rien, Seiko rapprocha du visage de sa princesse puis y déposa un chaste baiser sur ses lèvres merveilleusement sucrées. Il sentit alors l'adrénaline monter en lui à une vitesse effrayante.

"Rose, Antoine, Victoire, Erwan Théo et Jean ? Bon va falloir que je m'en souvienne en les répétant tout les jours si je veux pas parraître ridicule aux yeux de tes parents." dit il avec un petit sourire.

Sentant la jeune de Calaïs se glisser contre la sienne, le jeune homme se sentit bien, mieux qu'avec n'importe qui sur cette Terre, et ce n'est pas peu dire. Celui ci caressa discrétement sa jambe du bout des doigts tout en sirrotant sa boisson, l'air de rien.

"Euh non tant qu'il ne reste pas avec non tout le long des vacances. Ne le prend pas mal ce n'est pas que je ne l'aprécie pas mais je prefère que l'on soit seul tout les deux, rien que toi et moi."

Calaïs se mordit la lèvre inférieure tout en gardant un sourire amusée. Elle était comblée de voir Seiko aussi heureux, depuis qu’il se connaissait elle ne l’avait jamais vu avec un tel sourire. Elle aussi, la jeune française était ravi de pouvoir passer trois ou quatre jour presque en tête a tête avec son cow-boy. Il est vrai que ses derniers temps ils ne s’étaient pas beaucoup vu et un vide énorme lui ouvrait le cœur lorsqu’il était séparé. Calaïs savait qu’elle n’avait jamais ressentit pareil manque même lorsqu’elle était venue en Angleterre et avait laisser sa famille derrière elle.
Enfin un peu amusée elle reprit:

« Eh non mon amour tu ne rêve pas, on restera tout les deux, et puis on ne restera pas que dans mon parc, j’aimerais te faire découvrir Paris! »

Ensuite elle vit Seiko se pincer puis éclater de rire. Quelques personnes se retournèrent et les fixèrent mais cela n’avait guère d’importance. Ensuite Calaïs reçu un doux baisers et cela ne fit augmentait les coups de tambours donnaient par son cœur emplie de joie et d’amour. Elle continuait de regardait Seiko avec amour et tendresse et avec une excitation toute nouvelle.
Calaïs sentit enfin les doigts de Seiko lui caressait la douce jambe et la française lui fit un clin d’œil comme pour lui dire qu’elle appréciait ses gestes, ses caresses.
Puis Seiko reparla de Tetsuo et Calaïs le rassura en répondant:

« Ne t’inquiète pas, il vient juste avec nous le temps du voyage et puis après chacun part de son coté, il ne restera pas avec nous! »

Ensuite Calaïs se demanda si Seiko n’était pas un peu jaloux mais elle ne dit point mots a se sujet pour ne pas gâcher le plaisir qu’elle était en train de vivre avec Seiko.
Le jeune préfet lui apporta tant de bien-être et tant d’amour qu’elle en était presque émue, son cœur semblait sur le point d’imploser tellement qu’elle était contente.
En plus a Paris, ils n’entendraient ni railleries, ni moqueries, rien de tout cela pour leur gâcher leur petit séjour, ils pourraient enfin vivre leur amour a fond.
Ensuite elle prit la main de Seiko qu’elle approcha de son visage puis elle posa sa joue dans la paume de main du serpentard pendant une fraction de seconde elle ferma les yeux avant de libérer la main de Seiko de son étreinte. Enfin elle ramena la main du jeune Coréen sur la table.
Calaïs continua de boire enfin sa bieraubeurre avec délectation.

« Eh non mon amour tu ne rêve pas, on restera tout les deux, et puis on ne restera pas que dans mon parc, j’aimerais te faire découvrir Paris! »

"Et bien j'en serais extrèmement ravie ma princesse. Et puis avec un guide comme toi comment peut on refuser telle offre ? Il me semble que cela est impossible."

Continuant ses petites caresses au niveau de la fine et longue jambe de la jeune préfète de Poufsouffle, Seiko s'approcha se pencha vers elle, son autre main tendu vers son visage angélique. Elle était magnifique, cela personne ne pouvait dire le contraire, ses cheveux soyeux et brillant à la lumière encadrait parfaitement son jolie minoi, et ses yeux de celle ci, dont la couleur est semblable à celle des océans les plus beau du monde, ressortait de telle façon qu'il était impossible d'y rester indifférent. Délicatement, le coréen caresa du bout de ses doigts fins les joues de sa princesse. Ces petits gestes lui donnait chaud au coeur, accelérant son rythme de telle façon qu'il s'en rendit vite compte. Le petit clin d'oeil discret le fit sourire avant qu'il ne lui réponde:

"Et bien c'est parfait mon coeur ! Je vois que tu avais tout préparé." finit il avec un petit sourire au coin des lèvres.

