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 Une salle originale

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Calaïs Andromaque
Préfète en Chef, 7ème année à Poufsouffle
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Calaïs Andromaque


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MessageSujet: Une salle originale   Une salle originale EmptySam 20 Jan - 11:19

Calaïs regarda par la fenêtre de son dortoir d’un air maussade. En ce début d’après-midi le ciel était d’un noir charbon, les nuages décorés la totalité de se grand ciel, sans jamais laisser une tache bleu azur.
La jeune française était seule dans le grand dortoir et s’ennuyait un peu, elle se dit alors qu’allait dehors ne serait pas la meilleur des choses a faire.
Elle reflechissa pendant quelques minutes en se demandant qu’elle salle n’avait elle pas encore découverte!
Et enfin elle sut quelle salle lui avait été encore caché: en effet, avant de venir a Londres elle s’était renseignée sur le château, son histoire…et la jeune française avait trouvée son bonheur dans un énorme livre racontant Poudlard!
La jeune Calaïs se souvint alors d’un passage:


Il existe une salle spéciale dans le grand château, une salle très spéciale qui se trouve dans les étages supérieurs de l’école!
Passez trois fois devant sa porte en pensant a une salle qui vous désirez, ouvrez cette salle sur demande et vous l’obtiendrez.


Quelques secondes plus tard la jeune prefete était dans le grand hall, au milieu d’une foule d’élèves!
Elle prit alors une grande respiration et commença a courir, elle alla a se train jusqu’au sixième étage, elle se stoppa enfin pour regardait attentivement avant de se mettre a la recherche de la salle, bien sur a cet étage ci elle ne trouva rien a part quelques salles abandonnées et d’autres pièces qui n’avait absolument rien a voir avec la salle sur demande, alors ne perdant pas un instant, elle courra jusqu’au septième étage.
Enfin après quelques minutes de recherches acharnées elle s’arrêta devant une petite porte de bois noir, a l’aspect usé et vieillot.
Calaïs était sur que ce fut la bonne salle, c’était clair comme de l’eau de source!
Elle pensa alors très fort a une salle puis passa trois fois devant et enfin ouvrit la porte.
La jeune française découvrit une salle des plus belles en effet c’était une salle au couleur chaude et chaleureuse. Le sol était couverte d’une moquette extrêmement douce et les murs peint d’une couleur orange tangerine.
Au milieu de la pièce se trouvait un grand bar, en bois noir et tout en rond, se trouvait a l’intérieur de se comptoir se trouvait au moins une centaine de bouteilles ainsi qu’un compartiment réfrigéré dans lequel se trouvait tout un tas de nourriture plus délicieuse les unes que les autres.
Sur un des cotés on pouvait voir une grande cheminée de marbre blanc dans lequel dansait un superbe feu, devant se dernier se trouvait une multitude de fauteuils et de canapé de velours.
A l’opposé de ce coté-ci il y avait une sorte de bibliothèque, rempli de livres qui pour la plus part étaient reliés de cuir et dont le titre était incrusté d’or.
Enfin derrière le comptoir on pouvait voir une séparation. D’un coté on pouvait voir un sol carrelé et dont la moitié de l’espace était occupé par un bains, ou flottait de la mousse et d’où s’élevé un doux parfum. Et d’un autre coté de cette séparation était installé un petit compartiment qui était rempli de vêtements moldus rangés soigneusement.
La jeune Calaïs quitta ses chaussures noirs sur le palier de la salle puis commença a marcher autour de la pièce pour voir les choses qui l’habitait.
Après des minutes d’observations la jeune fille alla voir dans le bar, elle se servit une boisson qui lui était inconnue puis alla se chercher un livre:

Équidés du Monde Magique
Par Niébé Centaura


Puis elle se dirigea de l’autre coté de la séparation, elle laissa son verre et son livre sur le sol a coté du bain et elle alla ensuite se changeait dans le coté opposé, elle trouva un bikini noir puis elle se jeta avec empressement dans le bains, elle resta quelques minutes sans ne rien faire, ayant cru atteindre le nirvana.
Enfin elle prit son livre et commença a feuilleté le livre avec délectation.
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Maelyn McBright
6ème année à Gryffondor
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyJeu 8 Fév - 23:03

La fin de journée venait enfin d'arriver. Celle-ci libérait les élèves, tout comme les professeurs, de leurs journées de cours et de devoirs en tout genre. Il ne faut pas croire mais la vie d'un professeur ou d'un élève n'est pas tout rose et facile. Toute la journée, il faut écouter, lister et retenir ce que l'on nous apprend tout au long des neuf heures de cours et pour les professeurs, il suffit de vouloir capter l'attention des élèves, surtout quand ceux-ci arrivent à sept heures de cours passés, mais également de savoir leur transmettre correctement un peu de savoir... qui a dit que tout ceci était simple? C'est ainsi que plusieurs élèves sortaient des cours la tête plus haute que d'habitude mais également en traînant les pieds et en bayant discrètement derrière une main. Leur envie? Sûrement d'aller se vautrer dans le premier canapé venu afin de rattraper le sommeil qu'ils n'ont pas réussi à avoir la veille pour une quelconque raison. Néanmoins, en cette journée, nous ne pouvons pas dire que Maelyn faisait partie de ce cas de figure. En effet, la jeune fille n’avait eu cours que jusqu’à midi mais sa semaine bien entamée et le reste avaient commencé son achèvement de la semaine. Heureusement que celle-ci n’allait pas tarder à prendre fin. Où se dirigeait-elle ? Pour faire quoi ? Et bien, normalement la jeune Gryffonne aurait dû se dirigeait vers sa salle commune ou alors la bibliothèque afin de travailler mais sa tête était tellement saturée qu’elle n’en avait aucune envie après un repas s’étant passée passablement bien à la Grande Salle.

C'est ainsi qu'elle marchait tranquillement dans les couloirs, prenant soin de ne cogner personne au passage et de ne perdre aucune affaire en route. Chose pas si aisée que cela quand on se trouve dans un couloir empli d'élèves sortant de toute part pour se rendre à un point précis du château... certains allant manger... d'autres se rendant à la bibliothèque pour travailler et prendre de l'avance. Maelyn, quant à elle, elle marchait dans les couloirs ne sachant trop où aller. Pour le lendemain, elle avait juste un petit résumé à faire et pour le moment, elle n'avait pas la tête à travailler, pas après neuf de cours intensive en finissant par Défense contre les Forces du Mal et Potions. C'est ainsi que ses pas la menèrent vers un coin isolé, loin de toute cette foule oppressante d'élève beaucoup plus grand qu'elle. Elle n'arrivait même pas à voir les tableaux avec toutes ses grandes têtes posés à part et d'autres d'elle. Elle soupira doucement et se dirigea vers un couloir menant vers les escaliers adjacents. Grimpant sur l’une des marches, elle laissa l’escalier magique décider de sa future direction, s’appuyant, voire se vautrant contre la rambarde. Plusieurs secondes plus tard, l’escalier se stoppa et elle finit par mettre pied sur de nouvelles dalles. Où était-elle ? Et bien, en jetant un coup d’œil discret par-delà la rambarde, elle aurait pu en conclure qu’elle se trouvait dans les étages, pratiquement aussi haut que sa propre salle commune. D’ailleurs, en y regardant bien, Maelyn connaissait ce tableau qui représentait un farfadet tendant une amphore vers la lune. Oui, elle se trouvait au septième étage, près de sa salle commune. Se dirigeant tout naturellement vers celle-ci, elle ne fit pas attention à la jeune Poufsouffle qui semblait tourner en rond dans le couloir. D

Donnant le mot de passe à la Grosse Dame nonchalamment, Maelyn finit par pousser la porte coulissante afin de pouvoir entrer. Argh. Au secours. Au meurtre. A peine la sixième année n’avait fait plus de dix pas qu’elle était tombée parterre, assommait par un énorme poids qui venait de se jeter sur elle. Mais qu’était-ce cette mauvaise blague ?


Mike, d'une voix mal assurée: « Aïe, je crois que j’ai glissé sur quelque chose…. »

Tendant une main parterre après s’être assise à même le carrelage, Mike ramassa une baguette. Ce scroutt à pétard avait roulé sur une baguette à réglisse. Maelyn ne pût s’empêcher de le regarder bizarrement. Non mais attendez, il avait vraiment roulé sur une baguette à réglisse ? Passant une main contre son visage, elle finit par se questionner sur ce que son ami avait pu ingurgiter pour qu’il puisse être dans cet état. La réponse vient d’elle-même par la suite. En effet, Aline s’était approchée d’elle et commençait à l’aider à se relever alors que Mike commençait déjà à faire tomber une poignée de livres se trouvant sur la table. Apparemment, les trois compères se seraient amusés à fabriquer une potion durant leur temps de pause mais c’étant trompé d’un élément, la potion était devenue une véritable potion de maladresse. Maelyn ne savait même pas qu’il en existait une… S’asseyant dans l’un des fauteuils de la salle commune, la jeune fille resta là tout en commençant à parler avec Aline. On entendit alors derrière elles plusieurs bruits : un bruit de verre cassé, un Réparo lancé, un pouffement de rire étouffé, apparemment une chute dans le tapis…. Et ainsi de suite de nombreux bruits, des mécontentements et éclats de rires se firent entendre. Bon, tout ceci était bien drôle au début mais à force on commence à s’en lasser un peu.

