Just a V.I.P. - Libre

Le réveil. Ce réveil si turbulent, qui aura toujours le don d’énerver les élèves de Poudlard. Sortant peu à peu des bras de Morphée, la jeune Lizzie ouvrit un œil, puis deux, jusqu’à se laissait tomber sur le sol. Un sol qui vibra légèrement sous le poids de la jeune élève. Waw. Dur réveil. La journée commençait à merveille, comme d’habitude en fait. Reprenant peu à peu ses esprits, la jeune Serpentard posa délicatement sa main sur sa table de nuit, cherchant désespérément son gloss, histoire de ressembler à quelque chose. Au bout de quelques secondes, elle le trouva, puis s’en mit. Son amie était déjà fin prête, détalant ainsi à toute vitesse dans le dortoir. Elizabeth la regarda quelques instants, jusqu’à soupirer. Elle aurait pu au moins la réveiller avant, non ? Cherchant désespérément à se lever, elle réussit après quelques dures tentatives. La journée débutée. Bilan de cette première seconde debout : atroce. Lizzie fit un doux sourire à sa chère amie qu’était Julie, jusqu’à remuer la tête, l’air désemparée. Lizzie fit les cents pas avant de fixer un long moment Julie. On était quel jour ? Ah ! La sortie à Pré-Au-Lard. L’occasion d’apprendre encore pleins de choses nouvelles. La jeune Serpentard afficha alors un air ravie, cette air qui vous fait tellement peur que vous n’osez même plus lui adresser la parole. Elle était ci atroce que ça ?

Puis un cri. Un cri perçant, qui venait sans doute de la salle commune. Courant à vive allure vers cette dernière, les deux jeunes amies arrivèrent trop tard. La bagarre était déjà terminée, les préfets avaient été avertis et étaient déjà en train de remonter les bretelles aux deux guerriers. Deux élèves de deuxièmes années : pas étonnant. Elizabeth lança un regard à Julie, jusqu’à remonter dans son dortoir. Elle n’avait encore prononcé aucun mot pour l’instant. Etrange ? Non, elle se préservait pour la suite. Et puis, chez la jeune Johnsson, les réveils étaient toujours un peu difficile. C‘est alors qu’elle commença à se préparer. Elle mit une bonne demi heure à se décider des vêtements qu’elle allait porté pour cette sortie. Mais son regard se dirigea très vite sur un petit top bleu et un jean que lui avait offert sa mère adoptive. Le bilan, pour le moment ? Il était assez satisfaisant. Une bagarre, un sourire et une tenue parfaite. C’est ainsi que continua sa journée, jusqu’à ce que tous les élèves soient réunis en bas pour donner leur autorisation. Pour une fois, Elizabeth n’avait pas manquer de la faire signé. Mais elle se fit vite interrompre par un autre élève de Serpentard. La poisse…

« Hey Johnsson, elle est passé où ta chienne d’amie ? Tu sais, celle qui te suit tout le temps ! »

Lizzie - « Va te faire voir, abruti. »

« Allez Lizzou, décontracte toi. Si tu veux, j’te tiens compagnie. »

Lizzie - « T’es sourd James ? De toute façon, j’traîne pas avec les cafards. »

Puis il repartit d’où il venait, ce qui arrangeait Elizabeth d’ailleurs. Les charrettes étaient alors prêtes à partir, il ne manquait plus que les élèves. Montant alors les marches de l’une d’entres elles, la jeune Serpentard se retrouva nez à nez avec cet abruti de James. Waw. Décidément, elle n’avait pas de bol. S’asseyant alors sur l’une des banquettes, elle attendit comme ça pendant une bonne vingtaine de minutes. Le temps d’arriver à Pré-Au-Lard, et le tour était joué ! Les élèves se bousculèrent pour réussir à sortir, mais ça ne servait à rien, a part s’ils étaient presser d’entendre le fameux discours des préfets…barbant. A la fin de celui-ci, tous se précipitèrent dans les différentes ruelles. Elizabeth, elle, avançait sans vraiment avoir de but précis. Quand tout à coup, elle s’arrêta, ayant l’impression d’avoir oublier quelque chose. Lizzie se retourna alors, apercevant au loin un banc. Il était tout seul, abandonné devant ce paysage merveilleux…La cabane Hurlante. Elizabeth se précipita vers celui-ci, jusqu’à s’accouder aux différentes cloisons qui la séparer du reste du « champs ». A cet instant précis, elle se sentait pousser des ailes… Ses lunettes de soleil tombaient, mais elle s’en fichait. Elle contemplait la Cabane Hurlante, imaginant ce qu’il y avait dedans. Le jour où elle le saura, ça sera un vrai scoop.