Seiko laissa Calaïs s'emparer de son autre main avec une douceur infinie qu'elle déposa ensuite sur sa joue. Pendant que celle ci fermait les yeux, Seiko se sentait au paradie, comme si rien ne pouvait gacher ce moment d'intimité entre ces deux jeunes personnes. Il profita de ce moment pour se lever, se mettre aux côtés de la jeune femme et lui murmurer à l'oreille.

"Suis moi princesse. Moi aussi j'ai une surprise pour toi."

"Et bien j'en serais extrêmement ravie ma princesse. Et puis avec un guide comme toi comment peut on refuser telle offre ? Il me semble que cela est impossible."

Calaïs était ravie d’entendre se genre de paroles dans la bouche de celui qu’elle aime. Cela réconforte tellement et fait tellement plaisir. Ce sentir aimer c’est comme se sentir revivre et cela fait extrêmement de bien. En plus Seiko continuait ses caresses tendres et cela faisait faire des bonds a son pauvre cœur qui n’allait peut-être plus tenir longtemps.
La française était si contente qu’elle aurait voulu le crier, le dire et se faire entendre, regarder les gens dans les yeux et leurs dire a tous qu’elle était bien.
Enfin Seiko lui caressa la joue, ces dernières rosirent un peu sous les gestes tendres du beau coréen. C’est vrai qu’il était beau, même très beau avec un grand charme, avec ses yeux émeraudes d’un vert si profond qu’elle pensait s’y perdre. Il était beau avec ses yeux du soleil et entourés de noir mais aussi avec ses cheveux aussi blond que les blés. De toute façon la poufsouffle ne pouvait guère s’empêcher de le mordre des yeux, il attirait tous ses regards et toutes ses attentions.
Leurs silences faisaient place au voix fortes des vieux sorciers du pub. Ce devait être des habitués car même de sa place Calaïs entendait jasé sur elle et sur son amour.
Mais rien n’avait plus d’importance, a présent elle sentait la main de Seiko au creux de sa joue et Calaïs en profitait pour fermer ses yeux océans… Elle sentit que Seiko se levé et sa paume de main quitter sa joue et soudain elle le sentit a ses cotés et en ne pouvant contrôlé un frisson d’excitation. Cette sensation ne fit que redoubler lorsqu’elle entendit la voix de Seiko au creux de son oreille lui dire qu’il avait aussi une surprise.
Elle se leva donc et prit Seiko par la main et tout en commençant a marcher elle lui demanda avec amusement:

« Ou tu m’emmène ? »

La poufsouffle était plutôt intriguée par cette surprise et se demanda ce que se pouvait être. Elle s’attendait a tout avec Seiko même si elle espérait que ce ne fut pas une folie… En tout cas elle continuait de marcher; accrocher a la main du préfet.

[Je suis vraiment désolée de cette énorme retard mais le net ne marchait plus chez moi pendant quelques semaines... Je compte bien me rattraper maintenant :blush:

]

"Si je te le dis maintenant, cela gacherait toute la surprise, qui n'en serait plus une dailleurs." répondit il, avec une pointe d'amusement dans la voix.

Au contact de la main de la jeune préfette, le coréen ne put s'empecher de contenir un doux frisson. Seiko s'empressa de sortir du pub en compagnie de sa tendre compagne, main dans la main. Il avait hâte de lui montrer ce qu'il lui cachait pour le moment. En ce moment même on aurait pu le comparer à un petit enfant impatient de montrer à ses parents sa nouvelle découverte. Voulant faire trépigner d'impatience Calaïs, Seiko arpentait tranquillement les rues de Pré au Lard, sans être pressé le moins du monde.
Après avoir traversé la route principale où l'on pouvait trouver toutes sortes de commerces différents les uns des autres, Seiko bifurqua à droite, entrainant avec lui la jeune Poufsouffle. Après quelques minutes de marches, le préfet de Serpentard s'arreta à l'entrée d'un petit lotissement, jetant des coups d'oeil par ci par là.

"Hum il me semble que c'est derrière cette villa." dit il en montrant à Calaïs une maison jaune au volet bleu.