Maelyn : « On devrait pas l’emmener à l’infirmerie ? »
Aline : « Pomfresh lui a donné une potion mais apparemment, elle ne fera effet que d’ici une voire deux heures… Et il semblerait qu’il y ait une épidémie de grippe en ce moment, d’où le fait qu’il ne pouvait rester à l’infirmerie…. L’enfermer dans la salle commune semblait être la meilleure solution… »


Bling. Et un vase de cassé, un.

Maelyn : « Tu ferais mieux de l’attacher sur son lit, Joshua, ca pourrait limiter la casse… »

Alors que Maelyn se levait, Joshua acquiesça et s’apprêta à faire monter son ami. Le sixième année dût se faire aider de quelques autres élèves afin de réussir à faire monter Mike dans son dortoir en limitant les marches manquées. Faisant un signe léger à son ami, la jeune fille finit par sortir de la salle, sans aucune idée de l’endroit où aller. Bien que Mike aille être en haut, les premières années allaient reprendre leurs « droits » sur la salle commune, la transformant en repaire de cris et blablatage. Se retrouvant dans le couloir, Maelyn ne fit pas attention à la porte qui venait d’apparaître, après tout, elle n’avait entendu parler de la salle sur demande que par légende et, étant plus jeune, elle avait beau essayer de la trouver avec ses amis… jamais elle n’y était arrivée. Ainsi, elle n’y prêta guère attention et marcha dans le couloir tout en fermant un tant soit peu les yeux. Ne sachant où aller, elle finit par s’appuyer dos au mur. Cependant voilà, il n’y avait pas de mur derrière elle mais bel et bien une porte. Ce qui devait arriver, arriva. La porte n’étant pas bien fermée, le corps de Maelyn bascula dans le vide et elle entra de cette façon dans la dite « salle sur demande » : en tombant sur les fesses, allongée totalement sur le dos avec l’élan de sa chute.


Dernière édition par le Lun 12 Fév - 1:47, édité 1 fois
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Calaïs Andromaque
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyVen 9 Fév - 22:24

Calaïs lisait avec délectation, toutes ses choses sur les animaux étaient vraiment passionnantes ainsi elle avait appris comment on pouvait soignés un hippogriffe d’un empoisonnement et comment pouvait-on approchés et être aimait des licornes…La jeune fille estimer d’ailleurs avoir beaucoup de chance de pouvoir être de le gente féminine, les licornes n’aimaient guère les masculins et s’enfuyaient lorsqu’ils s’approchaient.
Par moment elle sortait de son livre pour boire quelques gorgées de sa boisson ou bien s’amuser avec l’eau moussante et parfumée.
Mais soudain un grand fracas se fit entendre dans la première partie de la salle; Calaïs étonnée laissa tomber son bouquin dans l’eau de son bain.


« RRrrrrRRR mon livre! » grogna elle


Mais la française alla le chercher sous l’eau puis sortie de son bain.
Elle s’élança vers la première partie de la spacieuse pièce. Une jeune fille apparemment de Gryffondor vu son blason, était allongé par terre devant l’entrée de la salle!
Calaïs eu de gros yeux étonnés et se dirigea précipitamment vers la jeune fille voyant que cette entrée n’était pas volontaire puis l’aida a se relever!
Lorsque la jeune fille fut sur pieds, Calaïs se rendit compte qu’elle était toujours en bikini, bien curieuse façon pour une première rencontre mais elle n’allait tout de même pas s’éclipsée comme ça. Alors elle commença la conversation sur un ton amusée:


« J’espère que tu ne t’ai pas fait trop mal….Oh faites excuse moi pour la tenue…. »


Elle bredouiller quelque peu mais elle se dit qu’en fin de compte se n’était qu’un détail. Elle lui souria gentiment avant de répondre:


« Entre je t’en prie….Au fait je m’appelle Calaïs Andromaque, 6eme année a Poufsouffle! »


Puis la jeune française s’avança un peu dans la pièce et fit un signe de la tête vers la jeune fille comme pour lui dire de la suivre. Enfin après quelques instants de silence la jeune poufsouffle se dirigea vers le bar et demanda:

« Tu veux boire quelques choses? ….tu n’a que l’embarras du choix! »

Il était vrai que le bar était plutôt immense et bien fourni, il contenait des bouteilles que jamais Calaïs n’eu l’idée.
Enfin elle rentra dans le bar circulaire et sortit un verre toujours en souriant avant de reprendre:


« N’est elle pas belle cette pièce? »

Son ton était dés plus amusée néanmoins la salle restait des plus charmantes.
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Maelyn McBright
6ème année à Gryffondor
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyDim 11 Fév - 22:25

Que venait-il de se passer ? Interloquée sur la façon dont elle était passée de debout sur ses deux jambes à complètement étalée sur le sol la laissait muette et figée. Mais, comment pouvait-elle donc être tombée alors qu’elle ne voulait que s’appuyer dos contre un mur ? Après tout, elle avait beau passer maintes et maintes fois dans ce couloir, qu’elle n’avait repéré aucune porte, même sa salle commune avait pour ouverture un tableau à mot de passe. Tellement absorbée par sa réflexion qui ne décelait aucune réponse, Maelyn n’entendit pas le « Plouf » d’un objet qui tombe dans un liquide tel un lac ou un bain, plus probable à l’intérieur d’un château. S’appuyant sur ses avant-bras, la jeune Gryffondor se relevant de trois-quarts afin de pouvoir contempler… une ouverture dans le mur. Clignant plusieurs fois des yeux, elle avait dû mal à croire ce qu’elle voyait. Apparemment, une porte s’était trouvée en cet endroit, une porte jusqu’alors invisible aux yeux de la jeune fille. Ah bon, il y avait une porte…. Bah, c’était une bonne chose car cela voulait dire qu’une pièce restait alors jusqu’à inconnue, ce qui laissait à présager que la recherche à d’autres endroits méconnus allait pouvoir reprendre… d’où un peu d’action entre les quelques murs froids de ce mois de Février.

Tiens, il semblait à Maelyn entendre des bruits provenant de derrière elle. Où était-elle tombée d’ailleurs ? Mise à part de savoir qu’elle était au septième étage, elle n’en savait guère plus. Décidée à s’appuyer plutôt sur ses mains afin de pouvoir pivoter et regarder derrière, la jeune fille décida de se relever en s’aidant de ses quelques abdominaux afin de pouvoir poser ses mains à plat sur le sol, malgré la fraicheur des carreaux. Finalement, une main se montra devant elle. Etonnée par sa présence, Maelyn releva la tête afin de laisser tomber ses yeux sur la silhouette d’une jeune fille. D’ailleurs, celle-ci était habillée d’une façon plus qu’étrange pour une école qui impose un uniforme, uniforme qu’elle portait toujours d’ailleurs. En effet, la jeune fille qui tendait toujours sa main un peu mouillée afin de l’aider, n’était vêtue que par un simple bikini noir. Stupéfaite et interloquée de nouveau, la main de Maelyn se glissa dans celle tendue de la jeune fille et elle s’en aida afin de pouvoir se relever sur ses deux pieds, sa jupe cachant de nouveau ses jambes, dont la chute avait relevée légèrement.


Maelyn, dans un fin chuchotement sur le coup de la surprise : « …. Merci »

Debout sur ses pieds, la Gryffone eut un peu de mal à se retourner par la suite, regardant continuellement la porte mystérieuse.

« J’espère que tu ne t’ai pas fait trop mal….Oh faites excuse moi pour la tenue…. »

Consciente que la jeune fille venait de ne s’adresser nul autre qu’à elle, Maelyn se retourna dans sa direction afin de la regarder. Après tout, il était plus que malpoli de ne pas regarder quelqu’un lorsqu’on lui parle, de même lorsqu’on est visée et qu’on a aucune raison de vouloir s’en échapper… La jeune fille semblait bredouiller légèrement, comme si elle était gênée. La Gryffone se demandait bien pourquoi est-ce qu’elle l’était. L’avait-elle dérangée lors de son interruption plus qu’inhabituel ? C’est alors que son regard se posa de nouveau sur sa tenue, regard qu’elle détourna rapidement afin d’observer la dite-pièce. Il était vrai que la tenue de la demoiselle avait tout pour un étonner plus d’un et sur le coup, Maelyn fut heureuse que ni Mike, ni Joshua ne l’ait accompagné. Les deux réunis ont généralement un tact plus qu’impossible.

Maelyn : « Non, ca va…. Ne t’inquiète pas… »

Après tout, la tenue avait beau être inhabituel, si la jeune fille se sentait bien ainsi… tant qu’aucun professeur ne la trouve ou quelques âmes mal intentionnées. De plus, la chute de Maelyn l’avait plus surprise que blessée. Bon, elle allait sûrement avoir quelques bleus mise à part cela… rien de bien grave puisqu’elle avait réussi à se mettre sur ses deux pieds. D’ailleurs, les chutes commençaient à la connaître et inversement, elle commençait à s’habituer avec les bleus tant que ses proches ne s’inquiétaient pas, il n’y avait rien à craindre. En effet, des proches qui s’inquiètent de trop sont toujours beaucoup plus encombrants et éreintant que quelques bleus qui picotent et lancent contre la peau. D’ailleurs, si elle réussissait à trouver le calme et la stoïcité de rester au soleil afin de pouvoir faire brunir un peu sa peau, celle-ci ne serait que moins marquée par les bleus, la plupart du temps violets.
«Entre je t’en prie….Au fait je m’appelle Calaïs Andromaque, 6eme année a Poufsouffle!»