Jour de sortie à Pré-Au-Lard pour les élèves de Poudlard, le ciel bleu et le soleil étaient au rendez-vous et il n'y avait pas de brise glaciale qui venait vous chatouiller le cou, ce qui était vraiment désagréable. Annika était dans son Bureau au Chemin de Traverse, elle avait travaillée sur une Rédaction la majeure partie de la nuit, étant obligée de dormir sur un de ses canapés roses et confortables, Annika se leva brutalement, sa tête tournait légèrement, argl qu'est-ce qu'elle n'aimait pas ce temps radieux et les réveils brusques. Elle était déjà de mauvaise humeur. La jeune femme se regarda dans son Miroir mural argenté et remarqua que sa coiffure – pourtant très spéciale s'était enlevée. Elle avait quelques mèches blondes, puis brunes, plus claires plus foncées faisant en sorte que la coiffure varie – ses cheveux étaient normalement bruns.

Annika défroissa sa jupe noire et son haut rayé noir et rose. Annika avait un sens de l'esthétisme très spécial, dès qu'elle pouvait Annika mettait du rose fluo. Voilà pourquoi le carrelage était de cette couleur variée avec des carreaux moins vifs, plus doux pour l'œil et son Bureau était soit en Argenté, en Doré, en rose ou en blanc. Même le mur construit en pierres était rose. Aujourd'hui, elle allait espionner les élèves à Pré-Au-Lard ; espionner les baisers amoureux ; les disputes ; les petites choses de travers. Pour cela ; comme Rita Skeeter, Annika se transforme en Animagus – non déclaré. En coccinelle.

N'oubliant pas son carnet et sa plume à Papotes, Annika sortit de son bureau et tapota à l'aide de sa baguette magique, la poignée pour la fermer à clefs. Le Nom et le Prénom : Annika Meel étaient noirs, ce qui signifie ; pas dans son Bureau pour le moment. Après avoir descendue toutes les marches du Bâtiment de la Gazette du Sorcier, Annika pensa aux trois choses que l'Entraîneur de Transplanage lui avait dit, il y a une bonne dizaine d'années de cela, elle revoyait le cerceau et Annika pensa : Pré-Au-Lard.


" CRAC ! "

Le bruit sourd se répandit en ondes moins fortes et seulement quelques personnes se retournèrent ; curieuses.

Annika – " Saleté endroit! "

Arrivée dans un Bar miteux de Pré-Au-Lard, Annika descendit par l'escalier dévoré par les cafards et toutes les bestioles bizarres.. Annika murmura un :

Annika – " Accio Chapeau! "

Et un grand chapeau noir, pas de sorcier mais un élégant chapeau vint et Annika le mit élégamment sur sa Tête, en regardant aux alentours. Personne.. Tant mieux. Annika sortit et vira à droite dans une ruelle étroite et peu passant ; elle ferma alors les yeux et d'un coup, elle se sentit plus légère. Des ailes lui avaient poussé sur le dos et elle voyait le monde en beaucoup plus petit ; les élèves de Pré-Au-Lard semblaient immenses et ne la regardaient même pas. Elle s'était transformée en Coccinelle.

Elle vit les charrettes arriver. Sortirent en premier, Elizabeth Johnsson et James : deux Serpentard. Elizabeth Johnsson se précipita vers l'endroit de la Cabane Hurlante et lança deux – trois remarques à James. Annika commençait déjà à l'aimer. Quand Elizabeth se retourna pour regarder la Cabane, Annika en profita pour se retransformer en humaine , enfin en elle-même.