Ne pouvant contenir plus longtemps son impatience, le jeune homme pressa le pas, un large sourire sur son visage marmoréen. Ils s'arrétèrent tout deux devants une petite villa qui paraissait assez neuve. Le crépit de celle ci avait une couleur orange pastel et les volet étaient d'un magnifique vert. Seiko regarda succesivement Calaïs et la villa puis se décida à lui reveler ce qu'il lui avait caché jusqu'alors.

"Cette villa m'appartiendra l'année prochaine, lorsque je serais majeur, c'est à dire à partir du 5 avril. J'avais pensé que peut être, si tu le souhaite bien sûr je ne te force en rien, tu voudrais bien ammenager avec moi."

[ t’inquiète pas je comprend ^^ l’important c’est que tu est de nouveau le net^^]

"Si je te le dis maintenant, cela gâcherait toute la surprise, qui n'en serait plus une d’ailleurs."

Lui répondit Seiko avec de l’amusement et de l’excitation dans le voix. Calaïs était plutôt une jeune femme curieuse et les surprises étaient le genre de chose qu’elle adorait. Cela exciter sa curiosité et plus les secondes s’écoulaient et plus elle avait envie de supplier Seiko pour lui demander de dévoiler ses projets. Mais la française retint sa langue et se contenta de faire un clin d’œil a son amour.

Ensuite Seiko lui prit la main et la tira hors du bar grouillant et assourdissant. Ils commencèrent a marcher main dans la main. Seiko semblait être d’un calme olympien mais le cœur de Calaïs tambourinait avec une violence exagérée dans sa cage thoracique. Déjà dans le bar elle avait été comblée par la réaction de celui qu’elle pensait être l’homme de sa vie, et a présent la jeune femme se demandait qu’est ce qui pourrait lui arriver de mieux. Plus le temps passé et plus la française se rendait compte de la chance qu’elle avait: elle était dans une école formidable, elle était préfete, elle avait des amis, sa famille l’attendait en France et surtout elle avait un petit copain exceptionnel. Elle espérait qu’au cour du voyage qu’ils feraient en France, ils se rapprocheraient encore plus.
Pour l’instant les deux amoureux venaient de traverser la rue centrale de Pré-au-Lard, cette rue commerçante qui était fouler par tant de gens et d’élèves. Puis la poufsouffle se laissa emporter par Seiko qui bifurqua a droite. Les deux jeunes gens arrivèrent enfin devant un petit lotissement. Après cette marche silencieuse le beau coréen reprit la parole:

« Hum il me semble que c'est derrière cette villa. »

Calaïs était de plus en plus intriguée, elle se demandait ce qu’il pouvait y avoir derrière cette villa. La française nageait dans le vague le plus complet, elle n’avait aucune idée de la surprise qui l’attendait. D’ailleurs se sentiment lui coupait la parole et elle ne pouvait point répondre. Puis la marche reprit jusqu’à une petite villa. La jeune française regarda avec attention cette villa mais sans comprendre. Elle était très jolie et paressait neuve. La villa avait un magnifique crépis orange pastel qui réchauffait l’atmosphère en même temps que lui donner un goût sucrée de fruit, elle avait également de beau volets verts. Cette villa était vraiment belle comparé au reste du village qui était plutôt vieillot et d’un autre temps. Le silence continua encore un bref instant puis Seiko reprit la parole pour lui dire que cette maison sera la sienne au mois d’avril. Calaïs aurait voulu le féliciter, car cette maison était vraiment belle et puis c’était le début de l’indépendance… mais elle ne pu rien dire car Seiko continua de parler pour lui demander si elle voulait emménager avec lui…

Calaïs resta bouche bée devant cette demande. Dans son cœur se fut comme le souffle d’une explosion et elle ne pu répondre immédiatement.
Un sourire jamais connu jusque là se dessina sur son visage de jeune femme. Une vague de joie venait de rompre les digues de son âme. Elle trouvait dans cette demande le réconfort qui l’avait quitter lorsqu’elle était venu en Angleterre et que sa famille était loin d’elle. Bien sur Seiko l’avait déjà largement combler mais cette demande était très inattendue et son cœur ne finissait pas de battre a tout rompre. En guise de réponse une larme d’émotion alla parcourir les joues fruitées de la jeune française. Elle regarda une seconde la villa puis se rapprocha de Seiko. Elle l’embrassa langoureusement et avec une tendresse dont elle ignorait l’existence puis elle arrêta se doux baiser pour dire

« Avec plaisir mon amour »

Leur levres n’étaient qu’a quelques millimètres l’une de l’autre lorsqu’elle lui répondit cela. Enfin elle acheva se baiser avec un goût de joie.

» Seiko Sama