La jeune fille finit par l’inviter à entrer un peu plus dans cette salle plus qu’intrigante aux yeux de la Gryffonne. L’identité de celle-ci s’en suivit naturellement ce qui leva le doute de Maelyn. En effet, les sixièmes années n’étaient pas excessivement nombreux, surtout lorsqu’on les côtoie désormais depuis un peu plus de cinq ans… Néanmoins, il est vrai que la sixième année n’avait retenu que très peu de prénoms et de noms de famille mais elle arrivait à se souvenir de la longue chevelure de Calaïs…. En dépit de son identité. De convenance, Maelyn se devait de donner la sienne. Malgré le fait que sa mère était plus qu’une dragonne, elle avait au moins réussi à lui inculquer plusieurs notions de savoir-vivre, la seule chose qu’elle ait réussi à lui inculquer et la faire flancher. Elle répondit alors doucement et lentement à son sourire, bien qu’elle ne soit pas habituée à sourire chaleureusement, ses lèvres s’étaient lentement étirées.

Maelyn : « Enchantée Andromaque ! SilenceMaelyn McBright, sixième année mais à Gryffondor. »

Malgré le fait que son uniforme comportait nettement la couleur rouge et or de sa cravate ainsi que le blason de sa maison, Maelyn se devait de répondre exactement. Pourquoi ? Bah, question d’habitude ! Repérant l’hochement de tête de Calaïs qui lui indiquait de la suivre, Maelyn n’émit aucune objection, bien qu’elle traina la patte, occupée à regarder discrètement les murs de couleur chaleureuses et voyantes, ce qui contrastait assez avec les murs de pierre dégarnis des couloirs mal éclairés des autres tours. Un comptoir rond semblait se trouver au loin, néanmoins, sa composition semblait ne pas se révéler de suite. Effectivement, la jeune Poufsouffle lui demanda alors ce qu’elle voulait boire. Ainsi, cette espèce de table toute ronde et garnie était un bar. Maelyn n’en avait vu aucun de cette forme. Ordinairement, il était de forme rectangulaire… mais qu’à cela ne tienne. Hochant négativement la tête, Maelyn fit comprendre à la jeune fille qu’elle ne désirait rien. Après tout, elle n’avait pas spécialement soif et l’heure du diner ne saurait tarder, à son plus grand malheur. S’approchant du comptoir, la Gryffone finit par poser ses deux coudes dessus, de l’autre côté de Calaïs, coudes qui reçurent la tête de la jeune fille en leurs creux. Croisant ses jambes tout en appuyant son poids sur ses deux coudes, elle regarda la jeune fille s’affairer tout en regardant avec curiosité l’espèce de baignoire qui trônait un peu plus loin. Un bar, une baignoire et des étagères de livres…. Les deux premiers éléments pourraient être considérés comme faisant parti d’un décor vacancier tandis que le dernier était tout autre. Les trois mélangeaient restés cependant une étrange constitution, mais la présence de la baignoire donnait une raison au bikini de la Poufsouffle.

« N’est elle pas belle cette pièce? »

Le ton amusé fit sourire très légèrement la sixième année. Apparemment, Calaïs semblait heureuse d’avoir trouvée cette salle ainsi que ses fonctions. Après tout, celle-ci n’avait pas tout à fait tord puisqu’il était étrange de trouver ce genre de fantaisie dans l’école. Jetant un coup d’œil circulaire avant de répondre, le regard de la jeune fille se fit assez songeur et rêveur. Après une bonne semaine de cours, il ne devait y avoir rien de tel afin de pouvoir se détendre…

Maelyn : « Elle n’est pas mal…. Mais, où sommes-nous ? »
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyDim 11 Fév - 22:56

Calaïs en voyant que la jeune Gryffondor ne voulait pas boire elle reposa tristement son verre. Apparemment ce qui était un signe de bienvenue et d’amitié en France n’était rien d’autres qu’un verre a boire en Angleterre. Voilà encore une coutume anglaise auquel il faudra qu’elle se fasse.
Après quelques secondes d’hésitation, la jeune poufsouffle se demandant si il était bien polie de boire seule se dit qu’elle n’allait pas refuser se petit plaisir. Elle sortit donc un verre a pieds et versa a l’intérieur un liquide rougeâtre voir bordeaux très appréciés chez les moldu français.
La fraîcheur de l’eau ruisselant encore sur son torse et sur ses épaules la fit frissonner alors elle s’excusa auprès de la dénommée Maelyn puis partit se changer. Lorsqu’elle entra dans la deuxième partie elle ne vit pas le verre de jus de fruit qu’elle sirotait tranquillement avant l’arrivée fracassante de sa camarade de sixième année. Calaïs d’un geste brusque le fit s’écrasé sur le sol carrelé, répandant miles et un morceau de verres sur le sol ainsi que sur les pieds de la jeune préfete. Elle grommela et alla s’asseoir sur le bord du bain puis enleva les morceau de verres qui cisaillaient sa peau. Ensuite elle prit sa baguette puis prononça:


« Recurvite »

La pièce redevint alors comme neuve seul les pieds de la jeune française restait endoloris…elle attrapa ensuite ses vêtements puis se rhabilla avant de reprendre le chemin de l’entrée.
Voyant que la jeune fille ne s’était toujours pas assise elle s’empressa de reprendre son verre posait sur le bar et de se diriger vers les fauteuils pour l’inviter a faire de même…
Une fois installait sur le grand canapé moelleux elle reprit la conversation avec un sourire aimable:


« Nous sommes dans la salle sur demande; passait trois fois devant la porte en pensant a une salle, et voilà le résultat! J’adore cette pièce! Je trouve ça plutôt incroyable. »



Le ton de la jeune Calaïs était plutôt amusée, comme un enfant de cinq ans découvrant pour la première fois un match de quidditch ou un balais. Elle avait cette même étincelle qu’on les bambins, les yeux de l’insouciance et du mépris des règles.
Bien qu’elle soit préfete la jeune femme avait une âme d’enfant et c’était sans doute pour ça que toute les règles et tout les codes qu’on lui apprenait en France ne la faisait pas réagir, et c’était sûrement pour cela qu’elle n’avait jamais su rentrer dans le moule.
Soudain une petite vague de mélancolie l’emporta, elle repensa a son enfance, au tendres prairies de l’hexagone, a tout ces moments qu’elle avait passer avec ses parents. Elle pensa a ses jeux d’enfants, dans la nature, avec les animaux. Déjà petite elle allait piquer dans l’armoire de sa mère pour essayer de faire des potions pour les animaux, pour qu’ils guérissent. Parfois cela même déclenché des catastrophes surtout lorsque la petite Calaïs se mettait en tête de faire chauffer ses potions. Elle était très forte a se jeu là, elle mettait le verre sous une loupe qui elle même était sous le soleil. Bien souvent le verre éclatait et la potion s’éparpillait causant le désarroi de sa mère mais cela faisait beaucoup rire la petite Calaïs.
La jeune française essaya de chasser ses idées nostalgiques de sa tête pour reporter son attention sur son interlocutrice.
Elle porter son regard alternativement sur le visage de Maelyn et sur l’arrière de la salle ou bien sur son verre désespérément seul.
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Maelyn McBright
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyLun 12 Fév - 1:45

Maelyn ne perçut à aucun moment le signe de tristesse qui apparaissait sur le visage de la jeune Poufsouffle. En effet, trop occupée à mirer la salle sous tous ses angles afin de comprendre comment une salle pareille pouvait se trouver dans une école telle que l’était Poudlard, elle tournait légèrement la tête afin de percevoir tout ce que comportait la pièce de taille moyenne malgré l’innombrable présence d’objets. Ainsi, il est assez difficile de déceler des expressions qui n’existent que sur le visage d’une personne, alors que l’on ne regarde pas celle-ci. La Gryffone ne se rendit aucunement compte qu’elle venait de blesser la jeune fille…. Il nous arrive souvent de mal comprendre autrui et malgré le léger accent différent qu’elle avait repéré chez la jeune fille, Maelyn ne se doutait point qu’elle était étrangère et ainsi, élevée suivant des mœurs différentes. Il était vrai qu’en Ecosse, et tout du moins à Greenock dans la maison familiale des McBright, Maelyn n’aimait pas obéir à ses règles de convenances. Dès l’âge de six ans, la jeune brune se mit en tête de faire tourner en bourrique sa mère, délivrant par la même sa jeune sœur des tourments qu’elle vivait à prendre la place que Maelyn avait refusé plus tôt, à savoir celle de la petite fille modèle. Toujours être bien habillée. Toujours être présentable et polie. Toujours suivre les règles de bonne courtoisie et de bonne conduite. Etre aimable et agréable, quelques puissent être les situations… Et ainsi de suite s’enchainaient les principes, toujours plus lassants et irritants aux oreilles de la jeune fille. Ainsi, il n’était aucune rare qu’à force, Maelyn ait pris l’habitude de transgresser ses règles de courtoisie, non pas par offense envers la personne… mais par rejet pur ! Ne cherchez pas à comprendre, vous ne ferez que vous récolter un énorme mal de tête malgré votre volonté. Chaque personne a son niveau de complexité après tout.