Annika – " L'amour fuse entre James et toi. A noter. "

La Plume à Papotes nota sur le carnet rose.

Citation :

Durant une journée à Pré-Au-Lard, Elizabeth et James ont été surpris en pleine dispute amoureuse. Elizabeth a été déçue de son cadeau pour la St-Valentin de la part de James ? Pourquoi James s'est t-il précipité au Chaudron Baveur, pour calmer son chagrin dans une chope de Bièrraubeurre ?

Lizzie se lassa très vite de ce paysage pourtant si mystérieux. Aucun bruit étrange ne sortait de la Cabane Hurlante, ce qui avait le don de l’énerver encore plus. Repositionnant ses lunettes de soleil bien comme il faut, elle tourna les talons. Et au même moment, elle fut surprise par une…femme. Assez grande, qui portait un chapeau noir que Lizzie aimait beaucoup. La jeune Serpentard voulut alors la contourner, pour enfin regagner une des fabuleuses ruelles de Pré-Au-Lard. Mais cette femme – qui ressemblait étrangement à Annika Meel – en avait décidé autrement. Elle prononça alors une phrase. Une phrase qui fit rire Elizabeth pendant quelques secondes, jusqu’à ce qu’elle lui sourit. L’amour fuse ? Wouah. Elizabeth resta bouche bée pendant plusieurs minutes, le temps que la plume à papote marque quelques jolis mensonges. Puis Lizzie baissa la tête, l’air fatigué. Cette femme croyait donc qu’elle était aveugle ?

Lizzie - « Allez vous mentionner aussi votre soudaine transformation ? Avouez que vous êtes non déclaré, j’en suis sûre. »

Le vent commençait à se lever, attirant le regard de tous les visiteurs. Une brise légère comme on les aime, qui vous transporte en un rien de temps dans un tourbillon infernale. La jeune Johnsson ajusta de nouveau ses lunettes de soleil, qui pour le moment ne servaient à rien. Elizabeth regarda quelques secondes Annika, jusqu’à rire un peu en imaginant comment pouvait-elle lui ruiner sa carrière. Mais après tout, une gamine de 15 ans ne passerait que pour une menteuse devant une adulte. S’approchant ainsi de son interlocutrice, elle contempla son chapeau noir. Quelques secondes, puis quelques minutes…Jusqu’à le voir s’envoler. Avant même qu’Annika réagisse, la jeune Serpentard sortit sa baguette et la pointa sur celui-ci. Un peu de charité, ça ne pourrait que lui faire du bien.

Lizzie - « Accio Chapeau ! »

Et le chapeau vint à la rencontre de la jeune élève, qui l’attrapa en vol. Rangeant sa baguette machinalement, elle regarda le chapeau noir d’un peu plus près, jusqu’à le redonner à Annika. Il était plutôt pas mal, pour un chapeau. C’est alors qu’elle repensa aux paroles qu’avait prononcés son interlocutrice un peu plus tôt, concernant James et elle. Rien qu’à imaginer la scène, elle avait envie de vomir – il faut dire que le repas d’aujourd’hui n’avait pas était aux goûts de tout le monde, surtout d’Elizabeth -. Elle soupira, jusqu’à reprendre :

Lizzie - « En ce qui concerne James et moi, croyez moi, c’est comme vous mettre avec l’ancien concierge. Il était vieux, bête et…vieux. Parfait pour vous ! »

Ces quelques paroles, elle les avaient dit d’une manière plutôt humoristique. C’était peut-être le début d’une éternelle entente ? Sûrement, toutes les deux avaient bien trop de points communs pour passer à côté. Et puis, mentir est tout un art…

