Il était à présent huit heures et comme à son habitude la jeune fille se réveilla, et pourtant aucune église n’était présente à Poudlard, mais sa n’avait pas empêcher notre jeune gryffondor de l’entendre, tous les jours à huit heures piles, l’Angellus sonnait dans sa tête, c’était Dieu qui la réveillait avec cette douce musique, qui n’était pas si forte que ça. La jeune femme se leva, ses cheveux étaient légèrement ébouriffés, mais en un coup de baguette magique ils furent en place, un petit nœud rose dans les cheveux, sa tenue du week-end (chaussure vernis, jupe marine et chemise blanche, suivi d’une vestes marine), elle sortait dehors. Parcourant le hall silencieux, ses pas raisonnaient tel une voix dans une église.
La jeune femme fût enfin arrivée dehors, les oiseaux chantaient, ils semblaient heureux et gaie, cela remplit le cœur de la jeune file, d’un bonheur en plus, car si les oiseaux ne chantaient pas en cette période cela voudrait dire qu’il y aurait un problème. La jeune catholique marcha gaiement dans le parc de poudlard, tout était joyeux et gaie, pour l’instant rien ne venait perturber son bonheur, personne n’avait besoin de sa main secourable, et c’était tant mieux, non pas pour elle, mais pour eux, car c’était signe que les gens allaient bien.
Elle arriva bientôt prés d’un grand arbre dont les branches touchaient le sol, c’était un saule pleureur, un magnifique et merveilleux saule, la jeune femme pénétra vers le tronc de celui-ci, et s’installa dans l’herbe. Elle se mise en tailleur et posa son sac entre ses jambes, et sorti de son sac un livre, c’était un livre de nouvelle, c’était un auteur anglais, nommé Roald Dahl, et la titre du recueil était « Kiss Kiss ». Elle avait déjà lut les première nouvelle et s’était arrêter en plein milieu de l’une d’entre elle, son titre était : « Une histoire vraie ». Selon elle était à un moment clé de l’histoire et celui-ci ne se fit pas attendre.
~ Le médecin se détourna et alla vers la table pour remettre ses instruments dans la trousse. La mère, dans son lit, dorlotait son bébé en souriant et en exprimant sa joie par toutes sorte de petits cris.
« Bonjour, Adolfus, dit-elle. Bonjour, mon, petit Adolf…
-Pssst ! fit la femme de l’aubergiste. Ecoutez. On dirait que c’est votre mari qui rentre. »
Le docteur se dirigea vers la porte et l’ouvrit.
« Herr Hitler ?
-Oui
-Entrez s’il vous plaît. »
Un petit homme vêtu d’un uniforme vert foncé entra doucement et regarda autour de lui.
« Félicitations, dit le docteur. Vous avez un fils. »
L’homme avait une impressionnante paire de moustaches soigneusement cirées, à la manière de l’empereur François-Joseph. Il sentait très fort la bière.
« Un fils ?
-Oui
-Comment est-il ?
-Il va bien. Votre femme aussi.
-Bon. » ~
La jeune fille lisait se passage les yeux complétement écarquillés surtout lorsqu’elle avait lut le nom de famille de la mère et du père de l’enfant, elle n’en revenait pas, c’était donc cela. Elle ferma alors le livre d’un coup sec après avoir prix soin de marquer la page, car elle n’avait pas terminée la nouvelle, mais ce fût à se moment, que Dieu fit une communication avec elle, il la mise en garde.
* GOD * Attention Angellus quelqu’un est proche de toi.
* Angellus * Merci pour cet avertissement Seigneur.
La jeune croyante resta tête baissée un instant, les yeux fermés, puis ouvra les yeux, et releva son visage, déclarant, avant que l’autre personne ne le face.
Angellus : - Que me veux-tu ?
Silence. Sa voix reste neutre. Elle ne bouge pas son livre fermé entre ses doigts. Mais un sourire reste sur ses lèvres. Smile