Entendant le bruit d’un liquide qui coule, elle tourna la tête vers le verre que Calaïs était en train de se verser. Le liquide qui s’échappait de la bouteille était d’un rouge si foncé qu’on aurait pu se méprendre avec du sang… bien qu’il ne serait peu probable que la jeune Poufsouffle en boive. Maelyn avait beau réfléchir, elle n’arrivait pas à voir ce que pouvait être cette boisson. Après tout, en pleine après-midi, il était courant de voir les Anglais boire du thé avec ou sans nuage de lait ou alors un thé glacé en été… mais cette substance était-elle un thé différent ? Dans ses conditions, il ne devait surement pas s’agir d’Earl-Grey. Alors que la Gryffone fixait le verre de la Poufsouffle, comme si celui-ci complotait de s’enfuir sans prévenir, elle releva la tête alors que la jeune fille s’excusa auprès d’elle afin de se retirer et de se revêtir. D’un simple hochement de la tête, Maelyn acquiesça et comprit la jeune fille qui ne devait pas avoir bien chaud, après tout, on avait beau être à l’intérieur du château, le mois de Février avait bien pris ses marques au-dehors.
Alors que la jeune fille était partie dans une pièce que la Gryffone ne connaissait point, Maelyn se redressa afin de faire quelques pas en direction de la dite-bibliothèque qui ornait un coin de la pièce. Celle-ci était assez grande, mise à part en comparaison de la bibliothèque de l’école, et la jeune fille se mit ainsi à observer rapidement les différents titres. Les reliures en cuir et or étaient tous parfaitement établies, comme si cela laissait prédire qu’ils n’avaient jamais été lu. Néanmoins, Maelyn n’eut pas le temps de voir de plus près les différents titres car un bruit de verre se fit entendre. Tiens, mais que se passait-il donc ? Se retournant rapidement, plus par méfiance qu’autre chose, les cheveux de la jeune fille vinrent lui claquer la joue alors avant qu’elle n’eut le temps de se pencher pour voir ce qui se passait.


Maelyn : … « Est-ce que tout va bien ?... »

N’apercevant rien de bien étrange et entendant le sortilège lancé, Maelyn se rassura seule et se retourna ainsi du lieu de la scène de verre cassé. Et bien, décidément, il en avait des verres de cassé aujourd’hui… Heureusement que la magie permettait de tout réparer sinon les directrices auraient des frais en plus, enfin surtout avec Mike. Une légère pensée de Maelyn alla en cet instant pour son ami qui, si les autres avaient réussi à l’attacher quelque part, devait encore être aux prises des effets seconds de la potion. Non mais franchement, quelle idée de gouter une potion non connue et faite au hasard…Alors que Calaïs allait se vêtir, Maelyn reprit la direction du bar afin de reaccouder contre le comptoir et observant les différentes bouteilles qu’elle pouvait apercevoir de sa place. Contrairement à sa mère, Maelyn n’était pas une accro d’alcool et c’est ainsi que beaucoup de noms lui étaient inconnus, d’autres étant pour d’autres raisons…

Quelques minutes plus tard, la jeune fille finit par revenir. Tournant la tête à son retour, la Gryffone se rendit compte qu’elle avait revêtue des habits purement moldus. Etait-elle d’ascendance moldu ? Bah, il arrivait souvent que des élèves portent des vêtements autres que des robes sorcières lors de leurs temps de pause ou alors durant le week-end. De plus, mise à part les composants des vêtements et les robes de sorcières, les vêtements étaient comparables… bien que les moldus portaient généralement pas de cape, tout du moins de notre ère. Quand Maelyn reprit ses esprits, la jeune fille était déjà assise dans l’un des innombrables canapés de la pièce, à croire qu’une fête se préparait en ses lieux. Se décrochant du bar, l’écossaise la rejoignit en se laissant totalement choir sur l’un des sofas, un genou reposant sur l’accoudoir. Aussi loin que pouvait remonter ses souvenirs, Maelyn ne s’était jamais assise correctement sur un canapé… En effet, alors que les personnes s’asseyaient généralement de façon droite, elle préférait se mettre en travers. Complexe or not complexe ? Confortablement assises toutes deux, Calaïs reprit la conversation en répondant à sa question.


« Nous sommes dans la salle sur demande; passait trois fois devant la porte en pensant a une salle, et voilà le résultat! J’adore cette pièce! Je trouve ça plutôt incroyable. »

Ainsi voilà la fameuse salle sur demande ! Sans même s’en rendre compte, les sourcils de Maelyn s’étaient étirés vers le ciel et un léger mais flottant sourire naissait sur ses lèvres. Alors elle existait belle et bien. Et en plus, elle se trouvait au même étage que la salle commune des Gryffons. Et bien, on pouvait dire que son après-midi devenait plus qu’intéressante. A en voir le regard et entendre la voix de la jeune Poufsouffle, Calaïs aussi devait apprécier cette salle. Il fallait dire que faire apparaître ce que l’on veut quand on le désire avait de quoi en ravir plus que d’un… Le fait que la salle se trouvait pratiquement sous son nez depuis qu’elle en avait entendu parler lors de sa deuxième année faisait monter un rire grandissant dans la gorge de Maelyn… un rire destiné envers elle-même et ses petites péripéties de jeunesse avec ses amis afin de pouvoir mettre la main sur celle-ci. N’y tenant plus, la jeune fille finit par rire toute seule tout en se frottant, de manière machinale, les cheveux derrière son oreille. Cependant, et même si le regard des autres ne dérangeait point la jeune fille, elle se devait de s’expliquer envers la Poufsouffle.

Maelyn : « Excuse-moi… Mais cela faisait un petit moment que moi et mes amis nous recherchions cette salle… et elle était juste là. Sous notre nez quasiment !... C’est assez… dérisoire, mais amusant. »

Maelyn avait conscience que ceci pouvait paraître étrange de voir quelqu’un rire pour quelque chose de si futile mais les recherches en étaient d’autant plus drôles en tant que souvenirs… et notamment lorsqu’on a grandit.
Son regard se posant sur le visage de la jeune fille, elle remarqua alors son air triste, air qui ne coïncidait pas avec son air d’avant. Enfin, d’il y avait plusieurs minutes auparavant. La Gryffone prit alors une petite angoisse au niveau de ses paroles. En effet, Maelyn n’était pas très forte en ce qui concernait les relations humaines et amicales et ses manières étaient parfois prises pour être un peu brusques et les mots avaient tendance à se mélanger. Ayant souvent tendance à dire des choses de travers, elle ne pensa nullement qu’elle n’avait rien avoir dans l’affaire bien au contraire, ses pensées s’étaient littéralement tournés sur le fait qu’elle venait de peiner la jeune fille, de quelle façon… elle n’en savait rien mais les faits étaient là.


Maelyn : « Euh, je suis désolée… Je ne voulais pas te peiner ! Excuse-moi… »

Aussitôt, une pensée vint en tête de Maelyn alors qu’elle essayait tant bien que mal de s’excuser. Cette pensée ? La tête de chaque membre de sa famille devant l’une de ses erreurs de brusqueries… Ce qui arrive généralement assez souvent. Le petit Sean, malgré ses quatorze ans, serait littéralement amusé et rigolerait surement dans sa barbe. La jumelle du petit monstre, Lisbeth, serait effarée et tétanisée devant les réactions futures et ce qui se passait. Colin serait bien plus qu’amusé mais secouerait négligemment la tête de gauche à droite. Sven… ne serait point présent à cet instant. Devant cette erreur, Maelyn commença à s’affaisser dans le canapé, comme si elle voulait y être totalement engloutie.
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Calaïs Andromaque
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyLun 12 Fév - 11:06

La jeune poufsouffle était a présent totalement sortie de ses songes, envolait la maison, les potions et l’enfance.
Enfin sûrement que si l’on grandit c’est qu’il y a de bonnes raisons…c’était évidemment bien comme cela, être grande, être livrée a soit même ; pouvoir faire ce que l’on veut sans jamais se reporter a la domination parentale. Elle essayait d’employer des mots barbares pour se convaincre.
A présent elle souriait, d’un sourire un peu éteint mais toujours présent. Elle regarda pendant quelques instants son verre de vin puis la jeune fille lui expliqua que voilà fort longtemps qu’elle cherchait cette salle ; comble de l’ironie c’était elle la nouvelle qui l’avait découverte…Puis elle s’excusa ; mais s’excuser de quoi, ce n’était pas la faute de Maelyn si l’esprit de Calaïs s’expatrié par moment dans un passé ; ou dans les songes de l’enfance. Alors elle répondit d’une voix sage :


« Ne t’excuse pas…tu ne m’a pas peinée ! »

Puis elle leva son verre et regarda la couleur du liquide a travers la lumière chaleureuse. Elle fit tourbillonner le vin puis le reporta a sa bouche pour en boire quelques gorgées puis lorsqu’elle eu fini elle s’exclama :

« Magnifique ce Châteauneuf-du-Pape de 2007 ; exceptionnel »

Elle regarda de nouveau la jeune Gryfonne, sans aucun doute elle devait trouver la douce poufsouffle folle ; elle lui souria donc avant de reprendre :
« Tu connais ? C’est du vin…eu…c’est français ! »