Croyez vous en la fin du monde ? Celle qui est programmé depuis longtemps, et même le monde des sorciers n‘y échappera. Des pures sottises, pour la plupart des gens. Pourquoi ? Parce qu’ils ne veulent pas voir la vérité en face. Elizabeth était quelqu’un qui savait la vérité, mais qui s’amusait à la déformer pour lui donner les formes les plus répugnantes. Pourquoi en venir à la fin du monde ? Car c’est la seule vérité qu’elle ne déforme pas. Trouvez plus horrible que la fin de la vie pour tout êtres. Difficile, n’est-ce pas ? Dévisageant ainsi son interlocutrice, elle prit conscience de leur ressemblance. Cette manie de vouloir inventer, en dépit des circonstances. La seule question qui se posait était : pourquoi ? Pourquoi Elizabeth prenait un plaisir fou nuire aux autres ? Là-dessus, personne ne saura la réponse. Bougeant légèrement la jambe droite, Lizzie écouta attentivement chaque parole d’Annika. Une simple coccinelle ? La jeune Serpentard plissa légèrement les yeux, jusqu’à répondre :

Lizzie - « Je n’avouerais rien, Madame Meel. Par pure philosophie, sachez que même les êtres les plus innocents peuvent parfois nous surprendre… »

Là-dessus, la jeune Johnsson afficha un sourire satisfait. Le regard accroché à ce chapeau qu’elle aimait tant, elle en enleva ses lunettes de soleil pour mieux le voir. Il était très chic : à l’image de celle qui le portait. C’est ainsi qu’Annika se mit à parler de l’ancien concierge de Poudlard - Rusard -. D’après ce qu’on avait dit à Lizzie, il était très sévère et très vieux, ce qui explique sa mort soudaine. Parfois, la jeune Johnsson regrettais de ne pas être arrivée à Poudlard avant. Le connaître aurait été une expérience enrichissante pour elle - il devait sûrement connaître les petits secrets des élèves -. Ce simple « Vous voulez essayer ? » de la part d’Annika réveiller en Lizzie un certain dégoût. Ce n’était pas son délire d’embrasser des morts, surtout quand ils ressemblaient à Rusard. Ravalant ainsi sa salive, elle regarda son interlocutrice d’un air dégoûtée.

Lizzie - « Ce n’est pas dans mes principes d’embrasser les morts… Sachez le, pour la prochaine fois. Et puis même sous l’influence d’un impero je m’abstiendrais… »

Puis Annika se mit à parler de Lizzie. D’après elle, toutes deux se ressemble bien plus qu‘Elizabeth ne peut le penser. Une carrière à la Gazette du Sorcier ? Non, Lizzie ne rêvait pas de ça. Enchaînant alors sur ce thème, la jeune Serpentard répliqua, sans aucune honte :

Lizzie - « La Gazette du Sorcier ? Non, ça ne saurait que gâcher mon grand talent…Quoi qu’en y réfléchissant, vous avez sûrement raison. »

Elizabeth fit un léger sourire, jusqu’à frissonner légèrement de froid. Les lunettes de soleil tombantes, elle approcha sa main droite pour pouvoir les relever au niveau de ses cheveux, en espérant qu’elles tiendraient même avec cette brise qui se faisait de plus en plus présente. Son interlocutrice continua dans une foulée imperturbable, insistant ainsi pour que Lizzie lui dévoile quelques secrets sur les élèves de Poudlard. La jeune élève lança un regard malicieux à Madame Meel, jusqu’à s’éclaircir la gorge.

Lizzie - « Bien sûr que oui. Mais je ne cracherais pas le morceau pour que vous remplissiez vos pages blanches. Surtout si c’est pour la Gazette du Sorcier… A part si vous m’offrez quelque chose en retour. »

Etait-ce au moins légal ?

Lizzie - « Je n’avouerais rien, Madame Meel. Par pure philosophie, sachez que même les êtres les plus innocents peuvent parfois nous surprendre… »


Peut-être qu'Elizabeth avait raison après tout, on peut même se méfier d'une coccinelle, mais on devient complètement paranoïaque, on prend peur d'une Fourmi en frémissant parce qu'on croit que c'est le Ministre de la Magie ? Un escargot passe à quelques millimètres de vous et vous essayer de l'écraser en espérant que c'est votre pire ennemi de tous les temps ? La seule particularité de la coccinelle que devenait Annika était son reflet bleuté au soleil, ses taches noires disparaissaient d'un coup comme cela ; en fait c'est qu'elle fait une réaction au soleil même en Animagus. Comme Rita Skeeter qui était un espèce de scarabée et sa petite particularité était de voir des petites lunettes sur les yeux de la bestiole. Annika se tut et ne rajouta rien. Elle ne se sentait pas vaincue mais cette conversation sur les Animagus et la philosophie enfin.. ne l'intéressait guère maintenant.