L’explication était bien sommaire comparé au goût de se vin, la jeune fille n’était pas amatrice mais goûter de temps en temps ne lui déplaisait pas, et puis c’était tout de même le patrimoine français même pour le monde sorcier. Calaïs n’avait jamais vu les deux mondes partagés quelques choses ; et bien les français l’on fait…cela rendait très fier la jeune française.
C’est vrai toujours se cacher, toujours s’interdire des contact avec le monde moldu, bon c’est vrai qu’en comparaison avec le monde magique ils sont plutôt en retard mais il y a tout de même des moldus très sympathique.
Enfin comme la jeune fille restait dans son carquois de mutisme elle décida de parler un peu d’elle même si cela n’était pas très intéressant.
Alors elle ajouta en souriant :


« Tu a peut-être entendu mon accent…je suis française et je suis ici depuis septembre ! Avant j’était a Beauxbatons…et j’ai était envoyer ici a poufsouffle et je suis devenue prefete de ma maison. »


Ensuite la jeune Calaïs posa son verre et se leva pour aller se coller contre la grande cheminée de marbre où dansait un magnifique feu qui prenait les couleurs chaude de la salle. Il était très fort et Calaïs qui était encore un peu mouillé fut presque immédiatement séché. Elle pensa que cette salle deviendrait son lieu fétiche, non mais c’est vrai pourquoi se privé, elle était génial cette salle…
Ayant de nouveau chaud elle aurait pu aller s’asseoir mais la jeune fille ne tenait pas souvent en place. En fait Calaïs était une fille très compliquer ; elle s’habiller normalement mais le fond de son cœur était habillé en punk, elle ne tenait pas en place alors qu’elle est une fille très calme et il est bien rare de la voir s’énerver. Elle adorait se faire coucouner dans se genre de salle et en même temps elle adorait la nature, allait voir les animaux, être avec les éléments. La liste aurait pu être bien longue, les gens croyait souvent que c’était une fille sans opinion et qui ne faisait que retourner sa veste mais en fait c’est qu’elle aimait beaucoup de choses et qu’elle profite de toute les situations.
Enfin elle ajouta toujours du même ton :


« Et toi depuis ta première année tu est ici ? »


Elle aimait bien poser cette question car parfois elle découvrait des étrangers, comme Seiko par exemple…
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Maelyn McBright
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyJeu 15 Fév - 20:08

{Et voilà... Encore désolée :goutte: }

Délicatesse… Bien que ce mot fût décrit dans certains instants de nos vies, on a souvent du mal à en voir la portée et à l’utiliser volontairement. Délicatesse… Non, Maelyn avait bien du mal avec la portée de ses mots mêlés à de la délicatesse. Après tout, comment pouvoir se mettre à la place des autres ? On a beau essayer et imaginer, rien ne peut être exact et véridique. Finalement, la voix de la jeune fille réapparut aux creux des oreilles de la Gryffone. Elle lui assura ne pas l’avoir peinée… Et comme échapper à tout ceci ou alors se convaincre elle-même, elle leva son verre à mi-hauteur afin de pouvoir en mirer le contenu. Echappatoire voulue ? Surement, mais pour une fois Maelyn ne dit rien et arrêta de reposer tout son poids dans le fond de ce canapé, évitant ainsi de continuer à creuser sa place et un trou qui aurait pu l’extirper de ce bataclan.

"Magnifique ce Châteauneuf-du-Pape de 2007 ; exceptionnel"

Un quoi ? Un Châteauneuf du Papette ?... Qu’était-ce donc ? Néanmoins, la couleur rouge sang qui se collait contre le verre disait quelque chose à la jeune fille. Quoi ? De ceci, restait un large mystère. Cela faisait longtemps que la jeune fille n’avait pas voulu replonger dans ses pensées aussi noires, blanches ou grises soient-elles. Néanmoins, pourquoi parlait-elle d’un château neuf en bel état ? Et qui était Papette, s’il s’agissait d’un être humain bien entendu ? Peut-être que les hésitations silencieuses de Maelyn furent entendu par une quelconque façon car, en effet la jeune poufsouffle continua sur sa lancée après lui avoir sourit.

« Tu connais ? C’est du vin…eu…c’est français ! »

Du vin ? Du vin français ?... Il était assez difficile de trouver du vin français sur le continent britannique et encore plus dans une école. Du vin… Cela expliquez un peu mieux la couleur rougeâtre qui s’amenuisait dans le verre cristallin de la jeune fille. Un verre de vin en main, une bouteille emplie de l’autre… Une silhouette commença à se dessiner dans l’esprit de la jeune fille, une silhouette longtemps oubliée et réfutée au fin fond de l’oubli et du néant des méandres du cerveau.

~*~ Flash back ~*~


La pluie tapait contre les vitres depuis maintenant plusieurs heures. Le ciel était obscurcit par de lourds nuages noirs, tous chargés de pluie et d’éclairs. Le tonnerre faisait entendre ses droits depuis maintenant plusieurs minutes. Tapis au fond d’une pièce, une enfant de petite taille restée prostrée… attendant patiemment et jetant des regards furtifs vers la large fenêtre dont la présence d’éclairs rendait effrayantes à intervalles. Le regard vert-bleu de l’enfant se perdait dans les décorations artistiques du ciel et clignait parfois contre le son retentissant d’un éclair. Plus rien ne semblait s’abattre sur elle… sauf…

- « Et bien qu’attends-tu ? Le déluge ? »

Une voix désagréable retentissant dans la pièce éclairée de milles feux par diverses lampes et bougies, alors qu’une seule aurait bien suffit. Détournant son regard de la fenêtre pour en venir à l’origine de la voix, la petite fille sembla se perdre de nouveau… mais pas dans une contemplation abasourdie cette fois-ci. Affolement, crainte… Plusieurs de ses notions pouvaient se lire dans le regard brillant de la petite. Une coupe en main ainsi qu’un cigare dans l’autre, une grande femme semblait attendre, de façon impatiente. Néanmoins, la petite commença à avancer devant elle, droite comme un piquet. Bam. Un long soupir ressemblant à un ragement plaintif. Fermant les yeux, elle n’osa pas les rouvrir mais entendait déjà les talons ainsi que le sifflement d’une main projetée dans les airs…

~*~ Fin flash back ~*~



Rouvrant les yeux plusieurs secondes plus tard, Maelyn ne pût empêcher un léger frisson qui lui parcourut la colonne vertébrale. Du vin ? Français ?... Mmm non, la famille McBright n’avait jamais posé un seul pied en France, ni même dans un autre pays que cette chère Angleterre. Et pourtant, ce n’était pas l’envie qui manquait. Néanmoins, Maelyn ne connaissait pas le goût du vin, ni même sa texture, si âpre ou alors si doux… Non, mais tout ceci faisait parti du domaine des alcools, non ? Le vin était-il si différents qu’un Whisky-pur-Feu ou alors d’une liqueur de dragon ?

Maelyn : « Je ne connais de la France, que ce qu’on peut en lire ou en entendre parler… »

Réponse un peu à côté de la plaque mais bon, elle répondait un tant soit peu quoique… Cependant voilà, comment un simple souvenir avait pû reprendre le dessus du subconscient de la jeune fille afin de revenir, aussi présent qu’avant dans sa conscience. Pouah, le travail allait devoir être refait dans sa totalité… Bien qu’Aline ne laisserait sûrement pas totalement faire la jeune fille. Finalement, la venue de la jeune fille était plutôt la bienvenue dans la vie de la jeune écossaise mais également cet éloignement que lui prodigué l’internat. Et pourtant, sa vie avait pris un nouveau tournant depuis un peu moins d’un an… Bah, ne pas s’accrocher afin de ne pas souffrir. Oui, grand-père McBright avait bien raison. Perdue dans ses pensées, elle entendit néanmoins les paroles de la jeune fille, qu’elle bénit sur l’instant afin de lui permettre de passer cette page… la collant ou alors la déchirant serait une bonne idée.

« Tu a peut-être entendu mon accent…je suis française et je suis ici depuis septembre ! Avant j’étais a Beauxbatons…et j’ai était envoyer ici a poufsouffle et je suis devenue préfète de ma maison. »

Ah, voilà une nouvelle inattendue. Inattendue mais pas pour le moins malvenue. Française ?... Voilà peut-être pourquoi elle venait de lui demander si elle connaissait le vin français. D’ailleurs, c’était plutôt touchant de voir la jeune fille se retenir à certains aspects de son ancienne vie, de son ancien mode de vie et pays. Apparemment, elle provenait de l’école de magie française et venait juste d’arriver en Angleterre. Etait-ce pour cela qu’elle s’isolait, seule, dans cette salle à savourer un verre d’alcool ? Quoique, peut-être qu’elle voulait juste s’isoler un instant ? Il est vrai que Sean et Lisbeth lui avait dit qu’une nouvelle arrivée était devenue préfète de leur maison… Maintenant qu’on en parle…

Maelyn : « En effet, j’avais noté une légère différence mais sans plus… Préfète en si peu de temps ?... Tu devais avoir un sacré dossier et être une bonne élève. Silence. Tu m’as dis que tu étais de Poufsouffle, tu dois alors connaître les jumeaux de quatrième année ? J’espère qu’ils ne t’apportent pas trop de soucis… »

En effet, autant Lisbeth était plutôt d’une nature tendre et fragile, autant son frère jumeau Sean était… intenable. Petit, Maelyn l’avait souvent attaché à sa chaise, mais malheureusement, elle ne pouvait le coller enfin pas encore tant que ses dix-sept ans ne pointerait pas le bout de leurs nez. Déjà petit, il était assez turbulent et pourtant en grandissant, il était devenu pire. Cependant voilà, de nos jours, ils n’étaient plus aussi petits et jouer le rôle de grande sœur était un peu plus difficile. Le temps passe, encore et encore, et plus il avance, moins on sait comment s’y prendre. D’ailleurs, il allait falloir qu’elle demande à Colin quelques conseils. Colin… C’était bel et bien une autre histoire qu’on règlera en temps et en heure, soit durant les vacances et encore, la proposition d’Aline était assez bien venue.

« Et toi depuis ta première année tu es ici ? »

Sourire. Discret au départ pour finir par s’élargir.

Maelyn : « Oui, on peut dire cela. Je viens de Greenock, en Ecosse, ainsi le fait que j’aille à Poudlard depuis l’apparition de mes pouvoirs était couru d’avance. Cela s’est produit de fil en aiguille. D’ailleurs, comment se fait-il que tu sois venue en Angleterre ?... Déménagement ou volonté propre ? »
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Calaïs Andromaque
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyJeu 15 Fév - 23:09

La jeune fille termina avec délectation son verre de vin. Le vin qui avait le goût de la terre et du soleil français, un vin de vie, une boisson si bonne. Il était vrai qu’elle n’en avait pas bu depuis l’été dernier, et même si ça ne lui manquait pas particulièrement cette boisson là avait le goût de la nostalgie. Calaïs était toujours debout et regardait de sa hauteur la jeune Gryfonne qui semblait bizarrement mal a l’aise. En effet, pendant un instant la jeune Maelyn sembla perdu dans ses pensées, comme ci elle se souvenait de quelque chose de particulièrement déchirant ou d’effroyable. Un frisson parcoura même le corps de la Gryffonne, un frisson qui sembla refroidir l’ensemble de la salle. La française un peu gênée de surprendre un moment si pénible pour quelqu’un détourna la tête. Elle aurait voulu et aurait du dire un mot; des paroles; demandait ce qui c’était passer; ce qu’elle pensait. Malheureusement la douce Calaïs refusa de parler et resta dans un mutisme dangereux sans vraiment savoir pourquoi. Quelle retenue avait-elle éprouvée ici? Sûrement qu’elle ne le saura jamais. Parfois les mots lui manquait terriblement et aucun sons ne voulaient sortir de sa pauvre bouche; alors elle restait immobile le regard absent comme a présent.
Ensuite a son grand soulagement Maelyn rompit le lourd silence qui envahissait la pièce:


« Je ne connais de la France, que ce qu’on peut en lire ou en entendre parler… »

Apparemment la jeune fille n’avait jamais mit les pieds sur l’hexagone. Calaïs aurait tant voulut lui raconter la poésie de son pays. Comment sa France, comme elle aimait l’appeler, était si belle et si différentes de cette Angleterre; comment la France l’avait bercer dés son plus jeune âge et comment elle avait été élever…
La jeune française ne tarissait jamais sur le sujet de son pays, et bien que tout ne soit pas rose elle avait toujours envie de parler de son ancienne vie, de sa culture, de son amour.
Mais là encore la jeune préfete resta silencieuse, il lui aurait fallu trop de temps pour raconter sa terre natale, sa langue et son histoire et puis cela lui semblait si loin, elle aurait pu oublier le goût si spéciale de la France, en plus ses mots auraient été bien trop médiocre et faible.
Enfin après un nouveau silence la Gryfonne reprit la parole:


« En effet, j’avais noté une légère différence mais sans plus… Préfète en si peu de temps ?... Tu devais avoir un sacré dossier et être une bonne élève. Silence. Tu m’as dis que tu étais de Poufsouffle, tu dois alors connaître les jumeaux de quatrième année ? J’espère qu’ils ne t’apportent pas trop de soucis… »

Maelyn sembla surprise de sa nomination en temps qui préfete, au remarque Calaïs avait été tout aussi surprise qu’elle lorsqu’on lui annonça la nouvelle. Il est vrai que Calaïs n’était pas l’une des dernière en classe, elle travaillait plutôt bien mais voilà lorsqu’on a l’esprit ailleurs on ne peut faire autrement que de partir. Ensuite la jeune poufsouffle reflechissa sur les jumeaux, et a force de chercher elle trouva deux visages a coller sur l’étiquette des jumeaux. Évidemment elle les connaissait, il est vrai qu’ils étaient un peu turbulent mais jamais Calaïs n’avait eu a les reprendre.
Enfin la belle française sortit de son silence langoureux avant de répondre:


« Oui je connais les jumeaux mais ne t’inquiète pas ils ne sont pas si turbulent que ça, et Sean essaye de beaucoup se contenir! Ils sont de ta famille?»

Elle n’osa rien répondre au sujet de son statut de préfete. Ensuite Maelyn reprit sur ses origines, elle était donc anglaise pure souche. Il devait en rester très peu pensa la française, ça devait être rare, enfin le métissage ne faisait de mal a personne.
Enfin la Gryfonne lui demanda une explication sur son départ de France, alors elle souria avant de répondre gentiment:


« C’est moi qui a voulu changer d’école. L’atmosphère a Beauxbatons devenait irrespirable. Bien qu’étant une plutôt bonne élève je ne me suis jamais comportait comme les autres filles de l’écoles. Chacune faisait très attention a son apparence, a ses résultats scolaire, aux cheveux, a la mode mais moi rien de cela ne m’intéressa. Je suis une fille plutôt simple et moi ce que j’aime c’est la nature, les soins aux créatures magiques et la botanique, j’aime discuter et ne pas me prendre au sérieux. Beauxbatons a d’autres ambitions pour ses élèves que l’amour et l’eau fraîche… »

Elle continua de sourire mais en gardant de nouveau le silence, elle avait parler d’une traite et pensa soudain que cela devait ennuyer profondément la jeune anglaise.
Ensuite elle reprit sa respiration avant de poursuivre:


« Et toi tu te plait a Poudlard? »

Cette question était plutôt stupide, rare étaient les élèves qui n’aimaient pas Poudlard, c’est une école sympathique qui prend chaque être dans son ensemble. Calaïs s’était tout de suite plus a Poudlard.
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyMar 20 Fév - 14:05

Blang. Et une ballerine qui tombe au sol, une. Râhhh, décidément, l’uniforme scolaire n’était pas réellement pratique….. Et puis, c’était un peu couru d’avance que la dite-ballerine allait rejoindre le sol de la salle, vu comme Maelyn commençait bouger sa jambe, la cheville raclant contre son autre jambe, la ballerine avait délibérément glissé de son pied pour finir par tomber, disgracieusement ou non, sur le sol. Pfff, stupide chaussure… Ne pouvait-elle donc pas rester en place correctement ? De la position assise en travers du fauteuil, ses jambes glissèrent de côté afin qu’elle se retrouve correctement assise sur le fauteuil, tout du moins dans le bon sens. Doucement, elle se pencha sur le côté afin que sa main puisse atteindre le sol et récupérer la dite-chaussure espiègle. C’est alors que la voix de la jeune Poufsouffle retentit de nouveau, réponse concernant les jumeaux.

« Oui je connais les jumeaux mais ne t’inquiètent pas ils ne sont pas si turbulent que ça, et Sean essaye de beaucoup se contenir! Ils sont de ta famille?»

Moue un tant soit peu surprise qui finit par devenir un sourire discret mais franc. Alors comme cela Sean essayait de se contenir… Et bien, il y avait du changement radical quand ce « petit monstre » ne se trouvait pas chez eux. Finalement, le remariage de son père avait peut-être eu du bon sur le quatrième année…. Qui sait ? Mais alors, pourquoi ne pouvait-il pas se conduire de même à la maison ? Râhhh Sean et ses cachoteries. Finalement, Calaïs finit par lui demander s’il faisait parti de sa famille. A la fin de cette question, Maelyn ne put s’empêcher d’émettre un léger rire. Rire qui ne dura pas plus de trois secondes mais distinct tout de même. Tout en formulant sa réponse, l’écossaise réussit à retrouver sa chaussure sur le sol et commença à se rechausser.

Maelyn : « On peut dire cela oui. Sean et Lisbeth sont mes petits jumeaux… Enfin, non… ce n’est pas ce que j’ai voulu dire… il s’agit de mon petit frère et ma petite sœur. »

Râhh, shit… Cela faisait longtemps que la jeune fille ne s’était pas emmêlée les pinceaux dans un discours. Enfin, longtemps… Disons, durant la dernière semaine. Les mots peuvent être si complexes par moment. Dire tout à la fois et en même temps rien. Un simple petit mot permet de changer la composition d’une phrase… Tss. En plus de ne pas réussir à finir sa phrase correctement, la boucle de chaussure de la dite-Gryffondore commençait à tant soit peu à l’énerver. Et puis d’abord, pourquoi celle-ci ne voulait-elle donc pas entrer correctement dans l’anneau prévu à cet effet. Au bout de quelques secondes, Maelyn finit par perdre patience et défit finalement son autre ballerine. Qui a dit que Mère Nature avait doté cette jeune fille de patience ? Que nenni, la patience était bien une vertu que Maelyn ne possédait pas et elle s’en tenait pas plus mal ou tout du moins, elle ne s’en plaignait pas. Mère Nature est bien compliquée, voilà pourquoi les humains le sont également. A quoi peut bien servir la perfection ?... Mise à part à l’ennui et aux soucis ? Après tout, on a beau être anglaise en général, Maelyn persistait à dire qu’elle était écossaise, reniant son côté irlandais tout comme la femme qui les lui avait transmis.
Un peu de blush arriva sur ses joues néanmoins, Maelyn releva la tête vers la jeune Poufsouffle et contre toute attente, elle lui sourit. Oui, oui, il ne s’agissait pas d’un sourire léger mais bel et bien construit… enfin, on ne voyait pas ses dents mais bon ce n’était pas si important que cela. Après tout, l’intention première de la Gryffonne n’était pas de faire fuir la jeune fille.