Lizzie - « Ce n’est pas dans mes principes d’embrasser les morts… Sachez le, pour la prochaine fois. Et puis même sous l’influence d’un impero je m’abstiendrais… »

Annika eut un petit sourire doux quand elle vit l'expression du visage d'Elizabeth. Elle devait être amusée qu'elle ; parce que sur les lèvres d'Elizabeth se dessinait un sourire diabolique comme Annika le fait souvent durant ses interviews essayant de chercher la petite bête.

Lizzie - « La Gazette du Sorcier ? Non, ça ne saurait que gâcher mon grand talent…Quoi qu’en y réfléchissant, vous avez sûrement raison. »

Un talent ? A part l'écriture.. Qu'est-ce qu'Elizabeth aimait faire ? Des arts ? Annika n'en savait trop rien mais curieuse comme elle était, occlumens depuis quelques années elle arrivait à sonder les esprits des inconnus. Annika ferma les yeux et se concentra pour sonder l'esprit d'Elizabeth ; voir ce qu'elle aimait. Annika ne vit rien d'autre qu'un grand mur. Elizabeth savait-elle se défendre contre des sondages d'esprit ?

Annika – " Vous avez l'air de très bien contrôler la situation, êtes-vous déjà tombé sur un Occlumens ? "

Annika ne savait pas si elle pouvait la tutoyer, par pure politesse le vouvoiement restait très classe et si elle tutoyait une personne alors qu'elle n'en avait pas envie. Annika ne voulait briser une Rencontre comme celle-ci. Elizabeth Johnsson l'intéressait énormément ; alors autant en profiter.

Annika – " Vous savez Carla Krause, la Directrice de la gazette est très gentille ; peut-être pourrait-elle vous donner un poste concernant les Arts. Mais vous êtes douée pour les Potins ; vous ne voulez pas essayer ? Voir ce que ça fait que les visages furieux des personnes quand vous racontez que vous l'avez vu enlacé avec une autre personne ; des Professeurs pris en flagrant délit. Les voir piquer leur crise. Voir leurs visages se déformer sous la colère parce qu'il y a écrit noir sur blanc que vous êtes amoureux de la Professeur de Vol ; celle qui a des boutons et qui sent mauvais. Pourquoi pas Mademoiselle Johnsson ? Je vois sur votre visage un sourire envieur. "

Elizabeth répondit à la Question d'Annika ; positivement mais avec une seule contrainte.

Lizzie - « Bien sûr que oui. Mais je ne cracherais pas le morceau pour que vous remplissiez vos pages blanches. Surtout si c’est pour la Gazette du Sorcier… A part si vous m’offrez quelque chose en retour. »

Annika – " Quelque chose ? Je proposerais.. Une Bièrraubeurre et .. Ce que vous voulez sur les Arts ; ce qui vous passionne, ce sont les Arts mais je ne sais pas tellement quoi vous donner. "

Annika regardait le regard envieur d'Elizabeth posé sur son chapeau noir ; un petit sourire se fendit sur ses lèvres.

Annika – " Mon Chapeau ; je vous donne mon chapeau. "

D'un geste rempli de grâce, Annika posa son Chapeau sur la tête de la jeune Serpentard. Le vent s'était dissipé mais la pluie commençait à apparaître. Les élèves affolés par ces quelques gouttelettes se mettaient contre les vitrines des magasins, Annika dit fortement pour qu'Elizabeth l'entende à travers le bruit de la pluie atterrissant sur les pavés de pierres. :

Annika – " Suivez-moi ! "

Les voilà parties vers le Chaudron Baveur, presque toutes trempées.