« C’est moi qui a voulu changer d’école. L’atmosphère a Beauxbatons devenait irrespirable. Bien qu’étant une plutôt bonne élève je ne me suis jamais comportait comme les autres filles de l’école. Chacune faisait très attention a son apparence, a ses résultats scolaire, aux cheveux, a la mode mais moi rien de cela ne m’intéressa. Je suis une fille plutôt simple et moi ce que j’aime c’est la nature, les soins aux créatures magiques et la botanique, j’aime discuter et ne pas me prendre au sérieux. Beauxbatons a d’autres ambitions pour ses élèves que l’amour et l’eau fraîche… »

Tiens apparemment, la préfète de Poufsouffle n’appréciait pas les filles « prêchi-prêcha » tel que Maelyn les appelait. En y réfléchissant bien, Aline était un tant soit peu comme ses filles bien qu’elle avait un peu plus de jugeote dans la cervelle que certaines autres. Tiens, en parlant d’apparence, à quoi devait-elle ressembler, les coudes sur ses genoux avec dans chaque main une ballerine ?... Bah, il fallait mieux qu’elle ne ressemble à rien plutôt qu’elle se paye un séjour complet et gratuit dans les méandres d l’infirmerie parce qu’elle se serait tordue une cheville en marchant qu’avec une seule chaussure. Et puis, les poudlariens en étaient sûrement habitués depuis le temps.
Botanique… Nature… On ne pouvait pas dire qu’il s’agissait du passe-temps préféré de Maelyn. Enfin, à force, la jeune fille s’était convaincue qu’elle et les plantes, cela ne ferait pas bon ménage ensemble. D’ailleurs, elle se demandait encore comment elle avait bien pu avoir ses B.U.S.E.S. dans cette matière, même si elle n’avait eu qu’un « Effort Exceptionnel », c’était déjà cela. Les Soins aux Créatures Magiques ?... En voilà une matière que l’écossaise appréciait. Les relations envers les animaux étaient souvent bien plus faciles que les relations humaines… même si le problème du langage persistait, la jeune fille n’avait pas s’expliquer ou autre de ses actes envers les animaux.
Redirigeant son regard vers la française, Maelyn laissa un léger sourire flotter sur ses lèvres. Alors, comme cela la jeune fille n’aimait pas se prendre au sérieux et préférait rester tranquille tout en restant elle-même ?


Maelyn : « Tu as d’autres ambitions que l’amour et l’eau fraiche… »

Les mots étaient sortis tous seuls mais en aucun cas regrettaient. Pourquoi ? Tout simplement parce que Maelyn voyait les choses ainsi. La conscience d’une école était de pouvoir former ses élèves par la suite, les ambitions et rêves des élèves prenaient place et permettaient leurs ascensions dans la direction choisie. Le « tu » était un peu plus prononcé que les autres néanmoins le sourire n’avait pas quitté les lèvres de la Gryffone.

Maelyn : « Après tout, tu dis aimer la nature, la botanique et les animaux… Rien de bien compatible avec une séance de shopping endurance ou autre. Non ? Peut-être rêves-tu de grandes expéditions au grand air qui te permettront de visiter le monde tout en te focalisant sur un objectif particulier ?... Comme la découverte du mode de vie d’un type de plante spécifique ou de la ré habitation de l’une d’elle dans notre milieu tempéré…»

Oui, les perspectives du futur étaient grandes et parfois bien obscurs pour de simples élèves de Poudlard. Après tout, il fallait déjà réussir à avoir ses A.S.P.I.C.S en entier et dans les bonnes matières voulues. Par la suite, il était un peu plus difficile de trouver un métier dans le corpus choisi mais avec de la persévérance et de l’ambition, on peut parfois arriver à tout…. Généralement. En réfléchissant à tout ceci, l’écossaise se mit à sourire. Oui, elle aussi avait des ambitions. Réussir sa dernière année mais également pouvoir trouver un métier qui ne se passe pas dans un bureau fermé. Les expéditions avaient toujours eu une petite place de rêve dans son subconscient… Le rêve deviendra-t-il une réalité un beau jour ? Cà, seul l’avenir pourra nous le dire. Tout en réfléchissant, la jeune fille s’était levée de son siège, aussi confortable soit-il, et faisait quelques pas en direction de la cheminée aux styles victoriens.


« Et toi tu te plait a Poudlard? »

Si elle se plaisait à Poudlard ? Si elle aimait Poudlard ?... La question, aussi simple soit-elle avait pourtant ses complexes. Que répondre à ce genre de question. Oui, en général, Poudlard n’était pas mal bien qu’elle se serait passée de cette grande étendue d’eau appelé « lac noir » mais lui aussi faisait parti de l’histoire de Poudlard. Chaque chose a sa place et dans sa spécificité.


Maelyn : « Poudlard ?... Humm, un internat comme les autres, je suppose. Néanmoins j’avoue que les lieux sont assez sympathiques… Cela me fait penser à Greenock…. »
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Calaïs Andromaque
Préfète en Chef, 7ème année à Poufsouffle
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyMar 20 Fév - 20:28

La jeune française regarda avec un intérêt détaché la ballerine de Maelyn tombait sur la moquette. Cela fit un bruit sourd, presque inaudible ce qui fit que la jeune poufsouffle reporta vite son attention sur autre chose. Elle regarda son verre de vin pausé sur la table qui était devant elle; un peu du liquide bordeaux était rester incroyablement attaché au fond du verre a pieds. La lumière se reflétait dans le verre et diffusé une couleur mêlée de rouge et de orange. Maelyn fut apparemment surprise que Sean se trouvait plutôt canalisé en sa présence; peut-être la peur des points ou quelques choses du genre ou bien tout simplement les bêtises qu’il faisait ne se voyait pas et été tops secrètes. Elle eu un large sourire en voyant le jeune quatrième année qui préparé ses coups, où qui guettait sa présence. En fait ce n’était pas si saugrenue que ça…
Calaïs remballa son grand sourire pour de nouveau reporter son attention sur les paroles de Maelyn qui essayée de lui expliquer quels étaient leurs liens de parentés…La Gryfonne se mélangea les pinceau mais Calaïs comprit tout de même et recouvra son beau sourire. Elle remarqua aussi le beau sourire de l’écossaise qui pour la première fois semblait lui sourire sincèrement. Calaïs elle souriait pour tout et pour rien, c’était une seconde nature pour elle. Le sourire et la bonne humeur faisait partie intégrante de son caractère. La française avait une bonhomie naturelle qui favorisait les contacts. Le silence qui s’était fait son petit cocon dans cette salle avait été soudain couper par les paroles de la jeune femme:

« Tu as d’autres ambitions que l’amour et l’eau fraîche »

La jeune française fut surprise de cette réaction. Était-il donc interdit d’avoir des utopies? Est ce que l’espoir était donc proscrit en se monde? Le grand drame de sa vie était que la jeune femme rêvé trop et ses projets n’étaient que des utopies néanmoins elle ne voulait pas y renoncer. Puis Maelyn enchaîna:


« Après tout, tu dis aimer la nature, la botanique et les animaux… Rien de bien compatible avec une séance de shopping endurance ou autre. Non ? Peut-être rêves-tu de grandes expéditions au grand air qui te permettront de visiter le monde tout en te focalisant sur un objectif particulier ?... Comme la découverte du mode de vie d’un type de plante spécifique ou de la ré habitation de l’une d’elle dans notre milieu tempéré…»

Ce genre de discours semblait tout droit sortir de la bouche d’une Beauxbatons…Pendant une fraction de seconde après avoir écouter les paroles de la Gryfonne Calaïs eu un rictus de colère mais qui s’effaça instantanément. Elle s’efforça de nouveau pour sourire et d’une voix calme et détaché elle répondit sans une once de colère:


« Bien sur que cela peut-être compatible mais cela n’est pas tellement dans mes hobbies…comme toutes les filles de notre âge j’ai moi aussi parfois des envies de consommer mais cela se produit plutôt rarement! Et puis pour ce qui est d’une brillante carrière de botaniste ou de soigneur je pense qu’on repassera plus tard.. »


Elle lui fit un clin d’œil entendu, a présent elle ne ressentait plus aucune colère, d’ailleurs aucun sentiment. Elle reprit un peu sa respiration avant d’ajouter:

« Non moi pour l’avenir j’aimerais juste rester professeur soit a Poudlard soit a Beauxbatons! »

En fait en réfléchissant ce qu’elle aimait c’était d’être en contact avec l’extérieur, de pouvoir respirer, aider et écouter. Avec les animaux comme avec les plantes on ne peut qu’écouter, il ne parle pas bien sur mais ils peuvent faire passer pleins de choses. C’est un puit de ressourcement continuel et Calaïs admirait cela. Pas question pour la française de travaille et de renommée internationale.
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Maelyn McBright
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyDim 25 Fév - 0:02

{ Désolée... pas top :close: ... }


« Bien sur que cela peut-être compatible mais cela n’est pas tellement dans mes hobbies…comme toutes les filles de notre âge j’ai moi aussi parfois des envies de consommer mais cela se produit plutôt rarement! Et puis pour ce qui est d’une brillante carrière de botaniste ou de soigneur je pense qu’on repassera plus tard... »

Ahahah… Nous y voilà ! Quoi, ce retournement de narration vous surprendrait-il ? Et bien, sachez que l’esprit de cette pauvre Gryffondor fonctionne ainsi, allant de droite à gauche pour finir par avancer et finalement retourner au point de départ. Mais finalement, nous y voilà à quoi ? Et bien, à ce que recherchait l’élève dont Maelyn avait interrompu sa baignade par une roulade (plus que grotesque, disons-le) et finalement papoter tranquillement sans réelle portée et trame de discours. Néanmoins, sans trame, il est difficilement de savoir où aller, non ? Heureuse de se revirement de situation, la sixième année avait laissé sa contemplation d’un feu crépitant, avec presque nonchalance et autonomie, pour se tourner vers la préfète en imitation grossière d’une ballerine. En clair, Maelyn croisa les pieds et tourna sur elle-même en montant sur ses doigts de pieds… N’ayant jamais fait de danse, on se verrait mal la voir tourner sur les pointes. S’étant retournée vers la jeune fille, la Gryffonne eut le temps de voir son clin d’œil appuyé et en sourit amusée. Bah, il était beau d’avoir des envies, non ? Réalisables ou non, la jeune fille était persuadée quelles étaient ancrées en nous sans que personne ne puisse les en déloger.
A peine Calaïs eut-elle fini sa phrase qu’une suivante arriva, plus calme et posée. C’était à croire qu’il s’agissait plus d’une certitude que d’une affirmation. Professeur… Alors comme cela la Poufsouffle préférait devenir professeur dans l’une des deux écoles qu’elle connaissait. Et pourquoi pas l’étranger ? Bah, elle devait avoir ses raisons.


« Non moi pour l’avenir j’aimerais juste rester professeur soit a Poudlard soit a Beauxbatons! »

Mine figée. Mine calme. Mine qui ne resta pas longtemps de marbre et finit par s’éclaircir.

Maelyn : « Pourquoi pas…. Advienne ce qu’adviendra ! »

Retour de clin d’œil mais avec un sourire que la jeune fille avait du mal à cacher. Advienne ce qu’adviendra… Oui, voilà ce dont pensait Maelyn car, après tout, le destin existant ou non était néanmoins présent. Et même si celui-ci n’existait pas, un avenir se construisait petit à petit et chaque jour pour tous les êtres humains existants sur Terre (et ailleurs, si existe…). Autant Calaïs préférerait rester au château et enseigner ce qu’elle sait à la future génération, autant Maelyn ne s’y imaginait pas le moins du monde. Des dizaines d’élèves, des centaines de mômes… avec pour seul but de leur faire ingurgiter des tonnes de notions… D’un côté, la jeune fille se demandait comment pouvait bien faire les professeurs pour vouloir faire leur métier chaque matin…. Surtout que la classe parfaite n’existe pas. Et puis, l’élément fondamental que doit posséder un professeur se trouve bien au dessus des capacités de la jeune fille, ce dont pour une fois, elle était consciente. Patience. Comment les professeurs pouvaient-ils donc avoir autant de patience pour expliquer et réexpliquer durant des heures la même chose, avec ou non, les mêmes mots. Respect, dissimulé bien entendu. Voyons, si on se met à complimenter les professeurs, il n’y aurait plus de limites xD.

Maelyn : « Néanmoins, tu as un certain courage…. Personnellement, je ne tiendrais pas plus de… hum, voyons… quatre heures. »

Eclat de rire. Non, il n’y avait rien de bien drôle sauf le fait que la jeune fille s’imaginait déjà dans une salle de classe devant une trentaine de petites têtes et devant expliquer les capacités d’une bronchiflore. Argh… Non, en fait, elle n’arrivait pas à voir plus loin. C’était impossible.

Maelyn, explication: “Je ne suis pas très patiente!... Au fait, pourquoi Poudlard ou BeauBatons ?”

C’était surement pour cela que le Choixpeau ne l’avait pas envoyé à Serdaigle, ni à Poufsouffle. Disons qu’elle ne rouspèterait pas contre plusieurs minutes de retard mais l’inactivité était quelque chose d’assez… comme dire… bah c’était l’inactivité alors qu’on s’attend à quelque chose.

Maelyn : « Tu n’as peut-être pas envie d’aller voir d’autres pays… »

Plus bas. En fait, il s’agissait d’une parole prononcée après un petit temps de réflexion, enfin de réflexion revenue, Maelyn ne pouvant s’empêchant de dire ce qu’elle pensait et dans ce cas, de demander un point assez insignifiant. Après tout, Calaïs pouvait avoir envie d’enseigner là où elle avait été élève car elle aimait ses lieux ou autres… Mais, une question était une question. Rien de plus, rien de moins. Surtout quand celle-ci est posée de façon que Maelyn se la posait à elle-même mais ne pouvait avoir la réponse seule.
Une petite fille... Oui, on aurait pu prendre la sixième année pour celà, une petite fille tenaillait par une curiosité pointue et qui ne s'occupe que d'un seul côté et on peut le dire, pas celui dont tout le monde penserait, ni le plus intéressant... Maelyn ne sautillait pas sur place- tout du moins pas encore- mais elle avait joint ses mains derrière son dos et regardait le plafond tout en réfléchissant -comme si c'était lui qui allait lui donner sa réponse-.
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Calaïs Andromaque
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MessageSujet: Re: Une salle originale   Une salle originale EmptyDim 25 Fév - 11:27

Calaïs fixait la jeune Gryfonne comme lorsque l’on fixe dans le vide. Elle voyait sans vraiment voir. Parfois elle avait ses petits moments d’égarement, non pas parce qu’elle s’ennuyait mais parce que ses pensées partait hors d’atteinte et pendant quelques petites secondes sont cerveau n’était plus réceptif. Mais cet état végétatif ne dura que quelques courts instants car Maelyn fit un pas de danse. La française lui souria après avoir reçu un clin d’œil de sa part. La danse…la danse…elle détestait la danse. Elle se souvint encore de sa détestable deuxième année où elle avait suivi des cours de danse pour faire plaisir a sa douce mère qui ne rêvait que d’une petite fille modèle amoureuse de la danse et des cours de sortilèges. Mais la jeune maman s’était vite résignée en voyant le dégoût notoire de sa progéniture pour les sortilèges et son admirable capacité a danser…En effet, la jeune poufsouffle dansait avec autant de grâce et de souplesse qu’un balai. Calaïs n’arrivait a danser qu’avec un partenaire…Oui, a deux elle s’en sortait plutôt pas mal, heureusement d’ailleurs. Elle repensa aussi a cette autre élève de se satané cours qui même dans les couloirs faisait des pas de danses en souriant…elle était pitoyable.
Alors que la française repensait au cours de danse, elle fut coupé par les paroles de Maelyn:


~Pourquoi pas…. Advienne ce qu’adviendra !~

Large silence puis


~Néanmoins, tu as un certain courage…. Personnellement, je ne tiendrais pas plus de… hum, voyons… quatre heures.~

Elle lui souria d’un sourire sincère mais sans fond. Tout comme cette conversation d’ailleurs, elle n’avait ni fin, ni début et pas de fond. Une conversation sans murs et sans contrainte mais qui n’avait que d’autres intérêts que de meublé les silences. Pourtant elle ne détestait pas Maelyn, bien au contraire, elle la trouvait gentille et plutôt marrante. Elle parlait avec la justesse des mots et cela était admirable. La jeune anglaise lui donna une explication puis en demanda une, alors la française s’exécuta:


« Et bien j’ai construit une moitié de ma vie a Beauxbatons, c’est mon école même si je n’était pas très bien et puis j’ai l’espoir en devenant professeur de bousculer un peu les mentalités et de faire évoluer les choses. Et puis a Poudlard parce que j’adore cette école et que j’aurais une plus grande liberté et puis je pourrais avoir pleins de créatures…Voilà donc mon choix se fait sur une de ces deux écoles…on sait se que l’on perd et on ne sait pas se que l’on trouve alors comme j’ai trouvé mon bonheur entre deux pays…pourquoi cherché ailleurs? »

Son ton n’était ni méchant, ni généreux, il était neutre mais son sourire était franc et plein de bonnes volonté. Puis pour continuer de faire un brin de causette la poufsouffle demanda:


« Et toi alors pour l’avenir qu’est ce que tu envisage? »


La jeune femme se rendit compte que depuis tout a l’heure elles ne parlaient que d’elle même. Ses joues rosirent un peu mais elle se contenta de continuer a sourire avec empressement.
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